13 liens privés
La sécurité de la connexion à Ameli (le service web de l'Assurance Maladie) est trop faible. Donc France Connect ne l'utilise plus pour valider les connexions jusqu'à ce qu'Ameli redresse la barre. Très bien.
AXA truque un incendie de voiture électrique pour "démontrer" que c'est plus dangereux que l'essence/diesel ... Putain qu'ils sont cons !
Pour répondre à la demande toujours plus croissante de viande, la Chine commence à se doter de ferme à étages. Ainsi, fin 2022, une mégaferme en béton de 26 étages accueillant 600 000 porcs verra le jour près de la ville d'Ezhou.
Pffff ... J'espère qu'on ne verra pas ça dans nos assiettes.
1 800 employés du CERN piégés par un mél de phishing bidon. L'idée est de sensibiliser tous les collaborateurs à la sécurité. Ça fait beaucoup de personnes à former encore et encore.
Le code ne devrait pas être un information stratégique sensible. Il devrait être librement consultable et auditable comme gage de de qualité et de robustesse. Ce sont les clefs de chiffrement qui doivent être les seules vraies garanties de sécurité.
Une cours allemande vient de statuer sur le fait qu'utiliser GoogleFonts sur un site web sans en avoir demandé l'autorisation à l'utilisateur est une violation du RGPD car Google collecte l'adresse IP du visiteur.
Et menace d'une amende de 250 000 € pour chaque violation. Par visiteur.
Cela va dans le sens des jurisprudences précédentes (GoogleAnalytics, etc.)
Les améliorations de la Rubber Ducky 3.0
L'utilisation de cette clé USB peut ainsi avoir de graves répercussions pour la victime et ce n’est pas près de s’arrêter avec la version 3.0. La principale amélioration apportée à ce modèle est qu’il peut désormais agir directement sur n'importe quel ordinateur cible, quelle que soit la version de son système d'exploitation.En bref, la Rubber Ducky peut maintenant lancer un code en fonction des caractéristiques de l’ordinateur alors que le hacker devait auparavant la préparer en amont selon la cible choisie. Une amélioration majeure qui simplifie grandement son utilisation et surtout son adaptation.
À Churchill, dans le Grand Nord canadien, il existe une prison spécifique pour les ours polaires. En effet, suite à de nombreuses intrusions d’ours dans la ville pour cause de fonte des glaces, les autorités ont été contraintes de créer un centre de détention. En 2016, ils en avaient "incarcéré" 53 avant bien sûr de les relâcher.
Poutine aime foutre le bordel :-(
Bien fait pour eux ! Cependant, retirer la Bible aurait été plus que suffisant.
C'est bien, ça :-)
Le plafond d’utilisation des tickets-restaurants continue de faire le yoyo. Après être passé à 38 € au début de la crise sanitaire, puis redescendu à 19 € le 1er juillet dernier, il sera fixé à 25 € à partir du 1er septembre. Cette augmentation fait partie des mesures de la loi d’urgence pour le pouvoir d’achat, définitivement adoptée le 3 août par le Parlement.
Un gouffre vient de s'ouvrir au Chili.
Profondeur : 200m+
Diamètre : 25m
Entrée circulaire
Des aurores polaires artificielles
[...] vous pouvez découvrir les aurores recréées de « Boréalis », un spectacle organisé par l’Happy City Lab et son fondateur, le Suisse Dan Acher, « artiviste » déclaré, avec la musique du compositeur français Guillaume Desbois.
[...]
Le principe en est le suivant : de grandes quantités de particules d’eau sont projetées dans les airs puis illuminées de puissants faisceaux de lumière de façon à donner l’illusion, au gré du vent, des voiles colorés et mouvants qui hantent parfois le ciel des hautes latitudes. Mais en quoi consiste vraiment ce que les Vikings croyaient être le reflet du soleil et de la lune sur les armures des Valkyries ?L’origine est à chercher dans le vent solaire, un plasma de particules chargées électriquement – essentiellement des ions et des électrons – éjecté par notre étoile. À l’approche de la Terre, ces particules très énergétiques se heurtent au champ magnétique de notre planète, et sont guidées vers les pôles où elles rencontrent atomes et molécules dans la haute atmosphère. Il s’ensuit une excitation de ces derniers puis une réémission de l’énergie absorbée sous forme de lumière qu’une tribu du Nunavut interprète comme des morses jouant à la balle avec des crânes humains !
Les couleurs, du rose au violet en passant par le vert, l’indigo, le rouge…, varient selon l’altitude où ont lieu ces réactions, l’énergie des particules du vent solaire et la nature des éléments excités. Par exemple, au-delà de 100 kilomètres d’altitude, l’oxygène est particulièrement abondant et donc le vert qu’il réémet s’impose, faisant de cette couleur la plus communément observée dans le phénomène physique… ou dans le souffle brûlant des dragons selon les croyances de la Chine ancienne.
Les aurores polaires se distinguent également par leurs formes : arcs, couronnes, draperies… et même dunes. Étonnamment, cette dernière catégorie, qui correspond à des bandes parallèles régulièrement espacées, n’a été décrite qu’en 2020 par Minna Palmroth, de l’université d’Helsinki, en Finlande, avec l’aide de nombreux observateurs amateurs.
Elle trahirait des variations périodiques de la densité en atomes d’oxygène, entre 80 et 100 kilomètres d’altitude, sans que l’on sache encore bien l’expliquer. Peut-être est-ce une facétie des renards polaires… dont la queue, dans des contes des Samis, soulève des volutes de neige lorsque ces animaux traversent en courant les territoires du Nord. Cette dernière hypothèse est finalement presque la solution adoptée par Dan Acher et ses gouttelettes d’eau en suspension !
[...]
En fait, cela arrive exceptionnellement, lorsque l’activité solaire est très intense, comme ce fut le cas dans la nuit du 22 au 23 juin 2015 : on vit des aurores en Normandie ! Et plus encore en septembre 1859, quand une forte éruption solaire entraîna l’apparition d’aurores jusqu’à Honolulu et Singapour. De polaires, elles devinrent tropicales.
Récemment, une équipe dirigée par des scientifiques de l’UCLA a découvert des endroits ombragés dans des fosses lunaires, qui oscillent toujours autour d’une température confortable de 17 °C. Les grottes auxquelles elles pourraient mener constitueraient des camps de base plus sûrs et plus stables thermiquement pour l’exploration lunaire et l’habitation à long terme que le reste de la surface de la Lune, dont la température peut atteindre les 127 °C pendant la journée et chuter à –173 °C durant la nuit. Les résultats sont publiés dans la revue Geophysical Research Letters.
Intéressant ça. Une IA propose d'autres façons de modéliser des lois de la Physique. Il ne reste plus qu'à comprendre ces modèles.
Intéressant :-)
Questions :
- Combien va coûter ce masque ?
- Combien de temps durera-t-il ?
- Sera-t-il lavable ? Ou bien risque-t-il de perdre son efficacité au lavage ?
- À moins que les lampes à UV ne permettent de le laver/désinfecter ?