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Sur la musique et l'air de "Comme toi" de JJ Goldman.
Très bien fait, comme à son habitude !
Kimi ga yo ("votre règne"), l’hymne national japonais, est le plus court et le plus ancien hymne national. Ce waka, poème court au nombre de mots fixes, a été écrit au IXe siècle dans un recueil de poèmes, le Kokin wakashū. Composé de 18 mots, il ne dure que 50 secondes.
Prisencolinensinainciusol est un titre du chanteur italien Adriano Celentano, connu pour avoir vendu plus de deux cents millions de disques dans sa carrière. La chanson a la particularité de n'avoir aucun sens : les paroles ressemblent à de l'anglais mais sont du pur charabia. Elle fut un grand succès en France et en Italie.
En 2010 en Colombie, le gouvernement réussit à faire passer un message aux soldats détenus par les FARC grâce à une chanson passée à la radio. Spécialement écrite pour l'occasion, "Better Days," de Natalia Gutierrez Y Angelo incorporait une séquence en morse identifiable par les soldats. L'opération fut un succès, et les soldats furent ainsi informés que les autorités ne les avaient pas abandonné.
Le message était : "19 people rescued. You’re next. Don't lose hope"
La comptine "Jean Petit qui danse", loin d'être une manière d'apprendre les parties du corps aux tout petits, fait référence au supplice de la roue, où l'on brisait un par un les membres et articulations des suppliciés : doigts, main, coude. La chanson raconte le supplice de Jean Petit, chirurgien de Villefranche de Rouergue qui fut l'un des chef de l'insurrection des croquants en 1643.
La chanson de Colette Renard
Que c’est bon d’être demoiselle
Car le soir dans mon petit lit
[...]
Je me fais sucer la friandise
Je me fais caresser le gardon
Je me fais empeser la chemise
Je me fais picorer le bonbon
Je me fais frotter la péninsule
Je me fais béliner le joyau
Je me fais remplir le vestibule
Je me fais ramoner l’abricot [...]
Et vous me demanderez peut-être
Ce que je fais le jour durant
Oh ! Cela tient en peu de lettres
Le jour, je baise, tout simplement
"Le Déserteur" est une chanson pacifiste écrite par Boris Vian en 1954, pendant la guerre d'Indochine, sous la forme d'une lettre au Président de la République, qui fait encore polémique aujourd'hui. Elle fut aussitôt censurée, malgré un ton peu virulent et la publication d'une version édulcorée. La chanson fit encore parler d'elle en 1999, quand une directrice d'école fut suspendue à vie pour l'avoir fait chanter à deux élèves pour commémorer la capitulation allemande du 8 mai 1945.
Brassens contre Zemmour
Pour le titre de sa chanson, GiedRé hésitait entre "Bestiole crevée" et "Animal mort"...
Le sermon de Saint-Popol
Le foot, le foot, le foot...
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Covid-19 : quand l'Armée est appelée en renfort...
Spécial carton rouge aux keufs d'Aubervilliers qui s'en battent l'uniforme des gestes barrières et du couvre feu
Au pays des gens qui puent.
Et vous, vous faites quoi pour la planète ? La parole est aux climatosceptiques et à ceux qui s'en foutent.