13 liens privés
Depuis plusieurs années, les hélicoptères de la gendarmerie sont régulièrement déployés pour des missions de surveillance de l’espace public, et ce en toute illégalité. Dotés d’un matériel d’abord développé dans un contexte militaire, la police se vante de leur capacité d’espionnage bien supérieure à celles des drones : caméras thermiques avec zoom ultra-puissant, suivi automatisé des suspects, transmission en temps-réel des images à des postes de commandement…
[...]
Aujourd’hui en tous cas, la police et la gendarmerie sont fières de leurs capacités de surveillance. Pendant le confinement, elles vantaient ainsi que l’hélicoptère « ne peut être ni vu ni entendu par les personnes au sol » et est doté de caméras « capables de deviner à des centaines de mètres la présence d’êtres humains ou d’animaux ». En 2018, il était précisé que la caméra pouvait même « identifier un individu à 1,5 km de distance » avec retransmission « en direct et suivi depuis le centre interministériel de crise du ministère de l’Intérieur ».En 2017, le commandant des « forces aériennes de la gendarmerie nationale » parle d’un « énorme zoom qui permet de lire à 300 mètres d’altitude une plaque d’immatriculation située à un kilomètre, d’identifier une personne à 2 km et un véhicule à 4 km », précisant qu’il peut « demander à la caméra de suivre automatiquement un objectif, quelle que soit la position ou la trajectoire de l’hélicoptère ».
Les capacités du matos 8-O ... Et ce n'est pas de la science-fiction.
Après 1945, Charles de Gaulle n'était plus officiellement général de brigade, mais seulement colonel. Ce premier grade de général lui avait en effet été décerné à titre temporaire le 1er juin 1940. La pension de retraite que lui proposa l'armée après guerre (qu'il refusa) fut donc celle d'un colonel. Il continua à être considéré comme un général par les Britanniques après sa mise à la retraite au grade de colonel décidée par l'armée française, suite à l'appel du 18 juin.
Le jumelage entre communes françaises ou européennes permet généralement de réaliser des échanges culturels ou touristiques. Deux villes françaises ont cependant utilisé le dispositif de façon plus potache : la commune d'Avril, en Meurthe-et-Moselle, s'est jumelée avec Poissons, en Haute-Marne.
"Les données qu'on a publiées sont sans ambiguïté du césium 137" qui "remonte au début des années 60, quand la France a fait ces essais nucléaires atmosphériques dans le Sahara", explique le spécialiste de la radioprotection à l’Université de Caen et vice-président de l’association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest Pierre Barbey vendredi 26 février sur franceinfo, après la découverte de ces particules radioactives dans le sable du Sahara déposé sur une partie de la France par les vents, courant février.
Le scientifique souligne que "leur origine est clairement établie. (…) Le césium est un produit de fission dominant à travers les essais nucléaires. C'est une substance radioactive qui émet des rayonnements pénétrants, des rayonnements gamma et il n'existe pas à l'état naturel", a-t-il rappelé : "C'est une pollution radioactive bien réelle et parfaitement indiscutable".
Les quantités de césium 137 mesurées en France sont "assez faibles" selon Pierre Barbey qui ajoute que "l'objet, n'est pas de dire qu'il y a une mise en danger de la population mais de rappeler un peu quelle est l'origine et la responsabilité de la France dans ces essais nucléaires", puisque "même si pour nous qui sommes très loin du Sahara, il y a une exposition qui est très faible, ce n'est pas du tout le cas des populations avoisinantes", précise-t-il, des populations qui "vivent dans ces régions et qui, il y a 60 ans, y ont subi des expositions extrêmement importantes" selon ce spécialiste de la radioactivité.
En se promenant sur le littoral, entre Saint-Malo et Cancale, on peut être surpris de tomber sur d’énormes sculptures, taillées à même la roche. Ces "rochers sculptés de Rothéneuf" sont l’œuvre de l’abbé Fouré, qui en réalisa plus de 300, entre 1894 et 1907.
