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En résumé, ils ont fait un long trajet sur une journée classée noire et n'ont eu aucun souci de recharge, malgré leur petite voiture pas taillée pour ce type de route.
Oups...
Tiens, je te vends une passoire... Maintenant, il faut raquer pour que je te fournisse aussi le cadenas qui va bien avec !
2 classifications :
- La classification NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) comporte 5 niveaux allant de 0 à 4. Les 3 premiers niveaux d’autonomie ne peuvent pas rendre responsable le véhicule d'éventuels incidents, il ne s’agit simplement que d’aides à la conduite.
- La classification OICA (Organisation internationale des constructeurs automobiles) comporte 6 niveaux, soit 1 niveau de plus que le NHTSA, elle divise le niveau américain 3 en 2 niveaux, 3 et 4. Les niveaux 0, 1 et 2 sont identiques à la classification de NHTSA montrée précédemment.
Niveau 0
À ce niveau tout est manuel, le véhicule ne propose aucune autonomie vis-à-vis du conducteur. Il dispose simplement de mécanismes d’avertissement pour l’aider dans sa conduite et ses manœuvres tel que le radar de recul, voyants lumineux, etc. Le logiciel embarqué agit donc simplement comme un assistant.
Niveau 1
Dans ce niveau, une fonction primaire du véhicule peut être prise en charge par le conducteur, mais pas entièrement. La voiture ne peut prendre en charge qu’une seule dimension du guidage, longitudinale ou transversale. Le conducteur peut donc confier l’un ou l’autre au véhicule qui le gérera tout seul. Cependant, le conducteur reste à tout moment responsable des manœuvres sur lesquels il peut reprendre la main totale sur la conduite à tout instant.
Des exemples d’assistance de niveau 1 :
- Le régulateur adaptatif.
- Lane departure warning : littéralement « Avertissement de dépassement de voie » si le véhicule franchit la ligne blanche, un signal sonore retentit.
Niveau 2
À ce niveau le véhicule peut se mouvoir en autonomie dans les deux dimensions de conduite et le conducteur prend le rôle de surveillant. Il reste toujours responsable des manœuvres aussi automatisées qu'elles soient et peut intervenir à tout moment pour interrompre une manœuvre risquée.
Un exemple d’assistance de niveau 2 :
- L’assistance au stationnement.
Niveau NHTSA 3
Ce niveau est un cran au-dessus du niveau précédent car il permet temporairement aux conducteurs de déléguer la conduite et baisser son niveau de vigilance et effectuer d’autres tâches. Le véhicule peut toujours gérer la conduite sur les 2 dimensions de guidage. Cependant le conducteur doit s’assurer que les conditions nécessaires à cette autonomie soient présentes, le cas échéant il devra reprendre le contrôle.
Un exemple d’assistance de niveau 3 :
- Conduite dans les embouteillages, comme l'Automated Lane Keeping System sur autoroute jusqu'à un maximum de 60 km/h.
Niveau NHTSA 4
À ce stade, l’autonomie du véhicule est quasi-totale. Il peut prendre l’ensemble des fonctionnalités de conduite sous sa charge et ne requiert pas la supervision du conducteur. Le véhicule est le seul responsable durant ces manœuvres sans surveillance.
Un exemple du Niveau 4 :
- le Valet-Parking qui permet aux véhicules de se diriger vers un point, cependant le conducteur reste celui en charge d’activer ou non cette fonctionnalité
Niveau OICA 3
À ce niveau, le conducteur peut déléguer la conduite dans des situations précises.
Le conducteur pourra donc faire d’autres tâches pendant qu’il est dans un véhicule coincé dans les bouchons.
Cependant, si le véhicule indique son incapacité à gérer la situation, le conducteur devra être prêt à reprendre la conduite
Un exemple assistance niveau 3 :
- La fonction “embouteillage” du XC90 Volvo qui se place dans cette catégorie (voir aussi système automatisé de maintien dans la voie)
Niveau OICA 4
Dans un contexte limité et une situation prédéfinie, le véhicule est capable de se déplacer sans conducteur. On peut prendre l’exemple d’un véhicule capable d’aller se garer dans un parking. Il pourra également revenir chercher son conducteur le moment venu.
Niveau OICA 5
La voiture n'a plus besoin d'homme pour se déplacer et devient donc un taxi sans humain... L'Homme communique donc avec elle, mais ne prend plus les commandes, ce niveau n'est pas répertorié dans le système de classement américain.
Le pont d'Evergreen Point, qui traverse le lac Washington, est le plus grand pont flottant au monde. Il mesure environ 2350 mètres et supporte 6 voies routières. L'ensemble est soutenu par d'énormes caissons flottants en béton ancrés par des câbles. Le pont est subdivisé en portions articulées qui peuvent s'élever ou s'abaisser en fonction du niveau de l'eau et se déplacer latéralement.
Purée qu'elle est longue...
Spoiler alert ! L'électrique est plus fiable !
C'est fou : exposer quelqu'un — ne serait-ce qu'une minute — à un son de 100 Hz suffirait à réduire les nausées dues au mal des transports.
Le BSR (Brevet de Sécurité Routière) catégorie AM autorise la conduite des véhicules suivants, selon l'option choisie :
- Cyclomoteur (2 ou 3 roues) Vitesse maximale de 45 km/h. Cylindrée de 50 cm³ maximum s'il est à combustion interne à allumage commandé. Puissance du moteur maximale de 4 kilowatts.Ex. : scooter de 50 cm3)
- Quadricycle léger à moteur (Véhicule à moteur à 4 roues à habitacle fermé, conçu pour transporter au plus 2 personnes y compris le conducteur. Charge utile de 250 kg maximum. Vitesse maximale de 45 km/h. Moteur d'une puissance maximale de 6 kW. Cylindrée de 50 cm³ maximum pour un moteur à combustion interne à allumage commandé). Ex. : voiturette, quad dont la cylindrée ne dépasse pas 50 cm3)
Vous pouvez passer le BSR : BSR : Brevet de sécurité routière (catégorie AM) à partir de 14 ans.
Avec plus de 96 % des ventes de voitures neuves, l’électrique a le vent en poupe en Norvège, tordant le cou aux idées reçues. Et Tesla est en tête des immatriculations dans ce pays scandinave, prouvant que le froid n’est pas un obstacle, bien au contraire.
Les radars fixes, sentinelles immobiles de nos routes, bénéficieront d’une tolérance accrue en 2025. Pour les vitesses inférieures ou égales à 100 km/h, la marge d’erreur passera de 5 à 7 km/h. Cette augmentation offre une plus grande flexibilité aux conducteurs dans les zones urbaines et péri-urbaines.
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Les radars mobiles, souvent dissimulés dans des véhicules banalisés, adopteront une approche plus clémente en 2025. Pour les vitesses inférieures à 100 km/h, la marge d’erreur passera de 10 à 12 km/h. Au-delà, elle atteindra 12% de la vitesse relevée, contre 10% actuellement.
Les caméras embarquées sont devenues très utiles pour les conducteurs, quelle que soit leur voiture. Voyons les références actuelles du marché, et celles qui sont les meilleures pour vous.