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Au Cameroun, une fontaine permet d'éviter une nouvelle hécatombe. Elle évacue continuellement le dioxyde de carbone contenu dans le lac Nyos, qui peut causer des milliers de morts lorsqu'il s'accumule et se dégage d'un coup, dans le cadre de ce que l'on appelle une éruption limnique.
Selon wikipedia :
Une éruption limnique est un type d'éruption volcanique caractérisé par le dégazage brutal d'un lac méromictique qui relargue les gaz volcaniques émis en continu par un volcan et accumulés durant des années dans les couches profondes du lac.
L’expertise de l’Anses confirme l’efficacité des gels et solutions hydroalcooliques fabriqués et mis sur le marché de façon dérogatoire à partir de mars 2020 pour lutter contre la pandémie de la Covid-19. Cependant, pour une efficacité durable, il est recommandé de privilégier les gels et solutions avec au moins 65 % d’alcool ou dont l’efficacité contre les virus a été préalablement validée expérimentalement, selon la norme EN 14476.
Il y a une quinzaine d’années, les scientifiques ont mis en évidence que les personnes asthmatiques développaient moins de tumeurs cérébrales que les autres.
L’Anses recommande d’éviter de porter les masques FFP2 contenant du graphène, en raison du manque d’information sur la toxicité de cette substance.
Oui au télétravail, mais pas n’importe comment !
Le télétravail demeure une avancée sociale pour la plupart des personnes pouvant en bénéficier. En revanche, certaines règles doivent être respectées pour que ses bénéfices demeurent supérieurs à ses inconvénients. L'INRS en propose quelques unes :
- éviter le télétravail à temps complet ;
- organiser à intervalles réguliers des rencontres physiques pour maintenir le lien collectif ;
- définir les modalités du droit à la déconnexion ;
- sensibiliser les collaborateurs à l'importance de la différenciation entre temps professionnel et temps personnel ;
- sensibiliser les collaborateurs aux dangers de la sédentarité ;
- équiper les collaborateurs de matériel ergonomique.
Expliquation en infographie en quoi l'aération est un geste barrière primordial contre le Covid-19.
Toujours déconseillés
Au rang des médicaments épinglés par la rédaction de Prescrire, on retrouve des médicaments couramment utilisés. Sans surprise, les décongestionnants oraux (Dolirhume, gamme Actifed, Humex Rhume, etc.) sont à éviter : ils sont peu utiles dans le rhume et comportent un risque cardiovasculaire réel. Les alertes se sont d’ailleurs multipliées à leur sujet et leur usage est officiellement déconseillé. Il en va de même pour les médicaments traitant le mal de gorge (Maxilase, Thiovalone, etc.) et la toux (Toplexil, Biocalyptol, etc.). Face aux maux de l’hiver, le recours occasionnel au paracétamol est à privilégier.
Dans le traitement de la douleur, plusieurs anti-inflammatoires ne devraient plus être prescrits. C’est le cas du diclofénac (Voltarène) ainsi que ceux finissant en « coxib », qui comportent bien plus d’effets indésirables que les autres molécules disponibles. Quant à la capsaïcine en patch (Qutenza), elle n’a pas démontré son intérêt et expose à des irritations cutanées, voire des brûlures.
Même si le vaccin de Moderna reste légèrement plus efficace que celui de Pfizer au fil des mois après les deux premières doses, le gain d'immunité procuré par la piqûre de rappel est conséquent, quel que soit le produit injecté.
On oublie aussi souvent de dire que le sommeil est le symptôme résiduel le plus fréquent de ces troubles psychiatriques. Plus de la moitié des gens après une dépression, après un épisode délirant dans le cadre d’une schizophrénie ou après un sevrage pour une addiction à l’alcool vont conserver des problèmes du sommeil. Ces altérations persistantes vont être prédictives d’un mauvais fonctionnement général, d’une mauvaise évolution de la maladie psychiatrique et vont entraîner d’autres maladies, notamment cardiovasculaires et des cancers. Ces intrications ont été mises au jour durant le confinement.