Les rochers sculptés subissent l’action du temps, des intempéries et de la mer, et ont aussi perdu leurs couleurs d’origine, mais constituent encore une attraction célèbre en Bretagne.
A l'école, j'apprenais que les échasses servaient à la bonne santé des bergers qui en prenant de la hauteur, évitaient les contagions qui circulaient plus facilement qu'ils vivaient en zones marécageuses.
Entre le XVIIe et le XIXe siècle, les bergers landais se déplaçaient sur des échasses. Elles leur permettaient de mieux surveiller les troupeaux et de se déplacer plus facilement dans les marécages des Landes, tout en protégeant leurs pieds des blessures et du froid.
Ces échasses se composaient de deux pièces de bois : l’escasse et le « paousse pé » (en gascon : pose pied), fixé sur l’escasse, à environ un mètre du sol. L’ensemble était fixé autour de la jambe avec une lanière de cuir.
Le 5 octobre 1961 fut instauré à Paris un couvre-feu interdisant la circulation dans les rues la nuit. Il visait les Musulmans d'origine algérienne, Français ou non. Le 17 octobre, 30 000 personnes. manifestèrent contre cette mesure, manifestation qui fut très durement réprimée : a police tua et jeta à la Seine plusieurs dizaines de manifestants.
L'expression "jour le plus long" est du général allemand Rommel. En avril 1944, inspectant le mur de l'Atlantique, il dit à son aide de camp: "La guerre sera gagnée ou perdue sur ces plages (...) les premières 24h de l'invasion seront décisives. Pour les Alliés comme pour l'Allemagne ce sera le jour le plus long".
Le ministère de l'Intérieur confirme que les mesures du confinement se substituent à celles du couvre-feu dans toute la métropole ainsi qu'en Martinique.
Pour vérifier le fameux rayon de 1km autour du domicile durant le confinement.
Justificatif de déplacement scolaire
[...]
Pour les déplacements entre l'école et le domicile, les enfants devront se munir d'une attestation. Le justificatif de déplacement scolaire est rempli et tamponné par l’établissement.
Les critères retenus pour déterminer les départements en couvre-feu sont les suivants :
un nombre de nouveaux cas positifs supérieurs à plus de 250 pour 100 000 habitants (taux d'incidence) ;
un taux d'incidence pour les personnes âgées supérieur à 100, c'est-à-dire 100 cas positifs pour 100 000 personnes de plus de 65 ans ;
un taux d'occupation des lits de réanimation supérieur à 30 % et une dynamique conduisant à un dépassement des 50 % dans les prochaines semaines.Ces critères sont les mêmes que ceux qui avaient été retenus pour le classement de départements en zones d'alerte maximale. La nomenclature des zones vertes et rouges en alerte maximale ou renforcée n'a plus cours. Depuis la déclaration de l'état d'urgence sanitaire, le 17 octobre 2020 :
tout le territoire est en état d'urgence sanitaire ;
certains départements sont en couvre-feu.
Dans les affaires judiciaires en France, on entend souvent le terme "parquet" pour désigner les magistrats représentant le ministère public. Ce terme est lié au XIIIe siècle, quand les avocats défendant les intérêts du roi de France siégeaient dans un lieu clos nommé "petit parc", devenu "parquet" en vieux français.
La crémation ... comment on réduit un cadavre en cendres, comment ça fonctionne pysiquement et comment ça marche dans d'autres cultures.
Enfin !
Les hommes gradés militaires français voient leur grade précédé du mot "mon" de l'abréviation "Monsieur" (mon général, mon capitaine..). Cependant, ce n'est pas le cas pour la Marine nationale, car selon la légende, après la défaite de Trafalgar en 1805, Napoléon considéra que les marins n'en étaient plus dignes.
En pratique, les gradés de la Marine sont appelés soit en ne mentionnant que leur grade sans ajout, soit en les appelant "Madame" ou "Monsieur" sans que leur grade ne soit mentionné.
Le Code du travail prévoit une obligation de loyauté de l’employeur :
« Aucune information concernant personnellement un salarié ne peut être collectée par un dispositif qui n’a pas été porté préalablement à sa connaissance. »