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Suite à l’évolution de la situation sanitaire, le Gouvernement a annoncé des mesures renforcées de restrictions qui entreront en vigueur à partir du lundi 3 janvier 2022 et ce jusqu’au 24 janvier 2022.
Ces mesures permettent de préserver l’activité des pratiquants comme celle des salles, clubs et gestionnaires d’équipements.
Outre la présentation du Pass sanitaire, puis à partir du 15 janvier 2022 du Pass vaccinal sous réserve de l’adoption par le Parlement, le port du masque redevient obligatoire et il est formellement interdit de le retirer même momentanément dans les équipements sportifs couverts et de plein air (ERP X et PA), excepté au moment de la pratique sportive et de son encadrement effectif.
Les conditions d’accueil dans les enceintes sportives évoluent également avec une limitation à 2.000 personnes pour les événements organisés en intérieur et à 5 000 personnes en extérieur
Enfin, la consommation de boissons et d’aliments sera interdite dans les espaces sportifs.
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Interview du Dr Pierre Weyrich, infectiologue à l’hôpital Saint-Philibert (Lomme, Hauts de France), au sujet du port du masque pendant la pratique sportive.
Pour rappel :
- le masque protège les autres en évitant d'émettre des gouttelettes et des aérosols ;
- le masque protège son porteur en évitant d'inhaler des particules virales ;
- on ne peut pas garantir les performances d'un masque fait maison.
"La transmission par aérosols est importante dans les endroits confinés, par exemple, dans les vestiaires d’un stade. Par contre, en extérieur les aérosols se dispersent très rapidement, c’est pourquoi le risque est quasi nul. D’ailleurs, le Haut Conseil de la santé publique ne préconise pas de port du masque en extérieur, sauf si on ne peut vraiment pas avoir de distanciation physique, par exemple si l’on se trouve au milieu d‘une foule, comme un marché. L’obligation du port du masque en extérieur en toutes circonstances est une décision surtout politique."
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"Quand on fait du sport, on augmente ses besoins en oxygène et on respire donc plus vite et plus profondément. Le masque réduit notre capacité à y parvenir, on doit en quelque sorte faire plus d'efforts respiratoires. Ce qui peut induire une sensation de manque d'air, évidemment pas très agréable.
Quand on fait du sport, les capacités de filtration du masque vont être altérées dans la mesure où il s'humidifie beaucoup plus vite, ce qui le rend rapidement moins efficace."
Au Cameroun, une fontaine permet d'éviter une nouvelle hécatombe. Elle évacue continuellement le dioxyde de carbone contenu dans le lac Nyos, qui peut causer des milliers de morts lorsqu'il s'accumule et se dégage d'un coup, dans le cadre de ce que l'on appelle une éruption limnique.
Selon wikipedia :
Une éruption limnique est un type d'éruption volcanique caractérisé par le dégazage brutal d'un lac méromictique qui relargue les gaz volcaniques émis en continu par un volcan et accumulés durant des années dans les couches profondes du lac.
L’expertise de l’Anses confirme l’efficacité des gels et solutions hydroalcooliques fabriqués et mis sur le marché de façon dérogatoire à partir de mars 2020 pour lutter contre la pandémie de la Covid-19. Cependant, pour une efficacité durable, il est recommandé de privilégier les gels et solutions avec au moins 65 % d’alcool ou dont l’efficacité contre les virus a été préalablement validée expérimentalement, selon la norme EN 14476.
Il y a une quinzaine d’années, les scientifiques ont mis en évidence que les personnes asthmatiques développaient moins de tumeurs cérébrales que les autres.
L’Anses recommande d’éviter de porter les masques FFP2 contenant du graphène, en raison du manque d’information sur la toxicité de cette substance.
Oui au télétravail, mais pas n’importe comment !
