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À revoir 2 ou 3 fois histoire de bien comprendre tout ce qu'il y raconte.
La cadavérine et la putrescine se forment aussi bien dans les cadavres que dans les fromages. Des scientifiques ont découvert qu'une bactérie présente dans certains fromages produisait de l'histamine, mais aussi de la putrescine et de la cadavérine, deux composés organiques issus de la décomposition, à l'odeur nauséabonde.
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Des chercheurs du Korea Institute of Science and Technology (KIST) et du Myongji University de Séoul ont mis au point une nouvelle technologie capable de purifier l’eau tout en générant de l’énergie renouvelable. Il s’agit d’une membrane à deux couches, facile à fabriquer et qui ne coûte pas cher.
Dans l’article publié dans la revue Advanced Materials, les auteurs de l’étude décrivent leur produit comme étant « une membrane de génération d’électricité et de purification pour le recyclage de l’eau ». Ainsi, la membrane peut transformer les eaux usées, l’eau de mer ainsi que les eaux souterraines en eau potable.
Les résultats des tests ont révélé que la membrane était particulièrement efficace pour le filtrage des divers contaminants de l’eau.
Le « problème des baryons manquants » est une énigme d’astrophysique liée au fait que la quantité de matière baryonique (matière ordinaire) recensée dans l’Univers observable ne correspond pas aux prévisions théoriques. Ce problème est considéré aujourd’hui comme résolu : plusieurs études ont suggéré que la matière manquante se trouverait en réalité dans le milieu circumgalactique. Cette découverte entraîne cependant une nouvelle incohérence : en théorie, cette matière ne devrait pas se trouver là.
La science progresse ... Toujours !
Pour protéger les bâtiments de la foudre, un puissant laser pourrait être une alternative au paratonnerre. Pour la première fois, cette idée étonnante vient d’être mise en pratique avec succès.
Bon en clair, on est encore loin du consensus scientifique ...
L'atmosphère de la Terre n'est pas la seule capable de produire des manifestations de lumière éthérée dans le ciel, comme les aurores boréales. Ainsi, les astronomes ont observé les fascinantes lueurs d’aurores dans des longueurs d'onde visibles à l'œil nu sur quatre des plus grandes lunes de Jupiter, ou lunes galiléennes : Io, Europe, Ganymède et Callisto.
Le télescope spatial James Webb continue de remettre en question nos meilleurs modèles d'évolution de l'univers, grâce à son incroyable capacité à voir plus loin dans l'espace et le temps. Il vient de découvrir des galaxies "incroyablement" gigantesques qui contiennent plus de masse que ce que l'on pensait exister dans l'univers à cette époque.
Un pas vers la matière noire ?
Une nouvelle analyse des entrailles de la Terre suggère de la présence d'un noyau interne dans le noyau interne.
Comment "voir" l'Univers en se cachant dans les fonds marins pour capter les neutrinos ?
Il ressort de cette expérience que les robots programmés comme des essaims sont plus adaptables et réussissent mieux dans des conditions changeantes.
Différents types de bombes
Il existe une grande variété de types de bombes nucléaires, aussi bien dans les objectifs militaires que dans les conceptions. Quelques-uns des plus notables sont brièvement décrits ci-dessous.
La bombe stratégique « classique » à trois étages, dite de Teller-Ulam. Généralement utilisée pour les fortes puissances (plus de 300 kt), elle utilise un premier étage à fission pour allumer un deuxième étage à fusion, dont les neutrons font fissionner un troisième étage en uranium (fission – fusion – fission). L’essentiel de la puissance provient alors de fission, ce qui génère de nombreux produits radioactifs, et donc des retombées radioactives importantes.
Les bombes « propres ». Il s’agit de bombes H, mais sans troisième étage à fission, et où plus de 50 % de la puissance provient de la fusion. Comme cette dernière ne produit pas de produits de fission, les retombées radioactives sont réduites. Ces bombes sont moins puissantes que si elles avaient eu un troisième étage à fission.
Les bombes « à neutrons ». Il s’agit d’une sous-catégorie de bombes « propres », de très faible puissance (généralement proche de 1 kt, soit dix fois moins qu’Hiroshima). Leur concept d’utilisation est de tuer les soldats ennemis localement (zone de l’ordre du kilomètre) avec les rayonnements nucléaires et le flux de neutrons généré lors de l’explosion, mais en endommageant peu les infrastructures locales et avec peu de retombées radioactives.
Les bombes « salées ». Au contraire des bombes « propres », les bombes salées visent à maximiser les retombées radioactives (pour tuer et contaminer les territoires). Il s’agit de bombes à trois étages dans lesquelles le dernier étage ne contient pas d’uranium mais un élément qui s’active sous le flux de neutrons pour donner un isotope particulièrement radiotoxique comme du sel (le sodium 24 ainsi produit étant particulièrement radiotoxique) ou du cobalt (qui produirait du cobalt 60, dont la demi-vie est de cinq ans et qui contaminerait la zone pour des décennies).
La bombe A « dopée ». Il s’agit d’une bombe A à un seul étage (fission), mais avec une amorce de fusion (deutérium et tritium) au milieu, produisant ainsi un flux de neutrons qui va augmenter le rendement et la puissance de la bombe A à fission initiale.
