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Pfffiouuu ... A couper le souffle !
Récemment, une équipe dirigée par des scientifiques de l’UCLA a découvert des endroits ombragés dans des fosses lunaires, qui oscillent toujours autour d’une température confortable de 17 °C. Les grottes auxquelles elles pourraient mener constitueraient des camps de base plus sûrs et plus stables thermiquement pour l’exploration lunaire et l’habitation à long terme que le reste de la surface de la Lune, dont la température peut atteindre les 127 °C pendant la journée et chuter à –173 °C durant la nuit. Les résultats sont publiés dans la revue Geophysical Research Letters.
La galaxie spirale Messier 74 vue pas le nouveau James Webb Space Telescope
Explanation: Why does Jupiter have rings? Jupiter's main ring was discovered in 1979 by NASA's passing Voyager 1 spacecraft, but its origin was then a mystery. Data from NASA's Galileo spacecraft that orbited Jupiter from 1995 to 2003, however, confirmed the hypothesis that this ring was created by meteoroid impacts on small nearby moons. As a small meteoroid strikes tiny Metis, for example, it will bore into the moon, vaporize, and explode dirt and dust off into a Jovian orbit. The featured image of Jupiter in infrared light by the James Webb Space Telescope shows not only Jupiter and its clouds, but this ring as well. Also visible is Jupiter's Great Red Spot (GRS) -- in comparatively light color on the right, Jupiter's large moon Europa -- in the center of diffraction spikes on the left, and Europa's shadow -- next to the GRS. Several features in the image are not yet well understood, including the seemingly separated cloud layer on Jupiter's right limb.
Un site pour comparer (avec un slider) les photos prises avec Hubble et par Webb (JWST). C’est tout simplement impressionnant.
Les 1^(ères) photos du télescope spatial James Webb
Wouaouh !
Une galaxie vue déformée par la puissance gravitationnelle d'un corps céleste placé devant elle.
Joli :-)
Superbe !
Une photo du Soleil avec la Terre devant pour l'échelle.
Encore une belle photo de l'univers :-)
Notre galaxie et celle d'Andromède sont sur le point d'entrer en collision.
Malgré leur conception ultra-sécurisée par les meilleurs ingénieurs, les combinaisons spatiales ne sont malheureusement pas à l’abri des accidents. Les combinaisons spatiales de la NASA (Extravehicular Mobility Unit (EMU)) ont récemment été déclarées hors d’usage, après une récente et dangereuse infiltration d’eau lors d’une sortie dans l’espace. Ce type d’accident ne s’était pas produit depuis 2013, lorsqu’une pellicule d’eau s’est déposée au fond du casque de l’astronaute Matthias Maurer durant sa dernière sortie extravéhiculaire, le 23 mars dernier. Les experts de la NASA n’ont pas encore déterminé l’origine de l’infiltration, mais l’astronaute aurait pu courir le risque de se noyer — d’après l’événement vécu par Luca Parmitano en 2013.
Les fusées spatiales ont un bouchon hermétique, appelé obturateur de tuyère, qui empêche la chaleur, la poussière et les moisissures d’atteindre la partie ouverte du réacteur, avant l'allumage. Il explose au décollage.
Qu’est-ce que le milieu interstellaire et comment se structure-t-il ? Quelles évolutions connaît ce milieu turbulent et comment naissent les étoiles et les planètes ? Quelles observations nous permettent aujourd’hui de mieux cerner l’évolution du milieu interstellaire ?
Avec :
Pierre Guillard (Enseignant chercheur à Sorbonne Université et à l’Institut d’Astrophysique de Paris), Maud Galametz (Astronome au département d’astrophysique du CEA - Saclay).
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Il y a d’abord eu Oumuamua, il y a presque 2 ans, premier objet observé dans notre système provenant d’un autre système. Puis depuis quelques semaines, Borisov, une comète cette fois qui elle aussi vient de l’espace lointain. Deux occasions de nous demander : mais d’où viennent ces objets ? Ou plus exactement : qu’ont-ils traversé ? Qu’y a-t-il entre notre système, et les autres ? De quoi est fait ce milieu interstellaire ? Et, à l’échelle supérieure : de quoi est composé le milieu intergalactique ? Bref, en résumé : qu’y a-t-il là où il n’y a rien ? Réponse : de la poussière, du gaz et des étoiles en devenir.
Notre système solaire est-il unique ou pas ? Il y a derrière cette question la question primordiale de savoir si sommes-nous seuls dans l’univers, sur laquelle je ne reviens pas ici. Est-ce que les planètes sont des objets fréquents dans l’univers ? Comment est-ce qu’il s’est formé pour obtenir ce que l’on a actuellement ? Est-ce que le type d’architecture que l’on a est typique ou totalement anormal ?
Alors pour être tout à fait honnête c’est un sujet où je suis assez relativement spécialiste, je vous indiquerai les endroits spécifiquement où j’ai publié, mais c’est aussi un sujet très récent et effroyablement compliqué. Il y a beaucoup d’inconnus voire même pour le moment d’apparentes impossibilités sur comment les planètes se forment. Pour le dire simplement, on n’a pas de mécanisme actuellement qui explique notre système solaire. Donc je vais essayer de rester prudent et d’ouvrir plus de questions que de donner des réponses trop sûres, pour que cet épisode soit valable dans 5 ans (« bienvenue, auditeur du futur, n’hésite pas à nous envoyer un message d’insulte ou de félicitations si tu le souhaites »)
Comment a-t-on découvert 39 galaxies invisibles ou “noires” ? Que nous apprennent ces galaxies sur les premiers âges de l’univers ? En quoi cette découverte nous permet-elle de mieux comprendre l’évolution des galaxies massives et nous éclairent sur les trous noirs ?
Avec :
Philiippe Salomé (Astronome à l’Observatoire de Paris au sein du « Laboratoire d’Etude de la Matière et du Rayonnement en Astrophysique et Atmosphères » (LERMA).), David Elbaz (Astrophysicien au Commissariat à l’Énergie Atomique et aux énergies associées (CEA Saclay), laboratoire « Cosmologie et évolution des galaxies ».).
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Depuis le 8 août dernier, une nouvelle espèce de galaxie a fait son apparition dans le panthéon cosmique : les galaxies noires. Pourquoi noires ? Parce qu’elles recèlent encore énormément de poussières qui empêchaient leur détection. Ces galaxies sont un chaînon manquant dans notre conception de l’univers. Très massives et très lointaines, elles doivent nous permettre de comprendre la formation des galaxies peu de temps après le Big Bang, et leur évolution jusqu’à nos jours. Bref, c’est un peu comme si l’on venait d’ouvrir les portes du Jurrasic Park de l’astronomie.