13 liens privés
FAKE OFF
Le graphique reproduit par les internautes provient d’une étude sur les caractéristiques des hospitalisations pour grippe entre 2012 et 2017, publiée par Santé publique France en 2019. On y constate que, durant les semaines de pic de l’épidémie, plus de 300 patients touchés par la grippe sont admis en réanimation. Il s’agit d’indicateurs qui doivent être comparés à ceux utilisés pour le suivi de l’épidémie de coronavirus.
Sur la question précise des admissions en réa, la comparaison est sans appel : selon les chiffres publiés lundi 22 novembre 2021 portant sur les sept derniers jours, 512 patients ont été admis en réanimation pour une infection au Covid-19, selon le baromètre de Santé publique France. Des admissions plus nombreuses, donc, alors même que l’Hexagone n’a pas atteint le pic de la cinquième vague. A titre de comparaison, plus de 400 personnes ont été admises chaque jour en « soins critiques » au plus fort de la troisième vague, en avril 2021.
Le Covid-19 cause davantage de décès
Autre élément de comparaison, le nombre de décès lié à chaque maladie. Le constat est sans appel : « La grippe tue beaucoup moins que le Covid-19 », souligne Catherine Hill, épidémiologiste, auprès de 20 Minutes. Selon des travaux de recherche menés par l’université de Dijon et publiés dans la revue scientifique The Lancet, le taux de mortalité des patients hospitalisés en raison du Covid-19 est trois fois plus élevé que le celui lié à la grippe saisonnière. 16,9 % des admis pour coronavirus entre le 1er mars et le 30 avril 2020 en France sont décédés, contre seulement 5,8 % de ceux hospitalisés entre le 1er décembre 2018 et le 28 février 2019 pour la grippe.
La grippe surcharge également moins les hôpitaux, car les séjours y sont plus courts : en moyenne 11 jours, contre 16 pour une admission due au Covid-19, selon les chiffres de l'Agence technique de l'information sur l'hospitalisation. Le virus actuel laisse en outre plus de séquelles. Selon la même étude des chercheurs de Dijon, un patient sur quatre atteint de Covid-19 au printemps 2020 a souffert d’une insuffisance respiratoire aiguë, contre moins d’un patient sur cinq souffrant de la grippe.
Bien qu’il soit en vente libre, le millepertuis ne doit en aucun cas être pris à la légère. Cet antidépresseur naturel est incompatible avec la prise de médicaments courants.
« Un miracle du système immunitaire humain », c’est en ces termes que le Dr Xu Yu, immunologiste à l’Institut Ragon de Boston, décrit le cas d’une jeune femme diagnostiquée séropositive en 2013, aujourd’hui guérie de l’infection sans avoir suivi aucun traitement : son équipe et elle n’ont pas pu trouver de VIH viable dans l’organisme de cette femme, même après avoir utilisé des tests hautement sophistiqués et sensibles pour scanner plus d’un milliard de ses cellules. C’est le deuxième cas documenté de guérison stérilisante reposant uniquement sur l’immunité naturelle du patient.
Une vidéo sur le paracétamol et comment éviter son surdosage.
Quelles sont les plus mauvaises habitudes que l’on a au quotidien et qui mettent à mal notre périnée ?
Cela se passe notamment aux toilettes. On entend parfois que pour prendre conscience de son périnée, il faut s’arrêter en pleine miction. Eh bien le stop pipi, c’est interdit, c’est très mauvais. Quand on bloque la miction, le muscle de la vessie (le détrusor) ne sait plus comment réagir, cela peut entraîner un reflux d’urine et causer des infections. Se retenir des heures n’est pas bon non plus : le périnée n’est jamais détendu. Cela cause des douleurs, et plus rarement, peut conduire à des infections remontant jusqu’aux reins.
On évite également le pipi en squat haut, lorsqu’on ne s’assied pas par peur que la lunette des toilettes soit sale : dans cette position où l’on a les fesses contractées, le périnée n’est pas détendu, on force avec les abdos, et cela dérègle la vessie. De même, il faut aussi éviter le « pipi sécurité », celui qu’on se force à faire parce qu’on a trois heures de route à faire avec les enfants : on pousse alors qu’on ne devrait pas, et on ne laisse pas la vessie se détendre alors qu’elle peut contenir jusqu’à un demi-litre de liquide.
