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Explanation: Massive stars in our Milky Way Galaxy live spectacular lives. Collapsing from vast cosmic clouds, their nuclear furnaces ignite and create heavy elements in their cores. After a few million years, the enriched material is blasted back into interstellar space where star formation can begin anew. The expanding debris cloud known as Cassiopeia A is an example of this final phase of the stellar life cycle. Light from the explosion which created this supernova remnant would have been first seen in planet Earth's sky about 350 years ago, although it took that light about 11,000 years to reach us. This false-color image, composed of X-ray and optical image data from the Chandra X-ray Observatory and Hubble Space Telescope, shows the still hot filaments and knots in the remnant. It spans about 30 light-years at the estimated distance of Cassiopeia A. High-energy X-ray emission from specific elements has been color coded, silicon in red, sulfur in yellow, calcium in green and iron in purple, to help astronomers explore the recycling of our galaxy's star stuff. Still expanding, the outer blast wave is seen in blue hues. The bright speck near the center is a neutron star, the incredibly dense, collapsed remains of the massive stellar core.
En impesanteur, une flamme n'a pas la même forme que sur Terre. Du coup, la façon dont le feu brûle change aussi.
La Station Spatiale Internationale dispose de sa propre machine à café espresso. Baptisée "ISSpresso", elle a été développée conjointement par Lavazza, l’Agence spatiale italienne et la firme Argotec. Le café en question est servi dans une petite poche et se boit à la paille.
Le plus grand volcan de notre système solaire se trouve sur Mars. Bien que trois fois plus haut que le mont Everest sur Terre, Olympus Mons ne sera pas difficile à gravir pour les humains en raison des pentes peu profondes du volcan et de la faible gravité de Mars. Couvrant une zone plus grande que l'ensemble de la chaîne volcanique hawaïenne, les pentes d'Olympus Mons ne s'élèvent généralement que de quelques degrés à la fois. Olympus Mons est un immense volcan bouclier, construit il y a longtemps par de la lave fluide. Une croûte de surface relativement statique lui a permis de s'accumuler au fil du temps. On pense que sa dernière éruption remonte à environ 25 millions d'années. L'image présentée a été prise par le vaisseau spatial robotique Mars Express de l'Agence spatiale européenne actuellement en orbite autour de la planète rouge.
Traduction : Google translate
Des chercheurs ont peut-être enfin résolu le célèbre « paradoxe de l’information» de Stephen Hawking sur les trous noirs, un véritable casse-tête pour les physiciens durant depuis plusieurs décennies. Dans une nouvelle étude, ils suggèrent qu’en considérant les lois de la gravité quantique — une possibilité que Hawking n’avait pas prise en compte, le rayonnement thermique des trous noirs serait modifié de sorte à pouvoir conserver l’information contenue — plutôt que de la perdre à jamais, comme le veut le « rayonnement de Hawking ».
Enveloppé dans une atmosphère épaisse, Titan, la plus grande lune de Saturne, est vraiment difficile à voir. De petites particules en suspension dans la haute atmosphère provoquent une brume presque impénétrable, diffusant fortement la lumière aux longueurs d'onde visibles et cachant les caractéristiques de la surface de Titan aux regards indiscrets. Mais la surface de Titan est mieux imagée aux longueurs d'onde infrarouges où la diffusion est plus faible et l'absorption atmosphérique est réduite. Autour de cette image en lumière visible (au centre) de Titan se trouvent certaines des vues infrarouges globales les plus claires de la lune alléchante à ce jour. En fausses couleurs, les six panneaux présentent un traitement cohérent de 13 ans de données d'images infrarouges du spectromètre de cartographie visuelle et infrarouge (VIMS) à bord du vaisseau spatial Cassini en orbite autour de Saturne de 2004 à 2017. Ils offrent une comparaison étonnante avec la vue en lumière visible de Cassini. . La mission révolutionnaire de giravion de la NASA vers Titan devrait être lancée en 2027.
