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A faire soi-même :-)
À l’heure où la planète va mal, le zéro déchet prend de l’ampleur et c’est tant mieux ! Chaque petit geste en faveur de la planète compte. D’ailleurs, il est possible d’y contribuer via son potager. Et pas d’excuses, car si vous n’avez ni jardin, ni terrasse, ni balcon, il est tout même très simple de faire du bien à l’environnement et à son porte-monnaie par la même occasion ! Eh oui, aujourd’hui la société de consommation nous pousse à jeter et à racheter à tout bout de champ. Pourtant, saviez-vous que certains fruits et légumes repoussent à l’infini ? Et pour cela pas besoin de jardinière : un peu d’eau, un récipient et du soleil suffisent. Découvrez comment faire des économies avec des boutures et d’autres techniques de jardinage simples !
1) La bouture
- poireaux
- oignons verts
- laitue
- chou chinois
- fenouil
-
céleri
2) Un peu de terre
- pomme de terre
- ail
-
gingembre
3) Trempez et plantez
- herbes aromatiques (persil, basilic, coriandre ...)
- carottes
- ananas
- avocats
L’ail est l’un des aliments les plus utilisés en cuisine et tant mieux, car il est très bon pour la santé. L’ail est riche en vitamines A, B, C et E, en antioxydants, en calcium, en potassium, en zinc, en sélénium, mais aussi en allicine (un antibiotique naturel super puissant). Ce super-aliment est aussi un alicament (les aliments-médicaments), alors on ne réserve plus l’ail qu’aux attaques de vampire ! En grande surface, le kilo de l’ail n’est pas vraiment donné. Mais saviez-vous qu’avec une seule gousse d’ail en votre possession, vous n’aurez plus besoin d’en acheter ? Découvrez la méthode pour faire pousser de l’ail chez vous en pot et à l’infini.
Vous avez simplement besoin de :
Terreau
Une tête d’ail
Un pot
Sachez que chaque bulbe que vous allez planter va se multiplier et donner 3 ou 4 nouvelles gousses d’ail.
- Les étapes de l’ail en pot
1) Munissez-vous d’un grand pot (si possible percé pour améliorer le drainage) et remplissez-le de terreau de qualité. Séparez les gousses de la tête d’ail en prenant soin de ne pas les abîmer. Les gousses doivent être fraîches et aucunement détériorées.
2) Plantez les gousses à environ 2,5 cm de profondeur en laissant la pointe vers le haut à l’air libre. Séparez chaque gousse de 10 cm. Ajoutez à peine 1 cm de terreau par-dessus les gousses.
3) Placez le pot au soleil et arrosez doucement. La plante a besoin de très peu d’eau. Il faut veiller à garder la terre légèrement humide, mais ayez la main légère sur l’arrosage.
4) L’ail va vite monter. Toutefois, si vous voyez des fleurs apparaître, coupez-les immédiatement pour préserver le goût de l’ail.
5) Une fois que vos plants ont 5 ou 6 feuilles et que celles-ci deviennent jaunes et commencent à mourir, c’est que l’ail est prêt à être récolté.
6) Il ne vous reste plus qu’à faire sécher l’ail dans un endroit sec et tempéré pendant une semaine. Un garage ou une cave conviendraient parfaitement.
L’ail a besoin de 8 à 10 mois pour pousser. La période idéale reste le début du printemps ou à l’automne. Enfin, sachez que les tiges vertes de l’ail se consomment comme de la ciboulette !
Le gland, fruit du chêne, est comestible et forte source de calories (390 kcal / 100 grammes). Il était stocké autrefois pour faire face aux famines, et demande une préparation afin d’en extraire les tanins amers et améliorer ses qualités gustatives. Au Maroc, les glands doux du chêne-liège sont appréciés.
Si vous êtes amateur de poivre, oubliez le poivre moulu ! Il est généralement un mélange de tout ce qui n'est pas vendu : mauvais grains, détritus, poussières et autres aromates moins chers. L'objectif des industriels est de proposer un produit peu cher pour les grandes surfaces.
Si la banane Cavendish représente la majorité des bananes commercialisées aujourd'hui, cette variété est récente et a remplacé la banane Gros Michel, à la texture et à la qualité gustative supérieure. Malheureusement, la Gros Michel a été décimée par un champignon, le Fusarium oxysporum.
La Cavendish est à son tour menacée par une variante de ce champignon et est amenée à disparaître à brève échéance.
Passer plus de temps à ne pas manger qu’à manger : telle est la philosophie du jeûne intermittent avec des effets pas complètement prouvés mais encourageants. Décryptage.
Nombre de denrées alimentaires peuvent être consommées au-delà de leur date de durée de conservation minimale !
En Suisse, 2,6 millions de tonnes de nourriture finissent chaque année à la poubelle, dont 10% serait dû aux dates de péremption, souvent mal comprises.
En effet, la loi fait une distinction entre la date de durée de conservation minimale (DCM) et la date limite de consommation (DLC) :
• La DCM (« à consommer de préférence avant ») s’applique aux denrées peu périssables ou de garde. Le dépassement ne représente généralement pas de risque pour la santé. Ainsi, faites confiances à vos sens (la vue, l'odorat et le goût) : si cela paraît encore bon, alors l’article peut généralement être consommé.
• La DLC (« à consommer jusqu’au ») s'applique aux produits frais périssables (viande fraîche, poisson...), dont le dépassement est potentiellement dangereux pour la santé ! C'est une information de sécurité alimentaire qui doit être scrupuleusement respectée.
Cette infographie indique les dépassements possibles de la DCM de plusieurs aliments.
Source : https://www.bonasavoir.ch/928658-le-bon-sens-pour-lutter-contre-le-gaspillage
Manger moins permettrait de vivre plus longtemps, de vieillir moins vite et d'avoir moins de maladies. C'est le résultat de plus de cent ans d'études sur les animaux à sang chaud. Cela serait vrai aussi chez les humains, comme le prouveraient les habitants d'Okinawa, qui nomment cela Hara hachi bu : ils arrêtent de manger dès qu'ils ont le premier sentiment de satiété.
Thomas Moffet un célèbre diététicien du XVIe siècle l'avait déjà envisagé car il avait écrit : "manger l'estomac plein, c'est creuser sa tombe avec ses dents".