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Sous l’effet du réchauffement, la période des pollens dure désormais dix mois par an. Les explications de Samuel Monnier, ingénieur au RNSA.
Un "cornu cutaneum", aussi appelé "corne cutanée", est une tumeur rare et le plus souvent bénigne, qui prend la forme d'une corne faite de kératine. Elle doit son nom à sa forme bien sûr, mais aussi au fait qu'elle se développe souvent sur le visage, et plus particulièrement sur le front.
La poussée semble en effet être causée par une exposition aux radiations, notamment solaires, ce qui explique sa présence sur des zones souvent exposées au soleil (visage et mains).
C'est bien ça
Au Japon, l'entreprise "Piala Inc" donne à son personnel non-fumeur 6 jours de congés supplémentaires par an par rapport aux fumeurs pour compenser le temps que ces derniers consacrent aux pauses cigarette. C'est également une manière simple d'inciter les employés à ne plus fumer.
Non, il ne s'est pas arrêté à la frontière. Merci de le rappeler.
Les premières générations de lentilles optiques étouffaient la cornée. Celle-ci dépend principalement de son exposition à l'air pour ses échanges gazeux, étant très peu irriguée. En la couvrant, on la prive d'oxygène et on empêche le rejet du CO2, ce qui peut induire des complications. Les lentilles actuelles sont donc perméables aux gaz.
C'est quand même beau les progrès technologiques qu'on a pu réaliser :-)
Une très intéressante vidéo sur le comportement à adopter en cas de commotion cérébrale ...
Températures normales du corps humain
- Mesure rectale : de 36,6° à 37,8°C
- Mesure axiliaire (sous le bras) : de 34,7° à 37,3°C
- Mesure buccale (dans la bouche) : de 35,5° à 37,5°C
- Mesure auriculaire : de 35,8° à 37,8°C
[...]la disponibilité des masques N95, de plus haut niveau de filtration que les masques dits chirurgicaux, est limitée. Mais des chercheurs du Beth Israel Deaconess Medical Center de Boston ont montré qu’il était possible de les désinfecter au moins 25 fois, sans qu’ils perdent leur pouvoir filtrant et leur étanchéité. Une bonne nouvelle pour les établissements de santé, qui font face à des pénuries.
Les masques N95, tout comme leurs équivalents européens FFP2, sont conçus pour filtrer au moins 95% des particules en suspension dans l’air. Ils sont ainsi beaucoup plus efficaces que les masques chirurgicaux utilisés par la population pour limiter la transmission du virus (de surcroît depuis l’apparition d’Omicron). Déclinés en plusieurs modèles et tailles afin de s’ajuster au mieux au visage des usagers, ils garantissent une parfaite étanchéité. C’est pourquoi ils sont couramment utilisés dans les hôpitaux du monde entier.
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En septembre 2020, une étude américaine avait d’ores et déjà démontré qu’il était possible de décontaminer les masques N95 afin de les réutiliser ; quatre méthodes de décontamination avaient été évaluées à l’époque :
- la lumière UV (260-285 nm),
- la chaleur sèche à 70 °C,
- l’éthanol à 70%
- et le peroxyde d’hydrogène vaporisé (VHP).
« Les performances de filtration du masque N95 n’étaient pas sensiblement réduites après une seule décontamination pour chacune des 4 méthodes de décontamination », ont conclu les chercheurs. La désinfection au VHP s’est avérée la plus efficace, les performances de filtration ayant été jugées « acceptables » même après trois cycles de décontamination. Mais il semblerait aujourd’hui que ces masques peuvent résister à bien plus de cycles.Dans une nouvelle étude publiée la semaine dernière, des scientifiques ont entrepris de tester davantage la résistance de ces masques : ils ont ainsi décontaminé des masques N95, utilisés par sept volontaires, à 25 reprises avec du VHP. À noter que le VHP est déjà largement utilisé pour la stérilisation des dispositifs médicaux réutilisables. Le processus est effectué dans des conditions de vide poussé (généralement de 1 à 10 millibars), à des températures comprises entre 28 et 40 °C.
D’après leurs résultats, le pouvoir protecteur des masques est resté identique, même après 25 cycles du traitement destiné à éliminer toutes les particules de virus. « L’efficacité de filtration est restée supérieure à 95% même après 25 cycles de retraitement, sans changement statistiquement significatif entre les cycles 20-25 et le cycle 0 », résume l’équipe dans American Journal of Infection Control. Les chercheurs précisent que ni la capacité de filtration ni l’étanchéité du masque n’ont été altérées ; les masques demeuraient bien ajustés au visage de leurs utilisateurs, après chaque cycle de décontamination.
