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Une excellente vidéo documentée et sans parti pris sur les dangers des ondes électromagnétiques.
A revoir pour mieux comprendre.
Leonardo Ancillotto, chercheur à l’université de Naples-Frédéric II, en Italie, et ses collègues ont mis au jour un cas rare de mimétisme acoustique chez la chauve-souris européenne Myotis myotis, aussi appelée grand murin, lui permettant d’échapper… aux chouettes !
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Au cours de leurs expéditions sur le terrain, ces chercheurs ont constaté que les chauves-souris de l’espèce Myotis myotis émettent des appels de détresse qui ressemblent étrangement au bourdonnement du frelon. Cette étonnante découverte les a conduits à étudier l’importance de cette vocalisation dans le contexte de la prédation des chauves-souris, notamment par les chouettes (la chouette effraie et la chouette hulotte), qui font partie des plus grands prédateurs de ces petits mammifères volants.Pour cela, les chercheurs ont comparé la structure sonore du bourdonnement du frelon européen à celle de l’appel de détresse des chauves-souris. Étrangement, les deux sons se ressemblaient, mais leurs fréquences n'étaient pas identiques. Les séquences de bourdonnement de chauve-souris contenaient notamment des fréquences de la gamme des ultrasons que les chouettes n’entendent pas. Ce n’est que lorsque les chercheurs ont retiré ces paramètres acoustiques a priori inaudibles, qu’ils ont constaté une ressemblance évidente dans la structure des deux bourdonnements. Cela suggère que, pour la chouette, le bourdonnement d’un frelon et l’appel de détresse des chauves-souris sont très similaires ! Il ne serait donc pas étonnant que les chauves-souris utilisent ici une ruse acoustique pour échapper à leur prédateur.
Pour vérifier cette hypothèse, les chercheurs ont réalisé des expériences de play-back dans lesquelles ils ont fait écouter des enregistrements de bourdonnement de frelon, de cri de détresse ou d’appels sociaux de chauves-souris (que ces dernières émettent pour communiquer entre elles) à des chouettes captives. La réaction des oiseaux a confirmé l’hypothèse : lorsqu’ils entendaient des enregistrements d’appels sociaux de chauves-souris, les chouettes avaient tendance à s’approcher du haut-parleur car elles reconnaissaient le son de potentielles proies. En revanche, le bourdonnement de frelon aussi bien que le cri de détresse des chauves-souris avaient pour effet d’éloigner les prédateurs du haut-parleur. Il est donc très probable que les chouettes confondent le « bourdonnement » de chauves-souris avec celui du frelon européen.
Dans les années 80, des scientifiques ont posé des thermomètres sur la peau des Touaregs. La température à la surface de leur corps était mesurée à 33°C.
Ils sont habillés d'une couche de vêtements sous une grande robe épaisse.
L'air fait un mouvement de convection ascendant sous les vêtements régulant ainsi la température à 33°C.
Explanation: SOFIA, the Stratospheric Observatory for Infrared Astronomy, is a Boeing 747SP aircraft modified to carry a large reflecting telescope into the stratosphere. The ability of the airborne facility to climb above about 99 percent of Earth's infrared-blocking atmosphere has allowed researchers to observe from almost anywhere over the planet. On a science mission flying deep into the southern auroral oval, astronomer Ian Griffin, director of New Zealand’s Otago Museum, captured this view from the observatory's south facing starboard side on July 17. Bright star Canopus shines in the southern night above curtains of aurora australis, or southern lights. The plane was flying far south of New Zealand at the time at roughly 62 degrees southern latitude. Unfortunately, after a landing at Christchurch severe weather damaged SOFIA requiring repairs and the cancellation of the remainder of its final southern hemisphere deployment.
Traduction :
Explication : SOFIA, l'Observatoire stratosphérique pour l'astronomie infrarouge, est un avion Boeing 747SP modifié pour transporter un grand télescope réfléchissant dans la stratosphère. La capacité de l'installation aérienne à s'élever au-dessus d'environ 99 % de l'atmosphère terrestre bloquant l'infrarouge a permis aux chercheurs d'observer depuis presque n'importe quel endroit de la planète. Lors d'une mission scientifique dans l'ovale auroral austral, l'astronome Ian Griffin, directeur du musée Otago de Nouvelle-Zélande, a capturé cette vue depuis le côté tribord de l'observatoire, orienté vers le sud, le 17 juillet. L'étoile brillante Canopus brille dans la nuit australe au-dessus des rideaux d'aurores australes. L'avion volait alors loin au sud de la Nouvelle-Zélande, à environ 62 degrés de latitude sud. Malheureusement, après un atterrissage à Christchurch, le mauvais temps a endommagé SOFIA, nécessitant des réparations et l'annulation du reste de son déploiement final dans l'hémisphère sud.
Qu’est-ce qui sous-tend le rejet des preuves scientifiques?
Premièrement, la source qui apporte l’information, un scientifique par exemple, manque de crédibilité.
Deuxièmement, le public auquel s’adresse le message s’identifie à des groupes qui nourrissent des attitudes anti-scientifiques.
Troisièmement, un message scientifique contredit les croyances et les préférences de la personne.
Enfin, il existe un décalage entre la façon dont est présenté le message et la façon de penser de la personne.
Impressionnante la Nature !
Des cartes pour résumer l'histoire de l'espèce humaine
Des aurores polaires artificielles
[...] vous pouvez découvrir les aurores recréées de « Boréalis », un spectacle organisé par l’Happy City Lab et son fondateur, le Suisse Dan Acher, « artiviste » déclaré, avec la musique du compositeur français Guillaume Desbois.
