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Joli :-)
Superbe !
Une photo du Soleil avec la Terre devant pour l'échelle.
Encore une belle photo de l'univers :-)
Notre galaxie et celle d'Andromède sont sur le point d'entrer en collision.
Malgré leur conception ultra-sécurisée par les meilleurs ingénieurs, les combinaisons spatiales ne sont malheureusement pas à l’abri des accidents. Les combinaisons spatiales de la NASA (Extravehicular Mobility Unit (EMU)) ont récemment été déclarées hors d’usage, après une récente et dangereuse infiltration d’eau lors d’une sortie dans l’espace. Ce type d’accident ne s’était pas produit depuis 2013, lorsqu’une pellicule d’eau s’est déposée au fond du casque de l’astronaute Matthias Maurer durant sa dernière sortie extravéhiculaire, le 23 mars dernier. Les experts de la NASA n’ont pas encore déterminé l’origine de l’infiltration, mais l’astronaute aurait pu courir le risque de se noyer — d’après l’événement vécu par Luca Parmitano en 2013.
Les fusées spatiales ont un bouchon hermétique, appelé obturateur de tuyère, qui empêche la chaleur, la poussière et les moisissures d’atteindre la partie ouverte du réacteur, avant l'allumage. Il explose au décollage.
Qu’est-ce que le milieu interstellaire et comment se structure-t-il ? Quelles évolutions connaît ce milieu turbulent et comment naissent les étoiles et les planètes ? Quelles observations nous permettent aujourd’hui de mieux cerner l’évolution du milieu interstellaire ?
Avec :
Pierre Guillard (Enseignant chercheur à Sorbonne Université et à l’Institut d’Astrophysique de Paris), Maud Galametz (Astronome au département d’astrophysique du CEA - Saclay).
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Il y a d’abord eu Oumuamua, il y a presque 2 ans, premier objet observé dans notre système provenant d’un autre système. Puis depuis quelques semaines, Borisov, une comète cette fois qui elle aussi vient de l’espace lointain. Deux occasions de nous demander : mais d’où viennent ces objets ? Ou plus exactement : qu’ont-ils traversé ? Qu’y a-t-il entre notre système, et les autres ? De quoi est fait ce milieu interstellaire ? Et, à l’échelle supérieure : de quoi est composé le milieu intergalactique ? Bref, en résumé : qu’y a-t-il là où il n’y a rien ? Réponse : de la poussière, du gaz et des étoiles en devenir.
Notre système solaire est-il unique ou pas ? Il y a derrière cette question la question primordiale de savoir si sommes-nous seuls dans l’univers, sur laquelle je ne reviens pas ici. Est-ce que les planètes sont des objets fréquents dans l’univers ? Comment est-ce qu’il s’est formé pour obtenir ce que l’on a actuellement ? Est-ce que le type d’architecture que l’on a est typique ou totalement anormal ?
Alors pour être tout à fait honnête c’est un sujet où je suis assez relativement spécialiste, je vous indiquerai les endroits spécifiquement où j’ai publié, mais c’est aussi un sujet très récent et effroyablement compliqué. Il y a beaucoup d’inconnus voire même pour le moment d’apparentes impossibilités sur comment les planètes se forment. Pour le dire simplement, on n’a pas de mécanisme actuellement qui explique notre système solaire. Donc je vais essayer de rester prudent et d’ouvrir plus de questions que de donner des réponses trop sûres, pour que cet épisode soit valable dans 5 ans (« bienvenue, auditeur du futur, n’hésite pas à nous envoyer un message d’insulte ou de félicitations si tu le souhaites »)
Comment a-t-on découvert 39 galaxies invisibles ou “noires” ? Que nous apprennent ces galaxies sur les premiers âges de l’univers ? En quoi cette découverte nous permet-elle de mieux comprendre l’évolution des galaxies massives et nous éclairent sur les trous noirs ?
Avec :
Philiippe Salomé (Astronome à l’Observatoire de Paris au sein du « Laboratoire d’Etude de la Matière et du Rayonnement en Astrophysique et Atmosphères » (LERMA).), David Elbaz (Astrophysicien au Commissariat à l’Énergie Atomique et aux énergies associées (CEA Saclay), laboratoire « Cosmologie et évolution des galaxies ».).
