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C'est la saison : ne jetez plus vos noyaux de pêches, un coup sous l'eau, dans la poche et plantez-les !
5cm dans la 1ère terre croisée :
- au pied des arbres en ville
- dans les massifs des espaces verts
- au pied des poteaux en campagne ou à l'orée des bois
- le long des rivières…
Donnez-leur une chance quoi 🙂
Et ça marche toute l'année : cerises, abricots, prunes… c'est vivant tout ça !
Les arbres stockent du carbone en poussant, et les fruits ne seront pas perdus pour tout le monde…
Qu’est-ce que le Seed Bombing ?
Le Seed Bombing, késaco ? C’est une technique pour fabriquer des bombes, mais des bombes écolos et pacifistes ! Les seed bombs sont des petites boules d’argiles chargées de graines, que vous pouvez « lancer » n’importe où et qui germeront avec l’arrivée de la pluie. Cette solution permet d’implanter toutes sortes de végétaux dans des endroits souvent inaccessibles.
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Comment réaliser une seed grenade ?
Votre seed bomb va se composer de deux tiers d’argile, un tiers de terreau et un mélange de graines. Le terreau sert, bien sûr, à faire pousser les graines. L’argile, quant à elle, permet de solidifier l’ensemble de la balle. Pensez à humidifier le tout pour obtenir une terre compacte. C’est lorsque vous malaxerez la terre que vous obtiendrez vos petites balles.Si vous souhaitez jeter vos graines à des emplacements verticaux, dans des fissures de mur par exemple, il faut penser à intégrer à vos bombes de graines de quoi fixer l’envoi. Vous pouvez opter, par exemple, pour un mélange de sucre fondu et de crème fraîche, un adhésif naturel et hyper efficace !
Attention, pensez à privilégier des graines de plantes locales, afin de ne pas bouleverser l’écosystème. Maintenant, ne reste plus qu’à lancer vos petites bombes de partout !
Pas bête ça :-)
Finaliste d’un concours scientifique national pour prodiges de la science, l’invention de l’adolescente fonctionne en cinq étapes : une filtration pour éliminer les particules dans l’air ; une filtration par nanotubes de carbone ; une chambre d’électrolyse et une pile à hydrogène qui capte la vapeur d’eau pour produire une énergie verte ; et, enfin, une filtration utilisant la lumière ultraviolette pour éliminer les polluants organiques de l’air. Cinq bonnes raisons de modifier les pots actuels…
hahaha imagines t'as payé une voiture super-super-cher, et le constructeur te fait payer 18 dollars par MOIS pour avoir le droit d'utiliser les sièges chauffant qui sont déjà dans ta voiture. Juste imagines.
En plus cela veut dire que des ressources ont été consommées pour fabriquer et intégrer dans la voiture tout un tas d'équipements qui ne seront potentiellement jamais utilisées.👌 Parfait écologiquement, changez rien les gars.
Bravo BMW ! C'est quoi le bilan carbone pour cette option ?
Le compostage est un excellent moyen de rendre à la Terre, tout en l’enrichissant, une partie de ce qui a été prélevé pour nous nourrir, et de valoriser nos déchets végétaux. Il se pratique à la campagne, mais aussi à la ville, au travers des jardins partagés et même au pied des immeubles. A vos composts!
L'invité du jour : Jean-Jacques Fasquel, maître composteur
« Faire un compost avec ses bio-déchets quand on habite en ville, ce n’est pas si compliqué. » Tel est le message de Jean-Jacques Fasquel.
Pionnier du compostage urbain de la capitale, il a contribué à faire évoluer les esprits. Alors qu’une telle pratique pouvait il y a quelques années encore passer pour saugrenue, Jean-Jacques Fasquel compte aujourd’hui plus de 300 collègues maîtres composteurs dans toute la France et dénombre plus de 439 sites de compostage urbain rien qu’à Paris. Retrouvez le site du maître composteur ici (http://www.compostory.fr/).
Description : durée : 00:55:35 - Le temps d'un bivouac - par : Daniel FIEVET - A quoi servent les champignons ? Francis Martin microbiologiste, directeur de recherche à l’INRA de Nancy et responsable du laboratoire d’excellence ARBRE éclaire notre lanterne cet après-midi. - invités : Francis MARTIN, Sandra Reinflet - Francis MARTIN Sandra REINFLET
Avec la chimie verte, l'humanité détiendrait les clefs d’un monde moins toxique, plus durable et plus accueillant aussi. Pourrait-elle sauver la planète bleue ? Stéphane Sarrade, chercheur au Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives dans le domaine de la chimie verte y croit sincèrement !