Le télétravail demeure une avancée sociale pour la plupart des personnes pouvant en bénéficier. En revanche, certaines règles doivent être respectées pour que ses bénéfices demeurent supérieurs à ses inconvénients. L'INRS en propose quelques unes :
- éviter le télétravail à temps complet ;
- organiser à intervalles réguliers des rencontres physiques pour maintenir le lien collectif ;
- définir les modalités du droit à la déconnexion ;
- sensibiliser les collaborateurs à l'importance de la différenciation entre temps professionnel et temps personnel ;
- sensibiliser les collaborateurs aux dangers de la sédentarité ;
- équiper les collaborateurs de matériel ergonomique.
Expliquation en infographie en quoi l'aération est un geste barrière primordial contre le Covid-19.
Toujours déconseillés
Au rang des médicaments épinglés par la rédaction de Prescrire, on retrouve des médicaments couramment utilisés. Sans surprise, les décongestionnants oraux (Dolirhume, gamme Actifed, Humex Rhume, etc.) sont à éviter : ils sont peu utiles dans le rhume et comportent un risque cardiovasculaire réel. Les alertes se sont d’ailleurs multipliées à leur sujet et leur usage est officiellement déconseillé. Il en va de même pour les médicaments traitant le mal de gorge (Maxilase, Thiovalone, etc.) et la toux (Toplexil, Biocalyptol, etc.). Face aux maux de l’hiver, le recours occasionnel au paracétamol est à privilégier.
Dans le traitement de la douleur, plusieurs anti-inflammatoires ne devraient plus être prescrits. C’est le cas du diclofénac (Voltarène) ainsi que ceux finissant en « coxib », qui comportent bien plus d’effets indésirables que les autres molécules disponibles. Quant à la capsaïcine en patch (Qutenza), elle n’a pas démontré son intérêt et expose à des irritations cutanées, voire des brûlures.
Même si le vaccin de Moderna reste légèrement plus efficace que celui de Pfizer au fil des mois après les deux premières doses, le gain d'immunité procuré par la piqûre de rappel est conséquent, quel que soit le produit injecté.
On oublie aussi souvent de dire que le sommeil est le symptôme résiduel le plus fréquent de ces troubles psychiatriques. Plus de la moitié des gens après une dépression, après un épisode délirant dans le cadre d’une schizophrénie ou après un sevrage pour une addiction à l’alcool vont conserver des problèmes du sommeil. Ces altérations persistantes vont être prédictives d’un mauvais fonctionnement général, d’une mauvaise évolution de la maladie psychiatrique et vont entraîner d’autres maladies, notamment cardiovasculaires et des cancers. Ces intrications ont été mises au jour durant le confinement.
Les masques FFP sont régis par la norme NF EN 149. Cette dernière classe les masques de protection respiratoire en fonction de leurs capacités à filtrer des particules ayant un diamètre de 0,6 microns. Elle prend également en compte le taux de fuite des masques au niveau du visage.On distingue trois catégories de masque FFP.
Masque FFP1
Ces masques de protection respiratoire filtrent au moins 80% des particules aérosols . Leur taux de fuite vers l’extérieur est de 22% au maximum. Les fabricants utilisent un élastique jaune afin d’identifier les masques ffp1.
Le masque ffp1 est fabriqué en papier flexible. Il est généralement utilisé en tant que masque anti-poussière . En effet, il protège le porteur contre l’inhalation de poussières nocives, mais qui ne sont pas toxiques . Si ces poussières ne provoquent pas de maladies, elles peuvent tout de même irriter les voies respiratoires et dégager des odeurs désagréables.
Les masques ffp1 protègent contre les poussières fines émanant de la laine de verre, du charbon ou encore du bois. Ces équipements de protection respiratoire sont utilisés dans les chantiers de BTP, dans l’industrie agroalimentaire ainsi que lors des travaux de bricolage. Les masques ffp1 peuvent également protéger contre certains allergènes tels que le pollen.
