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Stimulateurs, vibromasseurs, masturbateurs : nous avons testé 15 sex-toys. Si certains tiennent leurs promesses, d’autres laissent perplexes.
Intéressant.
HPV est l’abréviation de Human papillomavirus (papillomavirus humains). Il s’agit d’une famille de virus communs qui se transmettent très facilement, quasiment exclusivement par contact sexuel (avec ou sans pénétration). Il s’agit d’ailleurs de l’infection sexuellement transmissible (IST) la plus fréquente.
Environ 80 % des femmes et des hommes y sont exposés au cours de leur vie, surtout au tout début de leur vie sexuelle. Or, si la plupart du temps l’organisme parvient à éliminer les infections aux HPV, celles-ci peuvent toutefois persister et provoquer des lésions susceptibles d’évoluer en cancers (cancers anaux, cancers oropharyngés, cancer du col de l’utérus chez la femme, etc.).
La vaccination est le meilleur moyen de se protéger contre les infections à HPV. Elle permet d’éviter jusqu’à 90 % des infections HPV à l’origine des cancers.
Pourquoi est-il important de faire vacciner son enfant contre les infections à HPV à l’adolescence ? Car l’efficacité de la vaccination HPV est proche de 100 % lorsqu’elle est pratiquée avant le début de la vie sexuelle.
La vaccination HPV en pratique
La vaccination se déroule :
- pour les jeunes filles et garçons âgés de 11 à 14 ans révolus : en 2 injections, espacées de 6 à 13 mois ;
- avec un rattrapage de la vaccination possible entre 15 à 19 ans révolus si elle n’a pas eu lieu entre 11 et 14 ans. 3 injections sont alors nécessaires.
Les minorités sexuelles sont plus susceptibles de subir des situations de stress en raison de leur orientation sexuelle, telles que des expériences de préjugés. À ce jour, il n’existe que quelques études représentatives qui examinent le bien-être des enfants de parents de même sexe. Une étude menée par des chercheurs de l’Institut de sociologie et de psychologie sociale de l’Université de Cologne montre que les enfants et les adolescents dont les parents sont de même sexe sont aussi bien adaptés que ceux dont les parents sont de sexe différent.
Et PAN ! Les dégénérés, fermez vos clapets et laissez vivre les autres !
Une superbe jeune femme sort de chez le fleuriste avec un magnifique bouquet de roses.
Un monsieur s’approche et lui dit :
– Mademoiselle, vous ne pouvez savoir à quel point j’aimerais être à la place de vos roses.
– Ah bon mais pourquoi monsieur?
– Mais pour être dans vos bras, voyons !
– Ah mais ne vous y fiez pas, aussitôt à la maison, je leur coupe la queue.
De nombreuses femmes ne sont pas satisfaites de la contraception traditionnelle, en particulier celle qui passe par les hormones.
L'occasion pour Lucia Sillig de s'intéresser à la contraception du futur avec Sabrina Debusquat, journaliste indépendante spécialiste de la santé et auteure de l'ouvrage "Marre de souffrir pour ma contraception".
Les religieux fondamentaliste contre l'avortement - La drôle d'humeur de Gérémy Crédeville - YouTube
Alors que l'état d'Alabama a voté une loi contre l'avortement, Gérémy Crédeville fait un point sur le débat des anti et pro avortement.
En dehors d’un soutien psychologique, des exercices simples permettent généralement d’obtenir de bons résultats. Par exemple, 3 exercices pour durer au lit sont particulièrement conseillés : le premier consiste à muscler votre périnée. Comment ? Il suffit de vous interrompre plusieurs fois lorsque vous urinez, un acte qui sollicite justement ce muscle. Le périnée joue un rôle dans la fonction sexuelle, dans le maintien de l’érection et au moment de l’éjaculation : apprendre à relâcher le périnée permet de retarder l’éjaculation. Et comme pour les femmes, un périnée plus fort prévient l’incontinence urinaire. Les avantages sont donc doubles.
Autre réflexe à adopter pour durer plus longtemps au lit : la technique du squeeze. Elle consiste à effectuer un point de pression au niveau du périnée, entre le scrotum et l’anus, au moment de l’éjaculation, afin de bloquer la sortie du sperme. Les muscles qui sous-tendent l’éjaculation se contractent, mais le sperme demeure dans la prostate et le pénis reste en érection. Enfin, dernière technique imparable pour prolonger le plaisir : changer de position au cours de l’acte sexuel. Ceci pour deux raisons : d’une part, certaines positions sont moins stimulantes que d’autres, ce qui aura pour effet de retarder l’éjaculation ; d’autre part, le changement de position permet d’interrompre l’acte et donc de faire retomber un temps le niveau d’excitation.
Si le GHB est donc inodore et incolore, l’association belge de prévention et d’écoute Infor Drogues précise toutefois qu’il peut avoir un « goût salé ». Ce que confirme une lectrice de 20 Minutes, qui pense avoir été droguée avec : « On m’a servi une vodka agrémentée de boisson énergisante. Ma boisson sentait le liquide vaisselle et avait un goût moitié sucré, moitié salé, ça aurait dû m’alerter », regrette la jeune femme, qui plaide pour de vastes campagnes de prévention contre l’usage de cette drogue.
