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C'est moche :-( Heureusement que tous ne sont pas comme ça !
Les trous de ver sont des objets hypothétiques reliant deux points dans l’espace-temps. Ils demeurent cependant du domaine de la théorie, car leur existence n’a encore jamais été prouvée. Dans une nouvelle étude, des physiciens avancent l’idée que ces tunnels de l’espace-temps, présentant des similitudes avec les trous noirs, pourraient en réalité se cacher à la vue de tous et auraient pu être détectés depuis longtemps.
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Leur existence a été prédite en 1935, par Albert Einstein et Nathan Rosen. Ces objets n’ont toutefois jamais été observés à ce jour.
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Différents types de trous de ver ont été théorisés : le trou de ver de Schwarzschild, infranchissable ; le trou de ver de Reissner-Nordstrøm ou de Kerr-Newman, franchissable dans un seul sens ; et le trou de ver de Lorentz, franchissable dans les deux sens. Ils sont généralement représentés comme une sorte de tunnel reliant deux trous noirs.
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Mais les scientifiques pensent que dans certaines conditions, il pourrait être possible de traverser ce tunnel cosmique et d’en demeurer indemne.
La Cour de cassation vient de confirmer que le refus de renseigner son code de déverrouillage de téléphone portable en cas d’arrestation constituait un délit, passible de trois ans d’emprisonnement.
En 2017, nous dénoncions de nombreuses erreurs décelées en pesant 1 000 produits. Sans surprise, elles étaient rarement en faveur des consommateurs. La déception était particulièrement forte au rayon des fruits et des farines, mais nous avions eu quelques bonnes surprises avec des paquets plus généreux, sur le sucre par exemple.
À cette occasion, nous rappelions que les fabricants bénéficient d’une petite marge d’erreur de 15 g pour les produits pesant 1 kg. Et que pour les petits conditionnements, comme les sachets d’épices, l’erreur tolérée est proportionnellement plus importante que pour les grandes quantités.
Nous concluions à l’époque qu’il semblait peu probable que ces erreurs soient commises délibérément par les fabricants ou les distributeurs. Mais, hier comme aujourd’hui, ces écarts pointent leur manque de vigilance et de rigueur lors des autocontrôles. Et c’est tout particulièrement énervant dans un contexte de flambée des prix alimentaires.
Le nouveau thème est sympa.
Deux sœurs de l’enfant, aujourd’hui décédées, étaient elles aussi atteintes de cette maladie génétique rare, qui avait conduit à une grave cardiomyopathie. Âgée de 16 mois, la petite fille se porte bien et présente pour le moment un développement normal.
Depuis le 1er octobre [2022], un « certificat d’engagement et de connaissance » doit être signé au moment de l’acquisition d’un animal de compagnie. Un décret publié le 24 octobre au Journal officiel prévoit des contraventions en cas de non-respect de cette règle.
La réponse est dans la vidéo : on ne s'est pas trompé, il fallait vacciner et ça a très bien marché. Contrairement à ce qu'affirmaient tous les charlatans, Raoult et compagnie ...
Les prix des produits les plus offerts à Noël grimpent souvent en flèche dans les semaines qui précèdent, indique une étude d’Idealo. N’attendez pas !
La conduite autonome de niveau 3 est autorisée en France depuis le 14 juillet 2022, ainsi que dans 52 autres pays européens. On pourra donc bientôt regarder un film tout en conduisant, mais seulement à 60 km/h et sur les 2x2 voies séparées par un terre plein central. En cas d'accident durant un épisode de conduite autonome, c'est l'IA embarquée qui portera la responsabilité.
C'est pourquoi une boite noire est automatiquement montée sur ces véhicules depuis le 1er mai 2022. Elle enregistre en permanence les données de circulation et celles relatives au véhicule. La conduite autonome va probablement radicalement réduire les accidents de la route, ainsi que la consommation de carburant : on estime que 5% de véhicules autonomes dans une circulation pourrait réduire la congestion et donc la consommation de 40% dans certaines zones.
Enfin ! L'alerte aux populations, sans application à pré-installer.
À l’heure actuelle, il est impossible d’évaluer avec précision la plupart des caractéristiques physiques à partir d’un phénotype. « Des prédictions individuelles ont été faites pour l’ascendance du sujet, la couleur des yeux, la couleur des cheveux, la couleur de la peau, les taches de rousseur et la forme du visage », affirme pourtant la police d’Edmonton. Au-delà même de ces considérations, une analyse ADN ne peut évidemment pas prévoir comment un individu va évoluer au cours de son existence, en fonction de son hygiène de vie et de facteurs environnementaux. De même, l’âge ne peut être deviné à partir de l’ADN.
