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Celle testée n'est pas pratique pour les toutes petites billes, mais elle convenait bien pour des objets plus gros comme des tomates cerises.
Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, on pensait que la digestion était un processus purement mécanique. C'est le biologiste Lazzaro Spallanzani qui démontra sa nature principalement chimique, de façon plutôt audacieuse : il avala un petit tube en bois percé de trous, contenant un morceau de viande. Il récupéra le tube vide noirci par les sucs digestifs : le morceau de viande avait donc bien été digéré par une action chimique et non mécanique.
L'Académie chinoise des sciences (ACS) a récemment annoncé avoir réussi à faire pousser du riz et des légumes sur la station spatiale Tiangong.
Des physiciens ont refroidi des particules à un milliardième de degré au-dessus du zéro absolu.
Un milliardième de degré au-dessus du zéro absolu ... Pfiouu ...
Les reines Harpegnathos ont tendance à vivre entre 4 et 5 ans, alors que les ouvrières ne dépassent guère les 7 mois. Une équipe de chercheurs a donc entrepris de découvrir les changements exacts qui se produisent chez les fourmis pour déclencher un tel allongement de la durée de vie.
Des recherches antérieures ont démontré que la lumière bleue (à courte longueur d’onde) captée par la rétine avant de dormir aurait des effets néfastes sur notre sommeil, car elle affecterait la production de mélatonine (l’hormone du sommeil). Cependant, les mécanismes exacts régissant ces effets sont encore en grande partie incompris. Une récente étude semble contredire cette théorie, en révélant que bien que la lumière bleue perturbe la production de l’hormone, elle n’affecterait pas forcément la qualité du sommeil et les niveaux de vigilance au réveil. Cela suggère que la lumière bleue n’aurait finalement que peu d’influence sur le sommeil. Toutefois, les sujets testés pour l’étude n’ont été exposés à la lumière qu’une cinquantaine de minutes avant leur sommeil.
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La nouvelle étude, codirigée par l’Université de Bâle (en Suisse), avait comme objectif d’approfondir la théorie selon laquelle la lumière bleue inhiberait la production de la mélatonine et entraverait de ce fait la somnolence nécessaire à induire un bon sommeil. Ce type de lumière affecterait surtout les cellules ganglionnaires photosensibles de la rétine (ipRGC), situées entre les cellules en cône et en bâtonnet. Bien que ces dernières captent également la lumière, les ipRGC sont particulièrement sensibles à la lumière bleue, et pourraient ainsi jouer un rôle majeur dans la régulation du rythme circadien.Les résultats, publiés dans la revue Oxford Academic, suggèrent que chez les jeunes en bonne santé, la somnolence serait plutôt engendrée par la pression du sommeil — c’est-à-dire l’accumulation de la fatigue journalière — et ne serait pas due aux effets de la lumière bleue.
Une étude limitée à 29 participants
Dans le cadre de leurs recherches, les scientifiques ont recruté 29 personnes apparemment en bonne santé, âgées en moyenne de 23 ans et ayant des antécédents de sommeil relativement sain (avec une heure de coucher à 23h en moyenne). Lors des tests, elles ont été exposées à la lumière d’un écran, qui était éteint environ 50 minutes avant l’heure habituelle du coucher. Une semaine plus tard, les participants ont été soumis à un autre type de lumière avant de dormir.
Selon les rapports des participants, les deux lumières leur semblaient presque identiques, et leurs électroencéphalogrammes durant leur sommeil semblent confirmer l’absence de différence. Pourtant, l’une d’elles était fortement concentrée en lumière bleue. Pour mesurer le taux de mélatonine, les chercheurs ont prélevé des échantillons de salive toutes les 30 minutes pendant les cinq heures précédant leur sommeil, ainsi que le matin au réveil. Les participants ont également été interrogés sur la qualité de leur sommeil et leur état d’alerte au réveil.
Finaliste d’un concours scientifique national pour prodiges de la science, l’invention de l’adolescente fonctionne en cinq étapes : une filtration pour éliminer les particules dans l’air ; une filtration par nanotubes de carbone ; une chambre d’électrolyse et une pile à hydrogène qui capte la vapeur d’eau pour produire une énergie verte ; et, enfin, une filtration utilisant la lumière ultraviolette pour éliminer les polluants organiques de l’air. Cinq bonnes raisons de modifier les pots actuels…
Le bon sens voudrait que l’on adopte une position verticale. Cependant, en raison de la forme asymétrique de l’estomac, il a été constaté que le fait de s’allonger sur le côté droit permettait à un comprimé de se dissoudre 2,3 fois plus vite que si l’on se tenait debout.