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Comment se prémunir d’une intoxication ?Il y a quelques années, des étudiants américains ont mis au point un vernis anti-GHB, qui, si une boisson contient cette substance, change de couleur lorsque l’on trempe son doigt dans son verre. Un dispositif similaire, qui a la forme d’un jeton de caddie, permet lui aussi, en y versant une goutte de sa boisson, de détecter la présence de GHB avec une « efficacité de 99,3 % », assurent ses créateurs. En boîte de nuit ou en soirée, la première précaution reste de ne pas laisser son verre sans surveillance et de ne pas accepter une boisson offerte par une personne inconnue. Sans compter les « capotes » pour verre, des protections transparentes et réutilisables permettant d’éviter qu’une drogue y soit glissée.
En réaction aux témoignages de femmes droguées au GHB qui se sont accumulés ces dernières semaines, le collectif Héro.ïnes 95 a lancé un mouvement de boycott des bars et établissements de nuit à compter du 12 novembre dernier, et appelle les dirigeants de lieux festifs – bars, discothèques et salles de concert – à organiser « la formation du personnel à la prévention des violences sexistes et sexuelles ».
Le Collège national des gynécologues et obstétriciens français a publié [...] une "Charte de la consultation en gynécologie ou en obstétrique".
Quelles sont les plus mauvaises habitudes que l’on a au quotidien et qui mettent à mal notre périnée ?
Cela se passe notamment aux toilettes. On entend parfois que pour prendre conscience de son périnée, il faut s’arrêter en pleine miction. Eh bien le stop pipi, c’est interdit, c’est très mauvais. Quand on bloque la miction, le muscle de la vessie (le détrusor) ne sait plus comment réagir, cela peut entraîner un reflux d’urine et causer des infections. Se retenir des heures n’est pas bon non plus : le périnée n’est jamais détendu. Cela cause des douleurs, et plus rarement, peut conduire à des infections remontant jusqu’aux reins.
On évite également le pipi en squat haut, lorsqu’on ne s’assied pas par peur que la lunette des toilettes soit sale : dans cette position où l’on a les fesses contractées, le périnée n’est pas détendu, on force avec les abdos, et cela dérègle la vessie. De même, il faut aussi éviter le « pipi sécurité », celui qu’on se force à faire parce qu’on a trois heures de route à faire avec les enfants : on pousse alors qu’on ne devrait pas, et on ne laisse pas la vessie se détendre alors qu’elle peut contenir jusqu’à un demi-litre de liquide.
Et c’est pareil pour la défécation : beaucoup de gens ont tendance à se forcer à aller aux toilettes et à trop pousser, pensant que cela leur évitera d’y aller à un moment moins opportun. Or, cela a des effets délétères sur leur périnée. Physiologiquement, le sphincter anal est censé s’ouvrir, et non descendre. Mais si on ne le laisse pas correctement s’ouvrir et que l’on pousse trop, à la longue, la pression exercée sur le périnée peut causer un prolapsus, c’est la descente d’organes.
Comment prendre soin de son périnée ?
Cela passe par la prévention et l’information. Apprendre à aller correctement aux toilettes devrait faire partie de l’apprentissage de la continence dès l’enfance : ne pas se forcer, ne pas trop pousser. Et puisque nos toilettes sont généralement trop hautes, une chose simple et efficace à faire est de placer un marchepied devant nos toilettes, pour avoir une position davantage accroupie qui facilite la défécation sans trop solliciter le périnée.
Un périnée qui va bien, c’est un périnée dont on ne s’occupe pas. Mais comme pour le reste du corps, la pratique d’une activité physique est recommandée pour un périnée en bonne santé.
Quel rôle le périnée joue-t-il dans la sexualité ?
Il a des effets, que l’on soit un homme ou une femme. Chez les hommes, cela permet d’améliorer l’aisance sexuelle, de mieux maîtriser leur bassin et leur érection.
Et pour les femmes, il est au moins aussi important. S’il est en bonne santé, il améliore également l’aisance sexuelle. Il est important de prendre conscience qu’il n’est pas normal d’avoir mal durant les rapports sexuels : c’est une zone qui réagit aux stimuli psycho émotionnels, et de la même manière que lorsqu’on est stressé, on serre les dents, on serre aussi le périnée.
Comment savoir si on a un problème de périnée et que l’on doit consulter ?
La première chose à savoir, c’est qu’une seule goutte échappée, c’est déjà une fuite urinaire et ce n’est pas normal. Ensuite, si l’on a des douleurs pelviennes, que l’on souffre de constipation chronique, que l’on n’arrive pas à retenir les gaz ou les autres matières, c’est que l’on a besoin de consulter. Heureusement, de plus en plus, les patients entreprennent cette démarche et bénéficient d’une rééducation adaptée à leur pathologie.
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Aujourd'hui, un couple d'amis nous font part de leurs problèmes pour avoir un enfant. Mon fils de 5 ans les a beaucoup aidés : "C'est pas compliqué ! Un zizi, une zezette, on pousse au fond, et c'est bon ! Tout le monde sait ça !" VDM