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Document PDF fournit par la DGA (Direction Générale de l'Armement) concernant les tissus employables à la conception de masques faits maison dans la crise du Covid.
Voir aussi une petite réflexion sur le sujet icic: http://orangina-rouge.org/shaarli/?IDIRaQ
Ce site se propose de résumer l’état des connaissances scientifiques concernant des problématiques de santé et d’éducation.
Aucune opinions personnelles, ni conseils. Chaque enfant, chaque parent et chaque situation familiale est unique, et ce qui marche pour l'un ne marchera pas forcément pour un autre. Les informations présentes sur ce site espèrent juste aider à prendre des décisions informées.
Chaque article est référencé de manière à indiquer où aller pour vérifier une information à la source ou creuser le sujet un peu plus.
C'est sûr que passer trois plombes à faire des boulettes de dentifrice, mettre du bicarbonate dessus, faire sécher, trouver une boîte, tout ranger dedans puis trouver une place pour la boîte dans la valise, c'est carrément plus pratique que de connement trimballer son tube, comme le croquant lambada...
Orginal tout de même
Conclusion de l'article : " Lentilles ou lunettes, le match semble nul. Seule certitude : en cas de Covid, comme pour n’importe quelle infection ORL (rhume, angine, otite…), le port de lentilles doit être suspendu."
Le premier préservatif en caoutchouc fut développé et produit en masse en 1855 par Charles Goodyear suite à la découverte de la vulcanisation, procédé qui rend le caoutchouc à la fois élastique et résistant. Ces préservatifs étaient lavables et réutilisables.
L'homéopathie, c'est se soigner avec du sucre et rien d'autre !
Ce masque efficace est composé d’un tissu de coton à mailles serrées combiné à deux couches d’un tissu transparent appelé mousseline de polyester-spandex.
Si ce matériau n’est pas disponible, l’équipe a découvert que le remplacement de la mousseline par une courtepointe en coton, de la flanelle et de la soie naturelle pourrait également offrir des performances similaires. La mousseline — utilisée pour confectionner des vêtements de haute couture — peut éliminer 99 % des gouttelettes de la toux et des éternuements lorsqu’elle est placée entre deux couches de coton.
La couche de coton à l’extérieur aide à filtrer les particules, tandis que le tissu intérieur a une charge statique qui aide à empêcher les particules de continuer à passer. Cependant, il y a un gros problème : le masque doit être bien ajusté pour protéger l’utilisateur. En effet, il a été constaté qu’un écart de seulement 1 % peut réduire de moitié au minimum les capacités de filtrage des masques.
Les meilleurs résultats ont été obtenus après passage à travers un coton tissé serré combiné à deux couches de mousseline -- ce matériau qui sert à confectionner les robes de soirée. Selon leur taille, 80 à 99 % des aérosols ont été filtrés. Le recours à de la soie ou à de la flanelle naturelle à la place de la mousseline apparait aussi efficace. Les chercheurs interprètent leur résultat ainsi : les tissus comme le coton tissé serré jouent un rôle de barrière mécanique alors que la mousseline forme une barrière électrostatique.
Les travaux des chercheurs de l’université de Chicago (États-Unis) montrent aussi qu’un masque mal ajusté peut conduire à une réduction de son efficacité de filtration de plus de moitié, quel que soit le tissu employé.