Depuis les années 1950, nous sommes entourés de produits chimiques, et la chimie est plutôt mal vue. Responsable des décharges toxiques, des catastrophes et de la pollution, elle fait souvent figure d’épouvantail de la recherche scientifique. Pourtant, la chimie peut présenter une autre face : elle est indispensable à notre compréhension du monde et de l’Univers. Elle est au cœur de la production de nourriture, de médicaments, de carburant, et d’innombrables produits.
Stéphane Sarrade est chercheur au Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives dans le domaine de la chimie verte. Un sujet qu’il défend avec passion et qu’il raconte avec jubilation. Sa tasse de thé ? Le café décaféiné, qui doit beaucoup à cette chimie différente....
Bibliographie
- De la Joconde aux tests ADN, jusqu'où ira la chimie ? 2015, Le Pommier, collection Les Petites Pommes du Savoir
- La chimie d'une planète durable, 2011 Le Pommier
- La chimie est-elle réellement dangereuse ? Le Pommier 2010
- Quelles sont les ressources de la chimie verte?, EDP Editions 2008
- Stéphane Sarrade parle de son parcours dans cette vidéo de la série "un parcours, un métier"
Et vous, vous faites quoi pour la planète ? La parole est aux climatosceptiques et à ceux qui s'en foutent.
Lorsqu'une parcelle d'herbe est tondue, une odeur printanière souvent appréciée en émane. Pourtant, la réaction chimique à l'origine de l'odeur est un mécanisme de défense visant à repousser les organismes qui pourraient nuire à la plante ainsi qu'à attirer certains insectes à son aide. >L'herbe dégage en effet des substances volatiles qui vont alerter certains insectes friands d'insectes herbivores afin de protéger les brins d'herbe qui n'ont pas encore été attaqués.
On note alors une relation tripartie où la plante préviendra l'agresseur de son agresseur afin de protéger les autres brindilles encore intactes. Ce phénomène porte un nom : l'écologie chimique.
Par ailleurs, les brins d'herbe prévenus se prépareront à l'éventualité d'être également attaqués et transporteront leurs ressources vers leurs racines afin de maximiser les chances de repousse.
Découvrez notre calendrier de saisonnalité des fruits et légumes bio de saison pour cuisiner avec des produits frais et locaux toute l'année. Varier les plaisirs avec l'ensemble des variétés que vous préparerez pour petits et grands.
- Quelle pollution sonore les éoliennes engendrent-elles ?
[...] La réglementation prévoit la mesure de l’émergence, c’est-à-dire la différence entre le niveau de bruit lorsqu’un parc est en fonctionnement et le niveau de bruit lorsqu’il est à l’arrêt. Elle ne doit pas être supérieure à 5 dB(A) en journée et 3 dB(A) pour un niveau de bruit supérieur à 35 dB(A).
[...]
Un nouveau protocole de mesures doit être utilisé depuis janvier 2022, et « il prend en compte de nouveaux paramètres, dont les vents dominants », explique Michel Gioria, délégué général de France Énergie Éolienne. Depuis janvier dernier, les parcs sont aussi soumis à un contrôle systématique après leur mise en service. Avec d’éventuels bridages ou arrêts décidés par les préfets en cas de dépassement.
- Quels sont leurs impacts sur la santé ?
La cour d’appel de Toulouse ne s’est pas contentée de reconnaître des nuisances sonores en juillet 2021. Elle a octroyé des dommages et intérêts aux personnes, considérant qu’elles souffraient du « syndrome de l’éolien ». Ce dernier est mentionné dans un rapport de l’Académie de médecine de 2006, actualisé en 2017.
Ce syndrome regroupe une série de symptômes très divers : fatigue, maux de tête, anxiété, agressivité… Pour l’Académie, « l’éolien terrestre ne semble pas induire directement des pathologies organiques », mais il peut altérer la qualité de vie de certains riverains. D’où une série de recommandations, principalement en matière de surveillance des niveaux sonores et d’information préalable à l’implantation des parcs.
L’Agence de sécurité sanitaire (Anses) a aussi publié en 2017 un rapport sur les effets sanitaires des basses fréquences sonores et infrasons dus aux parcs éoliens. Elle concluait qu’il n’y avait pas lieu de modifier les valeurs limites d’exposition au bruit existantes, ni d’introduire des limites spécifiques aux infrasons et sons de basses fréquences. Mais elle recommandait de renforcer l’information des riverains, de surveiller l’exposition au bruit et de poursuivre les recherches.