Adam Rutherford, professeur de génétique à l’University College de Londres
Plus de six mois après un « accord de principe » entre l'UE et les États-Unis, le président américain Joe Biden a signé le décret exécutif tant attendu qui vise à respecter les arrêts passés de la Cour européenne de justice (CJUE). Avec de décret, Joe Biden voudrait surmonter les limitations des transferts de données entre l'UE et les États-Unis.
Le décret est donc conçu pour codifier les accords que l'UE et l'Amérique ont conclus plus tôt cette année qui rétabliraient le Privacy Shield, bien que la version 2.0 de celui-ci. Il s'agit d'un framework qui définit comment, quand et quelles données des citoyens sont envoyées à l'étranger, entre l'Europe et l'Amérique.
Selon Joe Biden, ce décret renforce un ensemble « déjà rigoureux » de mesures de protection de la vie privée et des libertés civiles pour les activités de renseignement des États-Unis. Indirectement, le président américain évoque l’application de lois américaines, telles que le Cloud Act, qui permettent aux agences de renseignement de s’emparer et de consulter les données traitées ou hébergées par toutes les sociétés américaines.
Toutefois, selon un défenseur de la vie privée qui a rejeté les réglementations précédentes devant les tribunaux, ce décret exécutif signé par le président Biden pourrait ne pas répondre aux exigences de l'UE.
L’accord « Privacy Shield » est venu remplacer l’accord « Safe Harbor ». Ce dernier, qui organisait une partie du transfert des données entre l’Union européenne et les États-Unis, a été annulé par la Cour de justice de l’Union européenne le 6 octobre 2015. Après cette décision, la Commission européenne a donc négocié rapidement un nouvel accord avec les États-Unis, afin d'assurer la continuité du flux massif de données entre les deux continents. C’est ainsi qu’a été proposé le Privacy Shield, qui est entré en vigueur dès le 1er août 2016.
Puis est venu le règlement général relatif à la protection des données (RGPD) qui dispose que le transfert de telles données vers un pays tiers ne peut, en principe, avoir lieu que si le pays tiers en question assure un niveau de protection adéquat à ces données. Selon ce règlement, la Commission peut constater qu’un pays tiers assure, en raison de sa législation interne ou de ses engagements internationaux, un niveau de protection adéquat. En l’absence d’une telle décision d’adéquation, un tel transfert ne peut être réalisé que si l’exportateur des données à caractère personnel, établi dans l’Union, prévoit des garanties appropriées, pouvant notamment résulter de clauses types de protection des données adoptées par la Commission, et si les personnes concernées disposent de droits opposables et de voies de droit effectives. Par ailleurs, le RGPD établit, de manière précise, les conditions dans lesquelles un tel transfert peut avoir lieu en l’absence d’une décision d’adéquation ou de garanties appropriées.
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Le pouvoir exécutif peut également décider de limiter le droit de grève au nom de l'article L1111-2 du code de la défense(nouvelle fenêtre), lequel autorise la mobilisation générale de tout ou une partie de la population "en cas de menace portant notamment sur une partie du territoire, sur un secteur de la vie nationale ou sur une fraction de la population".
Le Gouvernement peut aussi demander aux préfets concernés de "requérir toute personne nécessaire" sur un territoire délimité, en utilisant l'article L2215-1 du code général des collectivités territoriales.
Un chasseur ne doit tirer que quand :
- il n'y a aucun doute possible sur sa cible
- le tir est "fichant" (c'est à dire que derrière sa cible, il ne peut y avoir que des arbres, des rochers ou de la terre)
Ce n'est pas moi qui l'invente, ce sont les règles de la chasse en France.
Si le soleil l'ébloui, c'est que le chasseur ne peut pas être sûr et certain de sa cible, ni que le tir est fichant. Donc il a fait une très grosse erreur.
A quand une règle qui invalide le permis de chasse et envoie en tôle ce genre de type ?
Trop fort !
Un propriétaire ne peut invoquer un trouble du voisinage pour faire abattre un arbre sain et solidement ancré même à proximité immédiate de son habitation. Mais si des branches s'étendent sur sa propriété, il peut en exiger l'élagage. Telle est la solution apportée par la Cour de cassation à un litige qui opposait des particuliers au Conseil départemental de Loire-Atlantique.