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Le principe en est le suivant : de grandes quantités de particules d’eau sont projetées dans les airs puis illuminées de puissants faisceaux de lumière de façon à donner l’illusion, au gré du vent, des voiles colorés et mouvants qui hantent parfois le ciel des hautes latitudes. Mais en quoi consiste vraiment ce que les Vikings croyaient être le reflet du soleil et de la lune sur les armures des Valkyries ?L’origine est à chercher dans le vent solaire, un plasma de particules chargées électriquement – essentiellement des ions et des électrons – éjecté par notre étoile. À l’approche de la Terre, ces particules très énergétiques se heurtent au champ magnétique de notre planète, et sont guidées vers les pôles où elles rencontrent atomes et molécules dans la haute atmosphère. Il s’ensuit une excitation de ces derniers puis une réémission de l’énergie absorbée sous forme de lumière qu’une tribu du Nunavut interprète comme des morses jouant à la balle avec des crânes humains !
Les couleurs, du rose au violet en passant par le vert, l’indigo, le rouge…, varient selon l’altitude où ont lieu ces réactions, l’énergie des particules du vent solaire et la nature des éléments excités. Par exemple, au-delà de 100 kilomètres d’altitude, l’oxygène est particulièrement abondant et donc le vert qu’il réémet s’impose, faisant de cette couleur la plus communément observée dans le phénomène physique… ou dans le souffle brûlant des dragons selon les croyances de la Chine ancienne.
Les aurores polaires se distinguent également par leurs formes : arcs, couronnes, draperies… et même dunes. Étonnamment, cette dernière catégorie, qui correspond à des bandes parallèles régulièrement espacées, n’a été décrite qu’en 2020 par Minna Palmroth, de l’université d’Helsinki, en Finlande, avec l’aide de nombreux observateurs amateurs.
Elle trahirait des variations périodiques de la densité en atomes d’oxygène, entre 80 et 100 kilomètres d’altitude, sans que l’on sache encore bien l’expliquer. Peut-être est-ce une facétie des renards polaires… dont la queue, dans des contes des Samis, soulève des volutes de neige lorsque ces animaux traversent en courant les territoires du Nord. Cette dernière hypothèse est finalement presque la solution adoptée par Dan Acher et ses gouttelettes d’eau en suspension !
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En fait, cela arrive exceptionnellement, lorsque l’activité solaire est très intense, comme ce fut le cas dans la nuit du 22 au 23 juin 2015 : on vit des aurores en Normandie ! Et plus encore en septembre 1859, quand une forte éruption solaire entraîna l’apparition d’aurores jusqu’à Honolulu et Singapour. De polaires, elles devinrent tropicales.
Récemment, une équipe dirigée par des scientifiques de l’UCLA a découvert des endroits ombragés dans des fosses lunaires, qui oscillent toujours autour d’une température confortable de 17 °C. Les grottes auxquelles elles pourraient mener constitueraient des camps de base plus sûrs et plus stables thermiquement pour l’exploration lunaire et l’habitation à long terme que le reste de la surface de la Lune, dont la température peut atteindre les 127 °C pendant la journée et chuter à –173 °C durant la nuit. Les résultats sont publiés dans la revue Geophysical Research Letters.
Intéressant ça. Une IA propose d'autres façons de modéliser des lois de la Physique. Il ne reste plus qu'à comprendre ces modèles.
Intéressant :-)
Questions :
- Combien va coûter ce masque ?
- Combien de temps durera-t-il ?
- Sera-t-il lavable ? Ou bien risque-t-il de perdre son efficacité au lavage ?
- À moins que les lampes à UV ne permettent de le laver/désinfecter ?
Un arc blanc est une sorte d'arc-en-ciel raté. Ce phénomène lumineux est dû à la combinaison de la réfraction, de la réflexion et de la diffraction de la lumière par la brume ou le brouillard, et se manifeste comme un arc blanc, parfois bordé de franges rouge et bleue à l'intérieur et à l'extérieur. L'absence de couleurs est due au fait que les gouttelettes sont trop petites pour décomposer la lumière.
Le code n'est pas assez robuste pour supporter la seconde intercalaire ? Annulons la plutôt que de corriger le code ...
Pfff ... C'est comme si on disait que les années bissextiles sont trop compliquées à gérer, donc il faudrait les supprimer. Plus simplement : ne progressons pas. Régressons.
Les sciences peuvent résoudre des problèmes du commerce, mais le commerce ne doit pas réguler les sciences.
L'US Air Force comporte une unité dont la seule mission est de voler dans les tempêtes et ouragans. Les pilotes collectent ainsi des données précieuses pour l'étude des cyclones tropicaux directement depuis l'intérieur des ouragans. Ils sont les seuls à traverser les "yeux" des ouragans.
Dans l’Arctique, les températures peuvent descendre jusqu’à -70 ºC. Mais de nombreux insectes vivent à l’intérieur et sur les terres gelées. Alors pourquoi ne se transforment-ils pas en blocs de glace? Nous avons demandé à notre expert en écologie arctique, Terry Callaghan, d’éclaircir ce mystère polaire.
Il est connu qu’un contact régulier avec des espaces verts a des effets bénéfiques sur la santé. Ces espaces naturels peuvent contribuer à diminuer la pollution atmosphérique, limitent les températures extrêmes et sont propices à la pratique d’une activité physique. Ils sont également associés à une meilleure santé mentale. Mais de plus en plus d’études suggèrent que les « espaces bleus », qui désignent les zones au bord de l’eau, seraient encore plus bénéfiques.
Une galaxie vue déformée par la puissance gravitationnelle d'un corps céleste placé devant elle.