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Notre système solaire est-il unique ou pas ? Il y a derrière cette question la question primordiale de savoir si sommes-nous seuls dans l’univers, sur laquelle je ne reviens pas ici. Est-ce que les planètes sont des objets fréquents dans l’univers ? Comment est-ce qu’il s’est formé pour obtenir ce que l’on a actuellement ? Est-ce que le type d’architecture que l’on a est typique ou totalement anormal ?
Alors pour être tout à fait honnête c’est un sujet où je suis assez relativement spécialiste, je vous indiquerai les endroits spécifiquement où j’ai publié, mais c’est aussi un sujet très récent et effroyablement compliqué. Il y a beaucoup d’inconnus voire même pour le moment d’apparentes impossibilités sur comment les planètes se forment. Pour le dire simplement, on n’a pas de mécanisme actuellement qui explique notre système solaire. Donc je vais essayer de rester prudent et d’ouvrir plus de questions que de donner des réponses trop sûres, pour que cet épisode soit valable dans 5 ans (« bienvenue, auditeur du futur, n’hésite pas à nous envoyer un message d’insulte ou de félicitations si tu le souhaites »)
Comment a-t-on découvert 39 galaxies invisibles ou “noires” ? Que nous apprennent ces galaxies sur les premiers âges de l’univers ? En quoi cette découverte nous permet-elle de mieux comprendre l’évolution des galaxies massives et nous éclairent sur les trous noirs ?
Avec :
Philiippe Salomé (Astronome à l’Observatoire de Paris au sein du « Laboratoire d’Etude de la Matière et du Rayonnement en Astrophysique et Atmosphères » (LERMA).), David Elbaz (Astrophysicien au Commissariat à l’Énergie Atomique et aux énergies associées (CEA Saclay), laboratoire « Cosmologie et évolution des galaxies ».).
En savoir plus
Depuis le 8 août dernier, une nouvelle espèce de galaxie a fait son apparition dans le panthéon cosmique : les galaxies noires. Pourquoi noires ? Parce qu’elles recèlent encore énormément de poussières qui empêchaient leur détection. Ces galaxies sont un chaînon manquant dans notre conception de l’univers. Très massives et très lointaines, elles doivent nous permettre de comprendre la formation des galaxies peu de temps après le Big Bang, et leur évolution jusqu’à nos jours. Bref, c’est un peu comme si l’on venait d’ouvrir les portes du Jurrasic Park de l’astronomie.
Une galaxie-oeil.
La théorie générale de la relativité d'Albert Einstein, publiée il y a plus de 100 ans, prévoyait le phénomène de lentille gravitationnelle. Et c'est ce qui donne à ces galaxies lointaines une apparence si fantaisiste, vue à travers le miroir des images optiques et à rayons X des télescopes spatiaux Chandra et Hubble. Surnommées le groupe de galaxies du Chat du Cheshire, les deux grandes galaxies elliptiques du groupe sont encadrées de manière suggestive par des arcs. Ces arcs sont des images optiques de galaxies d'arrière-plan éloignées, lissées par la distribution totale de la masse gravitationnelle du groupe d'avant-plan. Bien entendu, cette masse gravitationnelle est dominée par la matière noire. Les deux grandes galaxies elliptiques "en œil" représentent les membres les plus brillants de leurs propres groupes de galaxies qui fusionnent. Leur vitesse de collision relative de près de 1 350 kilomètres/seconde chauffe le gaz à des millions de degrés, ce qui produit la lueur des rayons X que l'on voit dans les teintes violettes. Plus curieux encore, les fusions de groupes de galaxies ? Le groupe du Chat du Cheshire sourit dans la constellation Ursa Major, à quelque 4,6 milliards d'années-lumière.
Traduction deepl.com
Surnommée la planète bleue à cause de sa surface recouverte à 72% d'eau, la Terre est pourtant dépassée en volume d'eau par Europe, la Lune de Jupiter, qui contient 2 à 3 fois plus d'eau sous forme d'une couche externe d'une épaisseur d'une centaine de kilomètres.
Il y aurait également plus d'eau liquide sur Ganymède et Titan que sur Terre. L'eau liquide représente environ 0,12 % du volume de la Terre alors que pour Europe, Ganymède et Titan, l'eau liquide représenterait respectivement 16%, 26% et 46% du volume total.
Une nuit étoilée sur les Maldives
Une image sympa de l'univers observable vu depuis la Terre
L'analemme est une figure en forme de 8, obtenue en photographiant le Soleil dans la même portion de ciel, à la même heure et au même endroit au cours d’une année calendaire. Sur d'autres planètes, sa forme diffère.
Une photo d'un geyser sur fond d'aurore polaire :-)
Instructif :-)
Une jolie photo de galaxies qui sont en train de fusionner.
Une vidéo montrant les phases de la lune et d'autres choses encore :-)
Un manchot sur fond d'éclipse solaire ... Très joli.
Superbe :-)
Le 24 novembre, la comète Leonard (C/2021 A1) a balayé le ciel du nord avant l'aube et a été prise entre deux galaxies dans cette image composite prise au télescope. Avec sa coma verdâtre, la queue poussiéreuse de la comète semble harponner le cœur de NGC 4631 (en haut), également connue sous le nom de Galaxie de la Baleine. Bien sûr, NGC 4631 et NGC 4656 (en bas, alias la Crosse de Hockey) sont des galaxies de fond situées à quelque 25 millions d'années-lumière. À cette date, la comète se trouvait à environ 6 minutes-lumière de notre belle planète. Son approche la plus proche de la Terre (et encore plus proche de Vénus) n'étant pas encore terminée, la comète Leonard deviendra plus brillante en décembre. Déjà un bon objet pour les jumelles et les petits télescopes, cette comète ne retournera probablement pas dans le système solaire interne. Son périhélie, ou son approche la plus proche du Soleil, aura lieu le 3 janvier 2022.
Traduction deepl.com