- Les éoliennes tuent-elles des oiseaux et des chauves-souris ?
La réponse est « oui » – en moyenne, sept par éolienne et par an ; selon les suivis obligatoires effectués. « Mais les mortalités sont très hétérogènes, détaille Geoffroy Marx, responsable du programme énergies renouvelables et biodiversité à la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO). Elles sont nulles dans certains parcs, alors que d’autres tuent un grand nombre d’oiseaux ou des espèces d’intérêt communautaire (en danger, vulnérables, rares ou endémiques). » Selon cet expert, la mortalité est deux fois plus importante à proximité des zones de protection spéciale (ZPS) Natura 2000. La LPO milite donc pour le respect de ces zones, ainsi que celui des forêts et des espèces particulières.
De son côté, France Énergie Éolienne, l’association porte-parole des entreprises, cite trois voies principales pour limiter les collisions : « déplacer les parcs de quelques kilomètres, développer des systèmes pour effaroucher les oiseaux et brider les éoliennes à certaines périodes ». Des mises à l’arrêt sont d’ores et déjà réalisées lorsque des agriculteurs entament leur récolte, provoquant des envolées. Ou lorsque la LPO signale que les grues cendrées se mettent en route pour leur migration.
- Les éoliennes entraînent-elles une pollution visuelle ?
Les éoliennes sont hautes, donc bien visibles. Selon un sondage Harris Interactive réalisé pour le ministère de la transition écologique l’été dernier, les Français sont partagés sur le plan esthétique : 52 % des sondés trouvent ça beau, 47 % trouvent ça laid.
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- Qu’en est-il de leur pollution lumineuse ?
Les éoliennes sont aussi critiquées pour leur allure de « guirlandes lumineuses » la nuit. « Cet éclairage est demandé par l’aviation civile et militaire avec une intensité et des fréquences imposées », rappelle Michel Gioria.
La situation, là encore, est en train d’évoluer. Plusieurs expérimentations ont été lancées ou sont en cours : la première avec des faisceaux vers le ciel et non plus à l’horizontale et une réduction de la fréquence des flashs ; la seconde avec l’allumage de quatre éoliennes sur huit ; et la troisième avec un allumage par détection, uniquement lorsqu’un avion approche. « Un bilan sera dressé d’ici l’été », annonce le délégué général de France Énergie Éolienne.
- Les éoliennes polluent-elles les sols ?
« Les fondations en béton qui restent dans le sol, c’est terminé », a déclaré Barbara Pompili, ministre de la transition écologique, lors d’une conférence sur l’éolien en octobre 2021. Le démantèlement des installations est un sujet sensible. Les règles du jeu ont été durcies, notamment par un arrêté de juin 2020 qui impose une excavation totale des fondations et le remplacement par des terres de caractéristiques comparables aux terres en place à proximité.
Le montant des garanties financières pour couvrir le démantèlement a été augmenté, et des taux minimaux de recyclage et de réutilisation des composants ont été fixés. La durée de vie des éoliennes est de l’ordre d’une vingtaine d’années, et les premiers parcs installés touchent à leur fin. Moins d’une vingtaine de parcs sont aujourd’hui en cours de démantèlement – ou de renouvellement par l’installation de nouvelles éoliennes. Mais le mouvement va se déployer très largement entre 2027 et 2032.
- Assainissement Ecologique
- Valorisation de l'Eau de Pluie
- Gestion des eaux grises
- Toilettes Sèches
- Eautarcie en Ville et dans le Monde
- Gestion Conjointe de l'Eau et de la Biomasse
- Réflexions sur les politiques de l’eau
ECONOMIE CIRCULAIRE C’est une des mesures phares de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (Agec). A partir du 1er janvier, la destruction des invendus non-alimentaires sera interdite, ce qui doit théoriquement mettre fin à un gaspillage qui choque, justifie le gouvernement.
Enfin !
À Pékin, dans certaines stations, on peut payer tout ou partie de son ticket de métro en recyclant des bouteilles en plastique : le distributeur applique une réduction en fonction du nombre de bouteilles introduites. Il faut tout de même 20 bouteilles pour payer l'intégralité du billet.
Les noms courants des plantes et leurs noms botaniques sont quelquefois source de confusion : ainsi l’arbre que vous connaissez sous le nom de mimosa est en réalité un « Acacia » et celui que vous connaissez sous le nom d’Acacia est un « Robinier ».
Congeler les aliments sans les dénaturer. Une voie d'avenir.