En d’autres termes, alors qu’une pilule prise en position debout mettrait 23 minutes à se dissoudre, elle ne mettrait que 10 minutes en position couchée sur le côté droit. La position couchée sur le côté gauche est le pire choix, la pilule mettant plus de 100 minutes à se dissoudre.
D’autre part, la nouvelle datation implique que le piège à fossiles de Sterkfontein a capté des formes comparables à celles que l’on trouve en Afrique de l’Est à la même époque : A. africanus et A. afarensis appartiennent désormais à la même ère évolutive. Cette constatation suggère que ni le « berceau de l’humanité » d’Afrique de l’Est, ni celui d’Afrique du Sud ne peuvent être seuls à l’origine d’Homo, mais plutôt que ces deux régions spectaculairement riches en fossiles anciens sont plutôt des loupes sur le passé lointain que nous tend complaisamment la géologie. Très vraisemblablement, et comme on l’observe ultérieurement s’agissant d’Homo, les australopithèques aussi ont évolué au sein d’un réseau d’habitats, entre lesquels coulaient des flux géniques et culturels. Cette impression est d’autant plus stimulante que l’on sait, depuis 2015, que les plus anciens outils façonnés connus le furent près du lac Turkana, au Kenya, il y a quelque 3,3 millions d’années… donc au Pliocène sans doute par des mains australopithèques ! Les « berceaux de l’humanité » d’Afrique australe ou orientale ne sont que deux des habitats du réseau. Il reste à en découvrir d’autres, tout particulièrement sur la façade occidentale de l’Afrique, ce dont s’occupent activement les équipes des projets HoN et HoB !
La façon la plus simple de faire avancer avec une barque est de ramer. Les coups de rames poussent l’eau vers l’arrière et, en réaction, l’embarcation glisse vers l’avant. Mais il existe une autre technique, beaucoup moins intuitive et pourtant bien connue de ceux qui pratiquent le canoë ou le paddle (une planche sur laquelle on se tient debout). Avec son corps, l’occupant du bateau exerce un mouvement vertical régulier, qui, réalisé au bon rythme, permet au bateau d’avancer ! En anglais, cette technique porte le nom de gunwale bobbing, où gunwale désigne le plat-bord (le bord supérieur de la coque, où l’occupant se tient debout) et bobbing fait référence à l’idée d’osciller sur l’eau.
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Olivier Devauchelle et ses collègues ont ensuite comparé l’efficacité du gunwale bobbing à d’autres modes de propulsion, en calculant le rapport de la puissance de propulsion et de la puissance appliquée totale. Ramer a une efficacité d’environ 80 % alors que le gunwale bobbing s’élève au mieux à 17 %. Cette technique, originale, se révèle assez inefficace…
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« Le rendement du gunwale bobbing est difficile à estimer en général, note Olivier Devauchelle. Il est certes faible pour un être humain oscillant sur un canoë, mais peut-être peut-on l’améliorer en adaptant la forme de la coque, et en utilisant un dispositif plus efficace pour la mettre en mouvement. C’est une question qui nous occupe actuellement. »
L'impact de l'astéroïde de Chicxulub, probablement à l'origine de la disparition des dinosaures, a libéré une énergie équivalente à des milliards de fois la bombe de Hiroshima (921 milliards pour l'estimation haute), et créé un trou de 100 km de largeur pour 30 km de profondeur. L'impact aurait aussi généré un tsunami de 1,5 km de hauteur dans le golfe du Mexique, qui s'est propagé dans tous les océans.
Fichtre ...
Une excellente vidéo documentée et sans parti pris sur les dangers des ondes électromagnétiques.
A revoir pour mieux comprendre.
Leonardo Ancillotto, chercheur à l’université de Naples-Frédéric II, en Italie, et ses collègues ont mis au jour un cas rare de mimétisme acoustique chez la chauve-souris européenne Myotis myotis, aussi appelée grand murin, lui permettant d’échapper… aux chouettes !