Les masques FFP sont régis par la norme NF EN 149. Cette dernière classe les masques de protection respiratoire en fonction de leurs capacités à filtrer des particules ayant un diamètre de 0,6 microns. Elle prend également en compte le taux de fuite des masques au niveau du visage.On distingue trois catégories de masque FFP.
Masque FFP1
Ces masques de protection respiratoire filtrent au moins 80% des particules aérosols . Leur taux de fuite vers l’extérieur est de 22% au maximum. Les fabricants utilisent un élastique jaune afin d’identifier les masques ffp1.
Le masque ffp1 est fabriqué en papier flexible. Il est généralement utilisé en tant que masque anti-poussière . En effet, il protège le porteur contre l’inhalation de poussières nocives, mais qui ne sont pas toxiques . Si ces poussières ne provoquent pas de maladies, elles peuvent tout de même irriter les voies respiratoires et dégager des odeurs désagréables.
Les masques ffp1 protègent contre les poussières fines émanant de la laine de verre, du charbon ou encore du bois. Ces équipements de protection respiratoire sont utilisés dans les chantiers de BTP, dans l’industrie agroalimentaire ainsi que lors des travaux de bricolage. Les masques ffp1 peuvent également protéger contre certains allergènes tels que le pollen.
Masque FFP2
Ces masques de protection respiratoire ont une capacité de filtration d’au moins 94% . Le taux de fuite toléré vers l’extérieur est de 8% au maximum. Des élastiques de couleur blanche ou bleu permettent d’identifier les masques ffp2.
Les masques ffp2 protègent le porteur contre les poussières ainsi que les aérosols toxiques . Ils peuvent être utilisés lorsque l'air est chargé en poussières et en fumées toxiques . On peut les porter lorsque l’atmosphère est chargée en agent pathogène .
On utilise notamment les masques ffp2 dans l’industrie chimique, métallurgique ou agroalimentaire. En effet, l’inhalation à long terme de vapeurs ou de fumées toxiques peut provoquer des maladies respiratoires telles que le cancer des poumons. Ces masques sont également utilisés au sein de l’univers médical .
Les masques ffp2 sont utilisés par le personnel soignant des hôpitaux puisqu’ils peuvent empêcher l’inhalation de bactéries ainsi que des virus grippaux . Lorsqu’ils sont à usage hospitalier, les masques ffp2 sont dépourvus de valve afin d’éviter de contaminer l’environnement extérieur.
Masque FFP3
Ces masques offrent la meilleure protection contre l’inhalation d’aérosol. Ils peuvent filtrer 99% des particules présentes dans l’air et ont un taux de fuite maximal de 5%. Les masques ffp3 sont reconnaissables à leurs élastiques rouges.
Les masques ffp3 sont ceux qui offrent le plus haut niveau de filtration. Ils protègent le porteur contre les particules très fines . Ces particules peuvent notamment être radioactives ou cancérigènes . Ils protègent notamment contre les particules d’amiante, de plomb ou encore de céramique . Ces masques de protection sont recommandés lorsque le taux de concentration des particules polluantes est vingt fois supérieur à la valeur maximale d’exposition.
Les masques ffp3 protègent également le porteur en cas d’ épidémie biologique . Tout comme les masques ffp2, les masques ffp3 retiennent les bactéries ainsi que les virus grippaux . Cependant, ils ne sont pas utilisés par le personnel soignant des hôpitaux puisqu’ils sont systématiquement équipés d’une valve afin de faciliter la respiration.
Voir aussi : https://fr.wikipedia.org/wiki/Masque_de_protection_FFP .