Régulièrement, l’équipe se livrait à des tests d’ajustement quantitatif et qualitatif : il s’agissait de détecter d’éventuelles fuites d’air le long du joint du masque et de vérifier que l’usager ne puisse détecter aucune odeur. Mais aucun changement n’a été constaté, du premier cycle jusqu’au dernier. « Le VHP est une méthode relativement sûre pour retraiter les masques N95 et pourrait aider à remédier aux pénuries lors d’épidémies futures », souligne dans un communiqué Christina F. Yen, auteure principale de l’étude.
Une décontamination possible par chaleur sècheSelon l’équipe, les masques N95 auraient pu résister à des cycles supplémentaires, mais un rapport de la Food and Drug Administration avait déjà souligné qu’à partir de 35 cycles, les sangles du masque commençaient à se dégrader. Leur résistance à 25 cycles est néanmoins déjà une très bonne nouvelle pour le personnel hospitalier travaillant dans des établissements où les stocks sont limités.
Certes, les particuliers qui souhaiteraient réutiliser leurs masques N95 ou FFP2 ne disposent certainement pas d’une chambre de décontamination au VHP. Mais d’autres techniques de décontamination plus « accessibles » existent, telles que la décontamination par chaleur sèche (comme celle fournie par un four). Une étude récemment publiée dans PLOS One rapporte en effet que le virus devient indétectable après une exposition à une chaleur de 100 °C pendant 30 minutes; après 4 cycles de stérilisation, les masques avaient conservé leur intégrité structurelle et restaient ajustés à leur porteur.
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Toutes les personnes infectées par le SARS-CoV-2 ne développent pas des symptômes graves du Covid-19. Cela signifie-t-il pour autant que la maladie est bénigne ? Des chercheurs allemands démontrent que même en cas de Covid-19 léger ou modéré, les fonctions du cœur, des reins, des poumons et des vaisseaux sanguins sont affectées de manière mineure mais non négligeable chez les plus de 45 ans. Un suivi est donc recommandé après l'infection.
Le protocole sanitaire de niveau 3, appliqué actuellement dans les écoles, stipule que : lorsque la pratique [sportive] en intérieur est indispensable, seules les activités de basse intensité compatibles avec le port du masque et une distanciation de 2 mètres sont autorisées.
Les informations sont aussi disponibles sur le site de l'éducation nationale : https://www.education.gouv.fr/covid19-mesures-pour-les-ecoles-colleges-et-lycees-modalites-pratiques-continuite-pedagogique-et-305467.
Suite à l’évolution de la situation sanitaire, le Gouvernement a annoncé des mesures renforcées de restrictions qui entreront en vigueur à partir du lundi 3 janvier 2022 et ce jusqu’au 24 janvier 2022.
Ces mesures permettent de préserver l’activité des pratiquants comme celle des salles, clubs et gestionnaires d’équipements.
Outre la présentation du Pass sanitaire, puis à partir du 15 janvier 2022 du Pass vaccinal sous réserve de l’adoption par le Parlement, le port du masque redevient obligatoire et il est formellement interdit de le retirer même momentanément dans les équipements sportifs couverts et de plein air (ERP X et PA), excepté au moment de la pratique sportive et de son encadrement effectif.
Les conditions d’accueil dans les enceintes sportives évoluent également avec une limitation à 2.000 personnes pour les événements organisés en intérieur et à 5 000 personnes en extérieur
Enfin, la consommation de boissons et d’aliments sera interdite dans les espaces sportifs.
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Interview du Dr Pierre Weyrich, infectiologue à l’hôpital Saint-Philibert (Lomme, Hauts de France), au sujet du port du masque pendant la pratique sportive.
Pour rappel :
- le masque protège les autres en évitant d'émettre des gouttelettes et des aérosols ;
- le masque protège son porteur en évitant d'inhaler des particules virales ;
- on ne peut pas garantir les performances d'un masque fait maison.
"La transmission par aérosols est importante dans les endroits confinés, par exemple, dans les vestiaires d’un stade. Par contre, en extérieur les aérosols se dispersent très rapidement, c’est pourquoi le risque est quasi nul. D’ailleurs, le Haut Conseil de la santé publique ne préconise pas de port du masque en extérieur, sauf si on ne peut vraiment pas avoir de distanciation physique, par exemple si l’on se trouve au milieu d‘une foule, comme un marché. L’obligation du port du masque en extérieur en toutes circonstances est une décision surtout politique."
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"Quand on fait du sport, on augmente ses besoins en oxygène et on respire donc plus vite et plus profondément. Le masque réduit notre capacité à y parvenir, on doit en quelque sorte faire plus d'efforts respiratoires. Ce qui peut induire une sensation de manque d'air, évidemment pas très agréable.
Quand on fait du sport, les capacités de filtration du masque vont être altérées dans la mesure où il s'humidifie beaucoup plus vite, ce qui le rend rapidement moins efficace."