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Vidéo en anglais expliquant comment faire du feu avec une planchette et un archet.
Les gestes à adopter avant chaque baignade
- Assurez-vous de votre niveau de pratique.
- Prévenez vos proches lorsque vous allez vous baigner.
- Si vous ressentez le moindre frisson ou trouble physique, ne vous baignez pas.
- Préférez les zones de baignade surveillées.
- Informez-vous sur les conditions de baignade (courants, dangers naturels, etc).
- Respectez toujours les consignes de sécurité signalées par les drapeaux de baignade et/ou par les sauveteurs.
- Ne consommez pas d'alcool avant et pendant la baignade.
- Rentrez dans l’eau progressivement, surtout après une longue exposition au soleil.
Les bonnes pratiques concernant les plus petits
En raison de la crise sanitaire, l’apprentissage de la natation chez les enfants n’a pas pu se faire dans des conditions normales depuis mars 2020. Il est donc primordial de respecter ces bonnes pratiques à destination des plus jeunes :
- Apprendre aux enfants à nager le plus tôt possible et les familiariser à l’aisance aquatique dès le plus jeune âge.
- Surveiller les enfants en permanence, toujours rester près d’eux quand ils jouent au bord de l’eau et se baigner avec eux lorsqu’ils sont dans l’eau.
- Porter une vigilance particulière lors des baignades dans des piscines « hors sol » (non enterrées) qui ne disposent pas de dispositif de sécurité, ce dernier ne remplaçant pas la surveillance active et permanente des enfants par un adulte.
[...]
Enfin, rappelons que, quel que soit votre âge, il n’est jamais trop tard pour apprendre à nager !
Les noyades en FranceChaque année, les noyades accidentelles sont responsables d’environ 1 000 décès en France, dont environ la moitié entre juin et septembre. Chez les moins de 25 ans, les noyades accidentelles constituent même la première cause de mortalité par accident de la vie courante.
Entre le 1er juin et le 5 juillet 2021, on a dénombré 654 noyades en France, qui ont entraîné 79 décès selon l’enquête en cours menée par Santé Publique France. Comparé à l’enquête de 2018 sur la même période, cela représente 22 % de noyades en plus, et une augmentation de 58 % des décès.
Les lignes haute-tension sont équipées de dispositifs de surveillance qui détectent les défauts d’isolement et coupent le courant, en cas de retours à la terre ou de courts circuits par exemple. Mais comme ces défauts peuvent être ponctuels, les lignes se réarment trois fois automatiquement avant de se couper totalement et de nécessiter une intervention manuelle.
L’intervalle de temps peut aller de quelques secondes à une ou deux minutes. Une ligne tombée au sol présente donc un grand danger immédiatement après la chute : le courant peut y être rétabli à tout moment.
Parmi les inventions initialement conçues pour l’espace et la Nasa, la couverture de survie est l’une des plus connues. Elle servait à l’origine à protéger les appareils sensibles de la chaleur et du froid de l’espace. Ce n’est que bien après que les sportifs ont commencé à l’adopter pour ne pas risquer l’hypothermie juste après un effort important comme un marathon. Peu à peu, les services de secours l’ont adoptée pour les missions de secours diverses. La couverture de survie utilisée par les secours est généralement très fine et possède un côté argenté et un côté doré. Savez-vous de quel côté il faut la tourner pour se protéger ? Réponse rapide : cela dépend si l’on souhaite se protéger du froid ou du chaud. Les deux faces de la couverture ont des rôles différents et on va voir ici comment ça marche. La couverture de survie est un film plastique très fin (13 µm) en polyéthylène téréphtalate (plastique PET) recouvert d’aluminium d’un côté et de polyimide de l’autre. Ces deux matériaux ont des rôles différents. Le côté recouvert d’une très fine couche d’aluminium (déposée par vaporisation du métal) est très réflectif, en particulier dans le domaine des infrarouges qu’il réfléchit à plus de 90 % et qui constitue la chaleur rayonnante. Dit autrement, le côté argenté réfléchit la chaleur. L’autre côté, à l’apparence dorée bien souvent, est plus sombre et moins réflectif. Ce côté absorbe donc plus de lumière et d’infrarouges. Dans le cas où l’on a