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Durant la Seconde Guerre mondiale, les femmes travaillant dans les usines de munition contenant du TNT étaient appelées les Canary Girls. Le TNT, toxique, leur donnait en effet un teint jaune-orangé caractéristique.
Ça s'amuse à créer des armes robotisées sans avoir deux sous de jugeote... L'engin est à la merci du premier quidam venu !
Ce gant-pistolet fut réellement utilisé durant la Seconde Guerre mondiale. Le Sedgley OSS .38 fut conçu pour les opérations d'élimination : pour déclencher le tir, il fallait frapper l'ennemi du poing.
Réunion au Kremlin. Bon, il faut répondre absolument à cette autorisation d’emploi des armes à longue portée occidentales sur notre sol…
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Résumons la manœuvre de peur : je fais une ou plusieurs déclarations à la fois méchantes et maîtrisées, on publie la nouvelle doctrine avec l’idée qu’une attaque aérienne conjointe massive sur notre sol pourra justifier de l’emploi de l’arme nucléaire et on lance un missile intermédiaire quelque part. Bien entendu, tous les relais : chefs d’État sympathisants, chefs de partis d’extrême-gauche et d’extrême-droite, influenceurs, faux médias, idiots utiles chanteront en cœur le couplet du « C’est la faute à Joe Biden et à ses vassaux européens qui veulent nous entraîner dans la troisième guerre mondiale ». Cela freinera au moins toutes les initiatives en faveur de l’Ukraine. En avant !
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Alliés ont utilisé une méthode ingénieuse de sabotage : des explosifs déguisés en morceaux de charbon, destinés à être placés dans les tenders de trains ennemis. Lorsque ce 'charbon' était jeté dans la chaudière d'une locomotive, il provoquait une explosion.
Le concept, qui avait été inspiré par les "torpilles de charbon" utilisées durant la guerre civile américaine (pour les chaudières de navires à vapeur), visait à causer des dégâts massifs à l'ennemi tout en ayant un impact psychologique important, forçant les forces ennemies à vérifier attentivement leurs approvisionnements en charbon.
Un porte-avions nucléaire à 6 milliards de dollars « coulé » par un sous-marin diesel à 100 millions
En 2005, le sous-marin suédois HMS Gotland, à propulsion diesel-électrique, a réussi un exploit qui a ébranlé la confiance dans les capacités défensives des porte-avions américains. Malgré son coût modeste de 100 millions de dollars, bien inférieur aux 6 milliards du porte-avions USS Ronald Reagan, le Gotland a pu s’approcher discrètement et simuler une attaque fatale.
Durant la Guerre Froide, l'armée américaine entraina des soldats à sauter en parachute avec des bombes nucléaires dans leur sac à dos. Celles-ci étaient bien sûr moins puissantes et plus compactes que celle larguée sur Hiroshima, et pesaient 90 kilos. Elles étaient destinées à détruire des voies d'accès.
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Plusieurs internautes affirment qu'il est "désormais" interdit de se promener avec un Opinel ou autre couteau de poche. Or, cela ne concerne pas tous les couteaux et ce n'est pas nouveau. Seule la sanction a changé.
"L'incident des moutons de Dugway", survenu dans l'Utah en 1968, marqua un tournant dans le développement des armes chimiques. Environ 6000 moutons furent tués par la pulvérisation accidentelle d'un gaz neurotoxique. L'incident provoqua un tollé et força l’administration à réagir l'année suivante : tous les tests d'armes chimiques en plein air furent interdits.
Oups...
Un accord signé entre l'Inde et la Chine en 1993 interdit à leurs armées respectives de tirer sur le camp adverse le long de leur zone frontalière. Les affrontements entre ces deux puissances s'y font donc au bâton et au poing, ce qui n'empêche pas de faire des morts mais limite grandement le bilan.
Un vieux conflit de tracé des frontières oppose l’Inde et la Chine depuis des décennies, et a provoqué une guerre en 1962. Depuis, un tracé provisoire, la « Ligne de contrôle effectif », attend une solution permanente qui ne vient pas.
330-48 av. J.-C. − monde antique. Impressionné par l’utilisation de ces animaux par les Carthaginois, Rome a tenté de les imiter, sans grand succès.
Le traité d’interdiction complète des essais nucléaires avait été signé en 1996 mais jamais ratifié, faute de réunir un nombre suffisant d’Etats. Les Etats-Unis ne l’ont jamais ratifié.
"Signé, mais jamais ratifié" → Ok, mais je n'en ai rien à foutre !
Du coup, il n'a rien à dénoncer. De toute façon, il fait ce qu'il veut ce gus. 👹
L'éruption du Hunga Tonga en 2022, en Polynésie, a causé la plus grande explosion atmosphérique de l'ère moderne. L'énergie dégagée équivalait à mille fois celle produite par la bombe atomique larguée sur Hiroshima et le bruit fut perçu à 900 km de distance. L'éruption a aussi produit le plus haut panache volcanique enregistrée : 57 km de haut.
En 2016, la CIA n'est pas passée loin de la grosse boulette : après un exercice, des agents avaient oublié des explosifs dans le capot d'un bus scolaire. Le bus circula deux jours avec des enfants à bord, avant que des mécaniciens ne découvrent les explosifs.
Les nazes !
Le projet Iceworm était un programme secret de l'armée américaine lors de la guerre froide, qui visait à construire un site de lancement pour 600 missiles nucléaires sous la calotte glaciaire du Groenland. Elle était composée de 21 tunnels (d' environ 3 km) et alimentée par un mini réacteur nucléaire. Le projet fut en partie réalisé et abandonné en 1967 à cause du mouvement de la glace.
Selon une étude, le réchauffement climatique et la fonte des glaces menacent d’exhumer la base secrète et les matières radioactives enfouies d'ici 2090.
Espérons que les Américains feront le ménage.
Cette image de piètre qualité est un des rares clichés montrant une explosion nucléaire dans l'espace. Elle fut prise en 1962, quand les Américains décidèrent d’étudier les effets d'une telle explosion.
Certains fusils peuvent tirer des "balles intelligentes". Après verrouillage de la cible, la trajectoire des balles peut être incurvée à distance grâce à de petits ailerons. Ces balles ne servent pas (officiellement) à tuer, mais à détruire des missiles ou des munitions à distance.
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