Et c’est pareil pour la défécation : beaucoup de gens ont tendance à se forcer à aller aux toilettes et à trop pousser, pensant que cela leur évitera d’y aller à un moment moins opportun. Or, cela a des effets délétères sur leur périnée. Physiologiquement, le sphincter anal est censé s’ouvrir, et non descendre. Mais si on ne le laisse pas correctement s’ouvrir et que l’on pousse trop, à la longue, la pression exercée sur le périnée peut causer un prolapsus, c’est la descente d’organes.
Comment prendre soin de son périnée ?
Cela passe par la prévention et l’information. Apprendre à aller correctement aux toilettes devrait faire partie de l’apprentissage de la continence dès l’enfance : ne pas se forcer, ne pas trop pousser. Et puisque nos toilettes sont généralement trop hautes, une chose simple et efficace à faire est de placer un marchepied devant nos toilettes, pour avoir une position davantage accroupie qui facilite la défécation sans trop solliciter le périnée.
Un périnée qui va bien, c’est un périnée dont on ne s’occupe pas. Mais comme pour le reste du corps, la pratique d’une activité physique est recommandée pour un périnée en bonne santé.
Quel rôle le périnée joue-t-il dans la sexualité ?
Il a des effets, que l’on soit un homme ou une femme. Chez les hommes, cela permet d’améliorer l’aisance sexuelle, de mieux maîtriser leur bassin et leur érection.
Et pour les femmes, il est au moins aussi important. S’il est en bonne santé, il améliore également l’aisance sexuelle. Il est important de prendre conscience qu’il n’est pas normal d’avoir mal durant les rapports sexuels : c’est une zone qui réagit aux stimuli psycho émotionnels, et de la même manière que lorsqu’on est stressé, on serre les dents, on serre aussi le périnée.
Comment savoir si on a un problème de périnée et que l’on doit consulter ?
La première chose à savoir, c’est qu’une seule goutte échappée, c’est déjà une fuite urinaire et ce n’est pas normal. Ensuite, si l’on a des douleurs pelviennes, que l’on souffre de constipation chronique, que l’on n’arrive pas à retenir les gaz ou les autres matières, c’est que l’on a besoin de consulter. Heureusement, de plus en plus, les patients entreprennent cette démarche et bénéficient d’une rééducation adaptée à leur pathologie.
Dans l’ensemble, l’équipe de Bilde a examiné la soie de sept espèces d’araignées différentes en utilisant des méthodes expérimentales améliorées et n’a trouvé aucun signe d’activité antimicrobienne. Bien que ces résultats n’excluent pas l’existence d’une activité antimicrobienne pour toutes les espèces d’araignées, ils remettent en question tous les comptes rendus précédents.
Cette étude a été menée sur près de 100.000 volontaires en Angleterre, fin juin-début juillet
Ou autrement dit : "Tu pourrais être malade alors je ne vais pas te soigner ... quand bien même c'est mon métier !"
Et poutant : "Pass sanitaire : « Personne ne sera privé de soins » à cause de son extension à l’hôpital, promet Véran" [https://www.20minutes.fr/sante/3098027-20210805-pass-sanitaire-personne-prive-soins-cause-extension-hopital-promet-veran]
Et ce n'est pas un cas isolé ... C'est quoi c't'affaire ?
On a beaucoup parlé ces jours-ci du pass sanitaire. Mais on est moins au clair sur ce que change le variant delta. Où en est-on aujourd'hui ? On fait le point...
La vaccination du Covid-19 n’empêche peut-être pas la contamination, mais elle en réduit bel et bien les formes graves ... Et donc, la mortalité. Cette observation inclut le variant Delta.
Les utilisateurs sont invités à aspirer environ 100 millilitres d’eau dans la paille (ou 50 millilitres pour les enfants), en sachant qu’ils rencontreront une certaine résistance. Lorsqu’il aspire l’eau, le mouvement contraint l’utilisateur à contracter son diaphragme puis à fermer son épiglotte (volet de cartilage situé dans la gorge, derrière la langue et devant le larynx), forçant ainsi l’arrêt du hoquet.
Contracter le diaphragme et fermer l'épiglotte serait donc souverain contre le hoquet ?
Au Népal, certains apiculteurs récoltent le miel fou. Il s'agit d'un miel produit par les plus grosses abeilles du monde, qui butinent d’immenses rhododendrons et contient ainsi des toxines aux effets hallucinogènes.