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De très bons conseils pour s'en sortir au mieux.
Des recettes de cuisine en BD
Jolie photo d'un cumulo-nimbus éclairé par le soleil couchant.
Spoiler alert !
Oui, sauf pour le gel WC ...
En dehors d’un soutien psychologique, des exercices simples permettent généralement d’obtenir de bons résultats. Par exemple, 3 exercices pour durer au lit sont particulièrement conseillés : le premier consiste à muscler votre périnée. Comment ? Il suffit de vous interrompre plusieurs fois lorsque vous urinez, un acte qui sollicite justement ce muscle. Le périnée joue un rôle dans la fonction sexuelle, dans le maintien de l’érection et au moment de l’éjaculation : apprendre à relâcher le périnée permet de retarder l’éjaculation. Et comme pour les femmes, un périnée plus fort prévient l’incontinence urinaire. Les avantages sont donc doubles.
Autre réflexe à adopter pour durer plus longtemps au lit : la technique du squeeze. Elle consiste à effectuer un point de pression au niveau du périnée, entre le scrotum et l’anus, au moment de l’éjaculation, afin de bloquer la sortie du sperme. Les muscles qui sous-tendent l’éjaculation se contractent, mais le sperme demeure dans la prostate et le pénis reste en érection. Enfin, dernière technique imparable pour prolonger le plaisir : changer de position au cours de l’acte sexuel. Ceci pour deux raisons : d’une part, certaines positions sont moins stimulantes que d’autres, ce qui aura pour effet de retarder l’éjaculation ; d’autre part, le changement de position permet d’interrompre l’acte et donc de faire retomber un temps le niveau d’excitation.
[...]la disponibilité des masques N95, de plus haut niveau de filtration que les masques dits chirurgicaux, est limitée. Mais des chercheurs du Beth Israel Deaconess Medical Center de Boston ont montré qu’il était possible de les désinfecter au moins 25 fois, sans qu’ils perdent leur pouvoir filtrant et leur étanchéité. Une bonne nouvelle pour les établissements de santé, qui font face à des pénuries.
Les masques N95, tout comme leurs équivalents européens FFP2, sont conçus pour filtrer au moins 95% des particules en suspension dans l’air. Ils sont ainsi beaucoup plus efficaces que les masques chirurgicaux utilisés par la population pour limiter la transmission du virus (de surcroît depuis l’apparition d’Omicron). Déclinés en plusieurs modèles et tailles afin de s’ajuster au mieux au visage des usagers, ils garantissent une parfaite étanchéité. C’est pourquoi ils sont couramment utilisés dans les hôpitaux du monde entier.
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En septembre 2020, une étude américaine avait d’ores et déjà démontré qu’il était possible de décontaminer les masques N95 afin de les réutiliser ; quatre méthodes de décontamination avaient été évaluées à l’époque :
- la lumière UV (260-285 nm),
- la chaleur sèche à 70 °C,
- l’éthanol à 70%
- et le peroxyde d’hydrogène vaporisé (VHP).
« Les performances de filtration du masque N95 n’étaient pas sensiblement réduites après une seule décontamination pour chacune des 4 méthodes de décontamination », ont conclu les chercheurs. La désinfection au VHP s’est avérée la plus efficace, les performances de filtration ayant été jugées « acceptables » même après trois cycles de décontamination. Mais il semblerait aujourd’hui que ces masques peuvent résister à bien plus de cycles.Dans une nouvelle étude publiée la semaine dernière, des scientifiques ont entrepris de tester davantage la résistance de ces masques : ils ont ainsi décontaminé des masques N95, utilisés par sept volontaires, à 25 reprises avec du VHP. À noter que le VHP est déjà largement utilisé pour la stérilisation des dispositifs médicaux réutilisables. Le processus est effectué dans des conditions de vide poussé (généralement de 1 à 10 millibars), à des températures comprises entre 28 et 40 °C.
D’après leurs résultats, le pouvoir protecteur des masques est resté identique, même après 25 cycles du traitement destiné à éliminer toutes les particules de virus. « L’efficacité de filtration est restée supérieure à 95% même après 25 cycles de retraitement, sans changement statistiquement significatif entre les cycles 20-25 et le cycle 0 », résume l’équipe dans American Journal of Infection Control. Les chercheurs précisent que ni la capacité de filtration ni l’étanchéité du masque n’ont été altérées ; les masques demeuraient bien ajustés au visage de leurs utilisateurs, après chaque cycle de décontamination.
Régulièrement, l’équipe se livrait à des tests d’ajustement quantitatif et qualitatif : il s’agissait de détecter d’éventuelles fuites d’air le long du joint du masque et de vérifier que l’usager ne puisse détecter aucune odeur. Mais aucun changement n’a été constaté, du premier cycle jusqu’au dernier. « Le VHP est une méthode relativement sûre pour retraiter les masques N95 et pourrait aider à remédier aux pénuries lors d’épidémies futures », souligne dans un communiqué Christina F. Yen, auteure principale de l’étude.
Une décontamination possible par chaleur sècheSelon l’équipe, les masques N95 auraient pu résister à des cycles supplémentaires, mais un rapport de la Food and Drug Administration avait déjà souligné qu’à partir de 35 cycles, les sangles du masque commençaient à se dégrader. Leur résistance à 25 cycles est néanmoins déjà une très bonne nouvelle pour le personnel hospitalier travaillant dans des établissements où les stocks sont limités.
Certes, les particuliers qui souhaiteraient réutiliser leurs masques N95 ou FFP2 ne disposent certainement pas d’une chambre de décontamination au VHP. Mais d’autres techniques de décontamination plus « accessibles » existent, telles que la décontamination par chaleur sèche (comme celle fournie par un four). Une étude récemment publiée dans PLOS One rapporte en effet que le virus devient indétectable après une exposition à une chaleur de 100 °C pendant 30 minutes; après 4 cycles de stérilisation, les masques avaient conservé leur intégrité structurelle et restaient ajustés à leur porteur.
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Comment créer une version sombre d’une feuille de style CSS sans compliquer les choses inutilement : Brad T. propose une solution très efficace [...], qui fonctionne bien pour des petits sites web.
En quelques lignes de CSS, il est possible de créer un arrière-plan et de l'animer. Découvrons le mini site qui va nous proposer cette fonctionnalité.
Un petit récapitulatif des nouveaux CSS depuis CSS3 : filtres, media-queries, dark/light, path, grid…
Selon les auteurs de l’étude citée plus haut, qui ont étudié les tests de patients covidés en Afrique du Sud, berceau d’Omicron, la fiabilité des différents prélèvements ne serait pas la même selon le variant recherché. Si avec Delta, le prélèvement nasal est fiable à 100 %, cela chute à 71 % par voie salivaire. Inversement, quand il s’agit d’Omicron, la fiabilité du test salivaire est de 100 %, contre 86 % avec un prélèvement nasopharyngé.
Aujourd'hui, je suis infirmier, et à force de faire des tests Covid, je me suis retrouvé ce matin pendant ma toilette à me mettre un coton tige dans le nez au lieu de me le mettre dans l'oreille. VDM