froid, il faut tourner la face argentée vers soi. Ainsi, la surface aluminisée va renvoyer vers vous la chaleur rayonnée par votre corps. Les pertes thermiques de votre corps seront donc nettement plus faibles. De plus, le côté doré absorbant la chaleur sera exposé vers l’extérieur et pourra donc capter et vous transmettre la chaleur extérieure (par exemple celle de la lumière du Soleil) : La couverture de survie agit donc de deux façons simultanément et dans le même sens : votre chaleur corporelle est conservée et la chaleur externe est également absorbée et réémise vers vous. Si l’on souhaite se protéger de la chaleur ou du Soleil, il faut mettre la face argentée vers l’extérieur. Cela va réfléchir la lumière vers l’extérieur et l’empêcher de vous réchauffer. Votre corps, ainsi protégé de la chaleur incidente, pourra tranquillement évacuer sa chaleur par son mécanisme naturel : la transpiration : La face dorée, elle, va accentuer la déperdition de chaleur vers l’extérieur en absorbant une bonne partie de la chaleur rayonnée par votre corps et en la renvoyant là aussi vers l’extérieur. Pour se souvenir du sens dans lequel il faut mettre la couverture, on peut observer la combinaison anti-chaleur des pompiers, de leur casque argenté ou bien tout simplement des protège-soleil dans les voitures : tous sont argentés pour renvoyer la lumière et la chaleur dehors. N’oubliez pas cependant : la couverture de survie agit comme un miroir à chaleur, mais il faut qu’il y ait un espace entre elle et vous. Autrement, l’effet miroir ne marchera pas. Il faut donc utiliser la couverture de survie par-dessus vos vêtements et ne pas la coller contre vous ou la serrer fortement contre soi.
Un champignon qui prend bien la braise et la conserve facilement ...
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"Quand on a froid, c'est pas parce qu'il fait froid, c'est parce qu'on est mal habillé." Mike Horn
Quelques conseils vestimentaires et de nutrition pour le froid et le grand froid.
En vrac :
- les sous-vêtements en laine mérinos, c'est LE top ;
- 1ère couche en laine mérinos à 150 g/m² ;
- à partir de la 2ème couche, des sous-vêtements en laine mérinos à 200 g/m², à raison d'une couche supplémentaire par tranche de 10°C ;
- les couches se superposent sans JAMAIS comprimer celles du dessous ;
- la fameuse paire de chaussettes toujours sèche : dès que les chaussettes sont humides, on les remplace par une paire bien sèche et on les met à sécher en les gardant contre soi sous les vêtements (elles seront sèches en 1h) ;
- le sous-pantalon pas trop long pour ne pas être superposé avec les chaussettes
- des chaussures trop serrées, c'est des pieds froids à coup sûr ;
- toujours rester sec ; être humide (voire mouillé), c'est avoir froid ;
- avoir des bonnets en laines à superposer aussi et un tour de cou ;
- quand il fait bien sec, le duvet est très bien mais la laine est plus intéressante s'il ne fait pas trop froid ;
- les moufles réchauffent mieux les doigts que les gants ;
- toujours bien s'hydrater (3 à 5 litres par jour) même quand il fait froid ;
- manger des protéines dans la journée, et réserver le gras pour le soir.
Et encore d'autres conseils à écouter et ré-écouter ...
Intéressant, le coup de la sangle avec ses 2 anneaux ...
Voir à :
- 1'10" le matos préconisé
- 2'45" la technique
L’élément le plus important de la confiance en soi est sans doute la possibilité d’agir, si possible contre la menace, à défaut d’agir tout court. Dans le film d’Alain Resnais, Mon oncle d’Amérique, le professeur Henri Laborit décrit une expérience de laboratoire. Un rat, seul dans une cage, subit des décharges électriques. À la fin de l’expérience, le rat présente tous les symptômes de stress aggravé. Lorsqu’on place deux rats ensemble dans la même cage et sous les mêmes décharges électriques, on s’aperçoit à la fin de l’expérience qu’ils ne présentent pas de signes de stress. La différence avec le premier cas est qu’ils se sont battus entre eux. Cela n’a diminué en rien la quantité d’électricité reçue mais, au contraire du premier rat qui n’a fait que subir, ils ont agi. La comparaison avec les rats peut choquer, pourtant la réalité est la même, un combattant qui agit diminue sa tension nerveuse, encore faut-il qu’il puisse agir.