Génial :-)
Si le GHB est donc inodore et incolore, l’association belge de prévention et d’écoute Infor Drogues précise toutefois qu’il peut avoir un « goût salé ». Ce que confirme une lectrice de 20 Minutes, qui pense avoir été droguée avec : « On m’a servi une vodka agrémentée de boisson énergisante. Ma boisson sentait le liquide vaisselle et avait un goût moitié sucré, moitié salé, ça aurait dû m’alerter », regrette la jeune femme, qui plaide pour de vastes campagnes de prévention contre l’usage de cette drogue.
[...]
Comment se prémunir d’une intoxication ?Il y a quelques années, des étudiants américains ont mis au point un vernis anti-GHB, qui, si une boisson contient cette substance, change de couleur lorsque l’on trempe son doigt dans son verre. Un dispositif similaire, qui a la forme d’un jeton de caddie, permet lui aussi, en y versant une goutte de sa boisson, de détecter la présence de GHB avec une « efficacité de 99,3 % », assurent ses créateurs. En boîte de nuit ou en soirée, la première précaution reste de ne pas laisser son verre sans surveillance et de ne pas accepter une boisson offerte par une personne inconnue. Sans compter les « capotes » pour verre, des protections transparentes et réutilisables permettant d’éviter qu’une drogue y soit glissée.
En réaction aux témoignages de femmes droguées au GHB qui se sont accumulés ces dernières semaines, le collectif Héro.ïnes 95 a lancé un mouvement de boycott des bars et établissements de nuit à compter du 12 novembre dernier, et appelle les dirigeants de lieux festifs – bars, discothèques et salles de concert – à organiser « la formation du personnel à la prévention des violences sexistes et sexuelles ».
FAKE OFF
Le graphique reproduit par les internautes provient d’une étude sur les caractéristiques des hospitalisations pour grippe entre 2012 et 2017, publiée par Santé publique France en 2019. On y constate que, durant les semaines de pic de l’épidémie, plus de 300 patients touchés par la grippe sont admis en réanimation. Il s’agit d’indicateurs qui doivent être comparés à ceux utilisés pour le suivi de l’épidémie de coronavirus.
Sur la question précise des admissions en réa, la comparaison est sans appel : selon les chiffres publiés lundi 22 novembre 2021 portant sur les sept derniers jours, 512 patients ont été admis en réanimation pour une infection au Covid-19, selon le baromètre de Santé publique France. Des admissions plus nombreuses, donc, alors même que l’Hexagone n’a pas atteint le pic de la cinquième vague. A titre de comparaison, plus de 400 personnes ont été admises chaque jour en « soins critiques » au plus fort de la troisième vague, en avril 2021.
Le Covid-19 cause davantage de décès
Autre élément de comparaison, le nombre de décès lié à chaque maladie. Le constat est sans appel : « La grippe tue beaucoup moins que le Covid-19 », souligne Catherine Hill, épidémiologiste, auprès de 20 Minutes. Selon des travaux de recherche menés par l’université de Dijon et publiés dans la revue scientifique The Lancet, le taux de mortalité des patients hospitalisés en raison du Covid-19 est trois fois plus élevé que le celui lié à la grippe saisonnière. 16,9 % des admis pour coronavirus entre le 1er mars et le 30 avril 2020 en France sont décédés, contre seulement 5,8 % de ceux hospitalisés entre le 1er décembre 2018 et le 28 février 2019 pour la grippe.
La grippe surcharge également moins les hôpitaux, car les séjours y sont plus courts : en moyenne 11 jours, contre 16 pour une admission due au Covid-19, selon les chiffres de l'Agence technique de l'information sur l'hospitalisation. Le virus actuel laisse en outre plus de séquelles. Selon la même étude des chercheurs de Dijon, un patient sur quatre atteint de Covid-19 au printemps 2020 a souffert d’une insuffisance respiratoire aiguë, contre moins d’un patient sur cinq souffrant de la grippe.
Bien qu’il soit en vente libre, le millepertuis ne doit en aucun cas être pris à la légère. Cet antidépresseur naturel est incompatible avec la prise de médicaments courants.