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Au cours de leurs expéditions sur le terrain, ces chercheurs ont constaté que les chauves-souris de l’espèce Myotis myotis émettent des appels de détresse qui ressemblent étrangement au bourdonnement du frelon. Cette étonnante découverte les a conduits à étudier l’importance de cette vocalisation dans le contexte de la prédation des chauves-souris, notamment par les chouettes (la chouette effraie et la chouette hulotte), qui font partie des plus grands prédateurs de ces petits mammifères volants.Pour cela, les chercheurs ont comparé la structure sonore du bourdonnement du frelon européen à celle de l’appel de détresse des chauves-souris. Étrangement, les deux sons se ressemblaient, mais leurs fréquences n'étaient pas identiques. Les séquences de bourdonnement de chauve-souris contenaient notamment des fréquences de la gamme des ultrasons que les chouettes n’entendent pas. Ce n’est que lorsque les chercheurs ont retiré ces paramètres acoustiques a priori inaudibles, qu’ils ont constaté une ressemblance évidente dans la structure des deux bourdonnements. Cela suggère que, pour la chouette, le bourdonnement d’un frelon et l’appel de détresse des chauves-souris sont très similaires ! Il ne serait donc pas étonnant que les chauves-souris utilisent ici une ruse acoustique pour échapper à leur prédateur.
Pour vérifier cette hypothèse, les chercheurs ont réalisé des expériences de play-back dans lesquelles ils ont fait écouter des enregistrements de bourdonnement de frelon, de cri de détresse ou d’appels sociaux de chauves-souris (que ces dernières émettent pour communiquer entre elles) à des chouettes captives. La réaction des oiseaux a confirmé l’hypothèse : lorsqu’ils entendaient des enregistrements d’appels sociaux de chauves-souris, les chouettes avaient tendance à s’approcher du haut-parleur car elles reconnaissaient le son de potentielles proies. En revanche, le bourdonnement de frelon aussi bien que le cri de détresse des chauves-souris avaient pour effet d’éloigner les prédateurs du haut-parleur. Il est donc très probable que les chouettes confondent le « bourdonnement » de chauves-souris avec celui du frelon européen.
Dans les années 80, des scientifiques ont posé des thermomètres sur la peau des Touaregs. La température à la surface de leur corps était mesurée à 33°C.
Ils sont habillés d'une couche de vêtements sous une grande robe épaisse.
L'air fait un mouvement de convection ascendant sous les vêtements régulant ainsi la température à 33°C.
Explanation: SOFIA, the Stratospheric Observatory for Infrared Astronomy, is a Boeing 747SP aircraft modified to carry a large reflecting telescope into the stratosphere. The ability of the airborne facility to climb above about 99 percent of Earth's infrared-blocking atmosphere has allowed researchers to observe from almost anywhere over the planet. On a science mission flying deep into the southern auroral oval, astronomer Ian Griffin, director of New Zealand’s Otago Museum, captured this view from the observatory's south facing starboard side on July 17. Bright star Canopus shines in the southern night above curtains of aurora australis, or southern lights. The plane was flying far south of New Zealand at the time at roughly 62 degrees southern latitude. Unfortunately, after a landing at Christchurch severe weather damaged SOFIA requiring repairs and the cancellation of the remainder of its final southern hemisphere deployment.
Traduction :
Explication : SOFIA, l'Observatoire stratosphérique pour l'astronomie infrarouge, est un avion Boeing 747SP modifié pour transporter un grand télescope réfléchissant dans la stratosphère. La capacité de l'installation aérienne à s'élever au-dessus d'environ 99 % de l'atmosphère terrestre bloquant l'infrarouge a permis aux chercheurs d'observer depuis presque n'importe quel endroit de la planète. Lors d'une mission scientifique dans l'ovale auroral austral, l'astronome Ian Griffin, directeur du musée Otago de Nouvelle-Zélande, a capturé cette vue depuis le côté tribord de l'observatoire, orienté vers le sud, le 17 juillet. L'étoile brillante Canopus brille dans la nuit australe au-dessus des rideaux d'aurores australes. L'avion volait alors loin au sud de la Nouvelle-Zélande, à environ 62 degrés de latitude sud. Malheureusement, après un atterrissage à Christchurch, le mauvais temps a endommagé SOFIA, nécessitant des réparations et l'annulation du reste de son déploiement final dans l'hémisphère sud.