On a évoqué la difficulté de la période d’attente avant le combat. De la même façon, une étude sur les troubles psychologiques dans la Royal Air Force de 1941 à 1945 montre que ceux-ci frappèrent surtout les équipages de bombardiers, pour la plupart soumis à une menace diffuse, mais permanente lors de leur missions. De nombreux pilotes de chasse avouent aussi avoir préféré affronter la chasse adverse plutôt que l’artillerie antiaérienne contre laquelle ils ne pouvaient rien. Cette action sécurisante consiste souvent à ouvrir le feu, pour rien sinon satisfaire son besoin de faire quelque chose. Certains sont trop stressés pour prendre même cette décision, il faut alors les obliger à faire quelque chose de positif comme creuser un poste de combat ou apporter les premiers soins à un camarade par exemple. L’expérience montre qu’ils s’empresseront de le faire, même si c’est dangereux, car cela les soulage aussi.
Une autre expérience psychosociale a consisté à faire travailler deux groupes d’individus dans des pièces séparées, mais avec, pour tous, un fond sonore permanent très déplaisant. Les membres d’un de ces groupes disposaient d’un bouton permettant d’arrêter le bruit, les autres en étaient dépourvus. Les résultats des travaux de ceux qui disposaient d’un bouton furent meilleurs mais, ce qui est plus étonnant, sans que ce bouton ne soit utilisé. Le simple fait d’avoir la possibilité d’agir sur leur environnement avait suffi. À Sarajevo de 1992 à 1995, les règles d’ouverture du feu, dans le cadre des règlements des Nations Unies, pouvaient varier considérablement d’un bataillon à l’autre. Dans certains cas, le chef de corps se réservait seul le droit de faire ouvrir le feu ; dans d’autres unités, au contraire, l’initiative du tir était laissée au jugement de chacun, quel que soit son grade. La complexité des situations fit que les bataillons « décentralisés » n’ont pas beaucoup plus ouvert le feu que les unités « centralisées » mais il est certain que la frustration, et donc les troubles psychologiques, y fut bien moindre.
En résumé, dans ce premier cercle, l’homme doit se sentir fort, capable d’agir et avec le sentiment intime d’avoir de bonnes chances de s’en sortir. Pourtant cela ne suffit pas. En 1944, en Normandie et dans les Ardennes, de nombreuses unités américaines furent disloquées, entraînant la dispersion de milliers de soldats. Ces milliers d’hommes isolés furent d’une efficacité très faible. Les groupes formés à la hâte avec ces isolés ne s’avérèrent guère plus efficaces, limitant leurs actions à leur survie. En revanche les équipes de pièces, groupes de combat ou sections qui avaient été arrachés à leur position et à leurs unités d’origine, mais étaient restés ensemble pendant le repli, furent au contraire beaucoup plus solides. Aligner des hommes compétents ne suffit donc pas, il faut les « coudre ensemble » pour reprendre le mot de MacDonald à la bataille Wagram. Cette « couture morale » constitue le deuxième cercle de confiance. La force, c’est les autres.
Peyton Quinn a 4 règles très pratiques pour éviter et désescalade les situations violentes. Elles sont simples à comprendre :
- Ne l’ignorez pas
- Ne l’insultez pas
- Ne le provoquez pas, ni n’acceptez ses provocations
- Laissez-lui une porte de sortie honorable
Eh oui ! L'évaporation est l'un des moyens de refroidir un corps.
HEAT = Hostile Environment Awareness Training
Un stage HEAT vise à préparer des humanitaires (ou autres civils) travaillant dans un contexte "un peu" particulier sur le plan sécuritaire.