Masque FFP2
Ces masques de protection respiratoire ont une capacité de filtration d’au moins 94% . Le taux de fuite toléré vers l’extérieur est de 8% au maximum. Des élastiques de couleur blanche ou bleu permettent d’identifier les masques ffp2.
Les masques ffp2 protègent le porteur contre les poussières ainsi que les aérosols toxiques . Ils peuvent être utilisés lorsque l'air est chargé en poussières et en fumées toxiques . On peut les porter lorsque l’atmosphère est chargée en agent pathogène .
On utilise notamment les masques ffp2 dans l’industrie chimique, métallurgique ou agroalimentaire. En effet, l’inhalation à long terme de vapeurs ou de fumées toxiques peut provoquer des maladies respiratoires telles que le cancer des poumons. Ces masques sont également utilisés au sein de l’univers médical .
Les masques ffp2 sont utilisés par le personnel soignant des hôpitaux puisqu’ils peuvent empêcher l’inhalation de bactéries ainsi que des virus grippaux . Lorsqu’ils sont à usage hospitalier, les masques ffp2 sont dépourvus de valve afin d’éviter de contaminer l’environnement extérieur.
Masque FFP3
Ces masques offrent la meilleure protection contre l’inhalation d’aérosol. Ils peuvent filtrer 99% des particules présentes dans l’air et ont un taux de fuite maximal de 5%. Les masques ffp3 sont reconnaissables à leurs élastiques rouges.
Les masques ffp3 sont ceux qui offrent le plus haut niveau de filtration. Ils protègent le porteur contre les particules très fines . Ces particules peuvent notamment être radioactives ou cancérigènes . Ils protègent notamment contre les particules d’amiante, de plomb ou encore de céramique . Ces masques de protection sont recommandés lorsque le taux de concentration des particules polluantes est vingt fois supérieur à la valeur maximale d’exposition.
Les masques ffp3 protègent également le porteur en cas d’ épidémie biologique . Tout comme les masques ffp2, les masques ffp3 retiennent les bactéries ainsi que les virus grippaux . Cependant, ils ne sont pas utilisés par le personnel soignant des hôpitaux puisqu’ils sont systématiquement équipés d’une valve afin de faciliter la respiration.
Voir aussi : https://fr.wikipedia.org/wiki/Masque_de_protection_FFP .
Génial :-)
Si le GHB est donc inodore et incolore, l’association belge de prévention et d’écoute Infor Drogues précise toutefois qu’il peut avoir un « goût salé ». Ce que confirme une lectrice de 20 Minutes, qui pense avoir été droguée avec : « On m’a servi une vodka agrémentée de boisson énergisante. Ma boisson sentait le liquide vaisselle et avait un goût moitié sucré, moitié salé, ça aurait dû m’alerter », regrette la jeune femme, qui plaide pour de vastes campagnes de prévention contre l’usage de cette drogue.
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Comment se prémunir d’une intoxication ?Il y a quelques années, des étudiants américains ont mis au point un vernis anti-GHB, qui, si une boisson contient cette substance, change de couleur lorsque l’on trempe son doigt dans son verre. Un dispositif similaire, qui a la forme d’un jeton de caddie, permet lui aussi, en y versant une goutte de sa boisson, de détecter la présence de GHB avec une « efficacité de 99,3 % », assurent ses créateurs. En boîte de nuit ou en soirée, la première précaution reste de ne pas laisser son verre sans surveillance et de ne pas accepter une boisson offerte par une personne inconnue. Sans compter les « capotes » pour verre, des protections transparentes et réutilisables permettant d’éviter qu’une drogue y soit glissée.
En réaction aux témoignages de femmes droguées au GHB qui se sont accumulés ces dernières semaines, le collectif Héro.ïnes 95 a lancé un mouvement de boycott des bars et établissements de nuit à compter du 12 novembre dernier, et appelle les dirigeants de lieux festifs – bars, discothèques et salles de concert – à organiser « la formation du personnel à la prévention des violences sexistes et sexuelles ».