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La fusée Terran 1 est un prototype de test pour Terran R, une plus grande fusée de 66 mètres de haut (et qui pourrait supporter 20 000 kilogrammes de charge) que la start-up compte lancer en 2024. À savoir que les dispositifs des fusées Terran sont conçus pour être entièrement réutilisables, grâce à la combinaison de l’impression 3D, de l’intelligence artificielle et de la robotique autonome. L’entreprise imprime elle-même les dispositifs structurels et les moteurs des fusées, simplifiant ainsi les délais de la chaîne d’approvisionnement. De plus, grâce à cette simplification, les fusées peuvent être construites avec 100 fois moins de pièces que les fusées standard, et en seulement 60 jours.
Plus précisément, Relativity Space se concentre sur la production de dispositifs aérospatiaux plus légers et plus rentables, par le biais d’une itération rapide. Pour ce faire, l’entreprise a développé une série d’imprimantes baptisées Stargate capables d’utiliser des matériaux spécialement adaptés aux grandes dimensions (très résistants). Cette prouesse est notamment rendue possible grâce à une impression à l’horizontale, une nouveauté dans le domaine de l’impression 3D.
Par ailleurs, les moteurs de Terran 1 fonctionnent au méthalox, un mélange de méthane et d’oxygène liquide. Ce carburant présenterait notamment de nombreux avantages par rapport au kérolox (un composé à base de kérosène couramment utilisé par la plupart des fusées), si bien que d’autres entreprises telles que SpaceX se sont tournées vers son utilisation.
La comète C/2023 A3, récemment découverte, se rapproche peu à peu du Soleil, devenant progressivement plus lumineuse. Selon les experts, lorsqu’elle sera visible dans notre ciel nocturne, elle pourrait briller plus intensément que de nombreuses étoiles : les astronomes prévoient une luminosité de magnitude 0,7 au périhélie, le point de son orbite le plus proche du Soleil, que la comète atteindra le 28 septembre 2024.
Cette roche singulière ne vient pas de notre planète. Il s'agit de la météorite d’Alvord. Ses figures, révélées par de l'acide, sont naturelles et dues à une cristallisation de l’alliage de fer et de nickel.
L'atmosphère de la Terre n'est pas la seule capable de produire des manifestations de lumière éthérée dans le ciel, comme les aurores boréales. Ainsi, les astronomes ont observé les fascinantes lueurs d’aurores dans des longueurs d'onde visibles à l'œil nu sur quatre des plus grandes lunes de Jupiter, ou lunes galiléennes : Io, Europe, Ganymède et Callisto.
Le télescope spatial James Webb continue de remettre en question nos meilleurs modèles d'évolution de l'univers, grâce à son incroyable capacité à voir plus loin dans l'espace et le temps. Il vient de découvrir des galaxies "incroyablement" gigantesques qui contiennent plus de masse que ce que l'on pensait exister dans l'univers à cette époque.
Un pas vers la matière noire ?
Le soleil suit un cycle de 11 ans, durant lequel il voit ses champs magnétiques s’inverser et modifier la quantité d’activité à sa surface, affectant entre autres le nombre de taches solaires. La semaine dernière, un amas de matière s’est détaché de la surface du soleil et a commencé à faire le tour du pôle Nord de l’étoile presque comme s’il s’agissait d’un vortex polaire géant — et les scientifiques ne savent pas encore pourquoi.
La comète à 3 branches
Le 18 janvier, une mystérieuse spirale bleue est apparue pendant quelques minutes dans le ciel nocturne au-dessus d’Hawaï. Le phénomène a été observé par une caméra fixée sur le télescope Subaru de l’Observatoire astronomique national du Japon, installé au sommet du Mauna Kea de l’île. Il s’est produit peu de temps après le lancement d’une fusée de SpaceX depuis Cap Canaveral. Il semblerait que les deux événements soient liés.
Pour le moment, ils n’ont ni le budget, ni l’intention politique de s’engager avec une autre station spatiale.
La comète C/2022 E3 (ZTF), repérée pour la première fois par des scientifiques il y a moins d’un an, a survolé la Terre pour la première fois en janvier depuis environ 50 000 ans et ne sera plus revue avant des milliers d’années. Ce qui la rend exceptionnelle est la couleur verte qu’elle a revêtue ainsi que la troisième queue qu’elle semble porter. Cette « anti-queue » défie les lois de la physique en étant dans la direction opposée à la comète. Le 1er février, cette dernière atteindra son point le plus proche de la Terre lors de son voyage et sera potentiellement visible à l’œil nu ou avec des jumelles.
Un simulateur d'asteroide.
On défini la vitesse, la taille, le point d'impact, et on constate les dégâts.
[...]Sur Terre, les roches sont altérées par le vent et l'eau, créant ainsi de la terre et du sable. Sur la Lune, l'histoire du bombardement constant de micrométéorites a érodé la surface rocheuse, créant une couche de sol lunaire poudreux ou régolithe. Pour les astronautes d'Apollo et leur équipement, la poussière fine et granuleuse omniprésente constituait un véritable problème. Il y a cinquante ans, sur la surface lunaire en décembre 1972, les astronautes d'Apollo 17 Harrison Schmitt et Eugene Cernan ont dû réparer l'une des ailes de leur rover afin d'éloigner les queues de coq de la poussière d'eux-mêmes et de leur équipement. Cette photo révèle la roue et le garde-boue de leur rover couvert de poussière ainsi que l'application ingénieuse de cartes de rechange, de pinces et d'une bande grise de "duct tape".
Traduction :deepl.com
Dans la nuit du 7 décembre, Mars a erré près de la Pleine Lune. En fait, la planète rouge a été occultée, passant derrière la Lune, vue depuis des endroits à travers l'Europe et l'Amérique du Nord. Environ une heure après avoir disparu derrière le disque lunaire, Mars réapparaît dans cette pile d'images vidéo nettes capturées depuis San Diego, la planète Terre. Avec la Lune au premier plan, Mars n'était qu'à 82 millions de kilomètres, près de sa propre opposition. La Pleine Lune et la Pleine Mars étaient suffisamment brillantes pour fournir une image spectaculaire sans ajustements d'exposition nécessaires. Dans l'image, Mars semble s'élever juste au-dessus de l'ancien cratère lunaire Abel, au sol sombre, très près du bord sud-est de la face proche de la Lune. Humboldt est le grand cratère d'impact au nord (à gauche).
Traduction : Google Traduction