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Les courses en solitaire comme le Vendée Globe exigent des skippers une gestion optimale de leur sommeil. Autohypnose, microsiestes… tout est bon.
Depuis 2020, plus de 600 interactions entre des épaulard (Orques) et des bateaux de plaisance ont été recensées autour de Gibraltar. Cela va du simple encerclement à la casse du matériel, principalement les safrans, provoquant le naufrage de 4 navires. Les scientifiques s'accordent aujourd'hui pour dire que c'est un jeu même si plusieurs théories avaient été avancées dont l'apprentissage de l'attaque aux plus jeunes par une matriarche vengeresse.
Les OVNIs ont leurs équivalents sous-marins : les OSNIs (Objets submersibles non identifiés). Ils s'avèrent souvent être des formations naturelles ou des animaux peu connus, mais certaines observations restent à ce jour inexpliquées. Contrairement aux OVNIs, les OSNIs provoquent parfois des dégâts : en 2016 par exemple, un OSNI endommagea le monocoque du skipper Thomas Ruyant au large de la Nouvelle-Zélande.
En septembre 1966, l'histoire des naufragés d’Ata émut le monde entier. Alors que tout le monde les croyait morts, un bateau de pêche retrouva 6 adolescents disparus 15 mois plus tôt. Ils s'étaient aventurés en mer après s'être échappés de l'école, et avaient fait naufrage sur l'île déserte d'Ata. Ils avaient survécu en s'organisant pour chasser et cultiver, et étaient parvenus à faire un feu qu'ils avaient alimenté durant plus d'un an.
Comme les avions, les navires peuvent laisser des trainées de condensation dans le ciel. Leur existence ne fut découverte qu'en 1965 grâce à des images satellites : l'eau se condense autour des particules rejetées par les cheminées des bateaux jusqu'à devenir visible, formant une trainée alignée sur le vent.
Combien de temps avant que les chemtrails s'attaquent aussi aux bateaux ?
Le navire de passagers le plus rapide du monde dépasse les 100 km/h. Il s'agit du HSC Francisco, un catamaran qui effectue la liaison entre Buenos Aires et Montevideo. Propulsé par du gaz naturel liquéfié, il atteint les 58 nœuds, soit 107 km/h.
Les feux maritimes, notamment ceux des phares, peuvent être identifiés grâce aux caractéristiques de leur lumière : le motif et la fréquence d'occultation, la durée ou encore la couleur permettent aux marins de reconnaitre le feu en question grâce aux listes des cartes marines.
Les hélices traditionnelles, utilisées dans l’aviation et la marine, ont connu peu d’améliorations au cours du dernier siècle. Quelques nouveaux projets commencent toutefois à émerger : de forme complètement différente, ces hélices s’avèrent non seulement plus performantes (en particulier en milieu aquatique), mais aussi beaucoup plus silencieuses que les hélices de conception standard.