Traduction : translate.google.com
On sait qu'on peut dévier efficacement un astéroïde pas trop gros, sous condition de l'avoir repéré suffisamment tôt.
La fusée Terran 1 est un prototype de test pour Terran R, une plus grande fusée de 66 mètres de haut (et qui pourrait supporter 20 000 kilogrammes de charge) que la start-up compte lancer en 2024. À savoir que les dispositifs des fusées Terran sont conçus pour être entièrement réutilisables, grâce à la combinaison de l’impression 3D, de l’intelligence artificielle et de la robotique autonome. L’entreprise imprime elle-même les dispositifs structurels et les moteurs des fusées, simplifiant ainsi les délais de la chaîne d’approvisionnement. De plus, grâce à cette simplification, les fusées peuvent être construites avec 100 fois moins de pièces que les fusées standard, et en seulement 60 jours.
Plus précisément, Relativity Space se concentre sur la production de dispositifs aérospatiaux plus légers et plus rentables, par le biais d’une itération rapide. Pour ce faire, l’entreprise a développé une série d’imprimantes baptisées Stargate capables d’utiliser des matériaux spécialement adaptés aux grandes dimensions (très résistants). Cette prouesse est notamment rendue possible grâce à une impression à l’horizontale, une nouveauté dans le domaine de l’impression 3D.
Par ailleurs, les moteurs de Terran 1 fonctionnent au méthalox, un mélange de méthane et d’oxygène liquide. Ce carburant présenterait notamment de nombreux avantages par rapport au kérolox (un composé à base de kérosène couramment utilisé par la plupart des fusées), si bien que d’autres entreprises telles que SpaceX se sont tournées vers son utilisation.
La comète C/2023 A3, récemment découverte, se rapproche peu à peu du Soleil, devenant progressivement plus lumineuse. Selon les experts, lorsqu’elle sera visible dans notre ciel nocturne, elle pourrait briller plus intensément que de nombreuses étoiles : les astronomes prévoient une luminosité de magnitude 0,7 au périhélie, le point de son orbite le plus proche du Soleil, que la comète atteindra le 28 septembre 2024.
Cette roche singulière ne vient pas de notre planète. Il s'agit de la météorite d’Alvord. Ses figures, révélées par de l'acide, sont naturelles et dues à une cristallisation de l’alliage de fer et de nickel.
L'atmosphère de la Terre n'est pas la seule capable de produire des manifestations de lumière éthérée dans le ciel, comme les aurores boréales. Ainsi, les astronomes ont observé les fascinantes lueurs d’aurores dans des longueurs d'onde visibles à l'œil nu sur quatre des plus grandes lunes de Jupiter, ou lunes galiléennes : Io, Europe, Ganymède et Callisto.
Le télescope spatial James Webb continue de remettre en question nos meilleurs modèles d'évolution de l'univers, grâce à son incroyable capacité à voir plus loin dans l'espace et le temps. Il vient de découvrir des galaxies "incroyablement" gigantesques qui contiennent plus de masse que ce que l'on pensait exister dans l'univers à cette époque.
Un pas vers la matière noire ?
Le soleil suit un cycle de 11 ans, durant lequel il voit ses champs magnétiques s’inverser et modifier la quantité d’activité à sa surface, affectant entre autres le nombre de taches solaires. La semaine dernière, un amas de matière s’est détaché de la surface du soleil et a commencé à faire le tour du pôle Nord de l’étoile presque comme s’il s’agissait d’un vortex polaire géant — et les scientifiques ne savent pas encore pourquoi.
La comète à 3 branches
Le 18 janvier, une mystérieuse spirale bleue est apparue pendant quelques minutes dans le ciel nocturne au-dessus d’Hawaï. Le phénomène a été observé par une caméra fixée sur le télescope Subaru de l’Observatoire astronomique national du Japon, installé au sommet du Mauna Kea de l’île. Il s’est produit peu de temps après le lancement d’une fusée de SpaceX depuis Cap Canaveral. Il semblerait que les deux événements soient liés.