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Depuis le 8 août dernier, une nouvelle espèce de galaxie a fait son apparition dans le panthéon cosmique : les galaxies noires. Pourquoi noires ? Parce qu’elles recèlent encore énormément de poussières qui empêchaient leur détection. Ces galaxies sont un chaînon manquant dans notre conception de l’univers. Très massives et très lointaines, elles doivent nous permettre de comprendre la formation des galaxies peu de temps après le Big Bang, et leur évolution jusqu’à nos jours. Bref, c’est un peu comme si l’on venait d’ouvrir les portes du Jurrasic Park de l’astronomie.
Cette semaine, le programme Apollo et les missions de la NASA sur la Lune sont au coeur des Idées claires, notre programme hebdomadaire produit par Franceinfo et france Culture et destiné à lutter contre les désordres de l'information, des fake news aux idées reçues.
Il y a cinquante ans aujourd’hui, en ce dimanche 14 juillet, nous étions à deux jours du lancement d’Apollo 11. Cet anniversaire est souligné en grande pompe par la diffusion de quantité de films et de documentaires ainsi qu’avec la publication de livres et de reportages dans les revues et journaux. L’épopée des premiers pas sur la Lune de Neil Armstrong et de Buzz Aldrin nous est racontée à peu près de toutes les façons imaginables. Pour notre part, nous avons choisi de faire une sorte de pot-pourri couvrant certains aspects inusités dont on n’a peut-être pas parlé. On répondra ainsi à une variété de questions… que vous vous posez peut-être, ou peut-être pas, mais qui piqueront votre curiosité.
Bonsoir ! ce soir nous sommes en direct depuis Pasadena, en Californie, depuis le département d’astronomie de la prestigieuse université Caltech. En cet endroit bien ensoleillé, nous allons vous parler d’un sujet bien sombre. Non pas comme sombre comme le défi alimentaire du XXI siècle la semaine dernière, encore plus sombre. Nous recevons ce soir Agnès Ferté, brillante cosmologiste versée dans les arts les plus occulte de l’astrophysique, où elle étudie sans relache l’énergie sombre, tout autour de nous et pourtant encore bien mystérieuse.
Une galaxie-oeil.
La théorie générale de la relativité d'Albert Einstein, publiée il y a plus de 100 ans, prévoyait le phénomène de lentille gravitationnelle. Et c'est ce qui donne à ces galaxies lointaines une apparence si fantaisiste, vue à travers le miroir des images optiques et à rayons X des télescopes spatiaux Chandra et Hubble. Surnommées le groupe de galaxies du Chat du Cheshire, les deux grandes galaxies elliptiques du groupe sont encadrées de manière suggestive par des arcs. Ces arcs sont des images optiques de galaxies d'arrière-plan éloignées, lissées par la distribution totale de la masse gravitationnelle du groupe d'avant-plan. Bien entendu, cette masse gravitationnelle est dominée par la matière noire. Les deux grandes galaxies elliptiques "en œil" représentent les membres les plus brillants de leurs propres groupes de galaxies qui fusionnent. Leur vitesse de collision relative de près de 1 350 kilomètres/seconde chauffe le gaz à des millions de degrés, ce qui produit la lueur des rayons X que l'on voit dans les teintes violettes. Plus curieux encore, les fusions de groupes de galaxies ? Le groupe du Chat du Cheshire sourit dans la constellation Ursa Major, à quelque 4,6 milliards d'années-lumière.
Traduction deepl.com
Photo couleur du rover de la mission Apollo 16 sur la Lune
Surnommée la planète bleue à cause de sa surface recouverte à 72% d'eau, la Terre est pourtant dépassée en volume d'eau par Europe, la Lune de Jupiter, qui contient 2 à 3 fois plus d'eau sous forme d'une couche externe d'une épaisseur d'une centaine de kilomètres.
Il y aurait également plus d'eau liquide sur Ganymède et Titan que sur Terre. L'eau liquide représente environ 0,12 % du volume de la Terre alors que pour Europe, Ganymède et Titan, l'eau liquide représenterait respectivement 16%, 26% et 46% du volume total.
En octobre dernier, pour la première fois, une équipe médicale a été holoportée sur l’ISS. L’astronaute Thomas Pesquet a pu discuter et interagir avec le Dr Josef Schmid, médecin de la NASA, comme s’il était à bord à ses côtés. C’est la première fois que cette technologie est mise en pratique dans des conditions aussi atypiques. Cette démonstration pose les bases d’une nouvelle forme de communication, qui pourrait être très utile lors de futures missions spatiales.
Trop fort :-)