Les bombes à impulsion électromagnétique nucléaire. Le concept est de faire exploser des bombes à très haute altitude (plusieurs dizaines à plusieurs centaines de kilomètres), de façon à générer de forts champs électromagnétiques pour détruire les appareils électriques et électroniques et brouiller les télécommunications. La zone touchée serait complètement désorganisée, mais les populations ne seraient pas impactées par les effets meurtriers des bombes de plus basse altitude. Il y aurait alors peu de victimes directes. Selon la position par rapport au champ magnétique terrestre, l’altitude et la puissance, il est possible d’avoir un impact sur les systèmes électriques à plusieurs centaines de kilomètres, voire à plus de 1 000 km. L’essai Starfish Prime en 1962, à 400 km au-dessus du Pacifique, avait causé de légers dommages électriques sur l’ile d’Hawaï à 1 450 km de distance.
Les têtes nucléaires « mirvées ». Le concept de mirvage, de l’anglais MIRV (Multiple Independently Targeted Reentry Vehicle), consiste à placer dans une tête de missile plusieurs ogives nucléaires indépendantes qui peuvent chacune viser une cible différente. Par exemple, les missiles stratégiques français contiennent chacun six têtes nucléaires de 100 kt.
Les bombes « sales ». Ce ne sont pas des bombes nucléaires puisqu’elles ne tirent pas leur énergie de fission ou de fusion. Elles consistent à disséminer avec des explosifs conventionnels de la matière radioactive pour contaminer localement une zone.
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L’arsenal nucléaire mondial actuel contient des bombes beaucoup plus puissantes. Il est généralement décomposé en deux classes :
- les armes dites « tactiques » qui seraient susceptibles d’être utilisées pour un usage dans les opérations militaires sur le terrain et dont les puissances peuvent monter jusqu’à 300 kt (20 fois Hiroshima) ;
- les armes dites « stratégiques », plus puissantes, dont l’objectif est la dissuasion (être suffisamment menaçantes pour qu’aucun pays ne prenne le risque de s’y exposer). Elles peuvent être significativement plus puissantes et atteindre la mégatonne (1 Mt = 1 000 kt, soit 60 fois Hiroshima).
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Parmi les bombes les plus puissantes utilisées lors des essais nucléaires, certaines ont dépassé la dizaine de Mt, comme l’américaine Castle Bravo en 1954 (15 Mt, soit 1 000 fois la puissance d’Hiroshima) et la Tsar Bomba russe en 1961 (57 Mt).En 1945, pour les deux villes d’Hiroshima et de Nagasaki, on a dénombré entre 100 000 et 250 000 victimes immédiates suivant les sources, représentant 20 % à 30 % de la population pour Nagasaki et 25 % à 50 % de celle d’Hiroshima.
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Le site Nukemap permet d’évaluer et de visualiser sur une carte les conséquences des différentes armes nucléaires sur diverses cibles. Le logiciel estime plusieurs rayons caractéristiques en fonction des différents effets immédiats de l’explosion. Le site a été créé par Alex Wellerstein, un historien des sciences, professeur au Stevens Institute of Technology. Les simulations proposées n’ont pas prétention à être exactes, mais visent plutôt à sensibiliser sur les ordres de grandeur des différents effets en fonction de la puissance des armes utilisées.
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Dans les toutes premières secondes qui suivent l’explosion, trois effets vont intervenir : la chaleur intense dégagée, l’effet de souffle et les très fortes irradiations.
Et bien d'autres choses encore à lire sur le sujet dans l'article.
Ce test vise à établir la capacité d'un sujet à décrire ou comprendre l'état mental d'une personne. Le célèbre chatbot d'OpenAI a ainsi été soumis à ce test au fil de son développement pour établir à quel point ses capacités ont évolué.
Introduite en 1978 dans une étude menée auprès de chimpanzés, la théorie de l'esprit avait pour but de déterminer si nos lointains cousins étaient capables d'attribuer des états mentaux inobservables à d'autres individus, notamment en lisant une expression de leur visage par rapport à un évènement donné.
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ChatGPT s'en est plutôt bien sorti en réussissant à résoudre 93 % des tâches relatives aux tests auxquels il a été soumis. Cela le place ainsi au même niveau qu'un enfant de 9 ans vis-à-vis des capacités cognitives relatives à la théorie de l'esprit.
**L'alcool est mauvais pour la santé, quelle que soit la quantité99 ingérée. C'est prouvé scientifiquement : Il n'existe pas de seuil en dessous duquel l'alcool (en l'occurrence l'éthanol) est sans danger pour la santé.
Des chercheurs de l'université de Stanford ont une bonne et une mauvaise nouvelle... Dans une nouvelle étude publiée plutôt ironiquement le jour de la Saint-Valentin, ils ont appris qu'au cours des 30 dernières années, la longueur moyenne du pénis en érection a augmenté de près de 25 % dans le monde. Le problème ? Cette augmentation phallique est corrélée à une forte baisse du nombre de spermatozoïdes et des niveaux de testostérone, ce qui inquiète de nombreux experts qui craignent une crise de la santé reproductive...
Où est le problème ?
- nous sommes presque à 8 000 000 000 d'êtres humains ;
- que la reproductibilité diminue ne peut pas faire de mal.