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En 1937, le mariage de Charlie Johns et Eunice Winstead dans le Tennessee frappa l'opinion. Le jour de leur mariage, Eunice avait 9 ans seulement, et Charlie 22. Le Tennessee adopta dans la foulée une loi imposant un âge minimal de 14 ans pour le mariage, mais elle n'était pas rétroactive. Le couple resta ensemble toute sa vie, jusqu'à la mort de Charlie Johns 60 ans plus tard en 1997.
Une enfant de 9 ans mariée à un adulte 🤮🤮🤮🤮🤮
Réflexion intéressante : introduire la notion de consentement dans la loi sur le viol pourrait être un cadeau empoisonné. Cette notion qui y figurait avant 1980 avait servi aux accusés pour mettre en avant la provocation et la petite vertu des victimes et ainsi alléger les sanctions, voire se retourner contre leurs victimes.
Les États-Unis ne sont pas en avance dans tous les domaines…
Trump affirme que les enfants subissent à l'école des chirurgies de réassignation de genre.
Et c'est ça qu'ils veulent pour présdent 🤮
Pour les GAFAM, l'IA c'est comme le sexe pour les mâles ados :
- tout le monde pense que tous les autres le font, alors il faut le faire à tout prix...
- ...quitte à se comporter comme un gros connard (consentement, etc.)
- ils ne pensent qu'à ça.
- ils n'ont aucune idée de comment bien le faire.
- mais ils s'en vantent énormément.
Excellent ! 🤣
La femelle kangourou possède 3 vagins et 2 utérus. Cette particularité anatomique lui permet de faire grandir plusieurs petits à des stades de développement différents. Par exemple, il peut y avoir un bébé de plusieurs mois et un nouveau-né dans la poche, alors qu'un autre est au stade d'embryon.
La pieuvre violacée (Tremoctopus violaceus) présente le plus grand cas de dimorphisme sexuel dans le règne animal : la femelle peut atteindre 2m de long, alors que les mâles ne font en moyenne que 2,4 cm. Une femelle peut ainsi peser 40 000 fois plus qu'un mâle.
Au Pakistan, environ 50% des mariages se font entre cousins germains. Ce chiffre grimpe à 65% selon certaines études, avec des effets désastreux sur la santé : la consanguinité entraîne un fort taux de maladies génétiques et de fausses couches, ainsi qu'un taux de mortalité infantile élevé.
D'autres pays entretiennent aussi une culture du mariage entre cousins, avec des taux élevés de mariages consanguins, notamment l'Inde et l'Arabie Saoudite.
Le bruant à gorge blanche (Zonotrichia albicollis) est un oiseau d'Amérique du Nord remarquable par sa génétique : l'espèce possède deux morphotypes (associés à deux types de plumage différents), présents chez les mâles et les femelles, et la reproduction se fait de manière croisée. Ainsi, un mâle avec un type de plumage ne se reproduira qu'avec une femelle possédant l'autre type de plumage, comme si l'espèce possédait en fait 4 sexes.
En Colombie, le plumage particulier d’un très rare oiseau a capté l’œil d’un ornithologue amateur. Il a fallu deux ans à des spécialistes pour connaître les raisons de sa double couleur.
Très intéressant
Les femmes aussi ont une prostate, mais elle est à un état vestigial, non développée. Il s'agit des glandes de Skene, situées entre la vessie et l'urètre. Ces glandes produisent un liquide qui est éliminé par l'urètre pendant l'orgasme.
Ce liquide contient des PSA (antigènes spécifiques de la prostate) que l'on retrouve dans le liquide séminal masculin. Il ne faut pas confondre ce processus avec celui des femmes fontaines, qui de leur côté, évacuent un fluide provenant de la vessie.
La consanguinité était une norme dans la famille des Habsbourg, en particulier pour Marie-Antoinette d'Autriche : son coefficient de consanguinité était de 0,3053, soit supérieur à celui d'un enfant dont les parents sont frère et sœur. Elle n'avait que 10 arrière-arrière-arrière-grands-au lieu de 32.
Son père était l'oncle maternel de sa mère mais aussi son cousin germain paternel. De plus, ses grands-parents et arrière-grands-parents maternels étaient oncle et nièce.
Des chauves-souris sérotines mâles vivant dans le grenier d’une église aux Pays-Bas ont été filmées en train de se livrer à des séances marathon de sexe sans pénétration, le tout premier cas d’accouplement par contact superficiel chez des mammifères.
Les chercheurs de l’université de Lausanne ont rapidement découvert que ce comportement très inhabituel des mammifères était une stratégie bien plus complexe qu’il n’y parait, car le mâle de la chauve-souris sérotine (Eptesicus serotinus) est également doté d’un pénis qui, lorsqu’il est en érection, mesure un cinquième de la longueur de son corps (7 cm) et est 7 fois plus long que le vagin de sa partenaire.
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Au lieu d’avoir des rapports sexuels avec pénétration, le mâle a utilisé son appendice mal ajusté comme un troisième bras, poussant la queue de la chauve-souris femelle sur le côté pour s’engager dans un accouplement par contact, ressemblant au « baiser du cloaque » commun dans le monde des oiseaux.
L’étreinte, sans pénétration, peut s’éterniser chez la chauve-souris sérotine commune, avec une durée moyenne de 53 minutes, et un record enregistré de 13 heures.
Une directive en préparation sur les violences faites aux femmes prévoit de caractériser le viol par l’absence de consentement. L’objectif est de faire converger les législations européennes. Plusieurs Etats, dont la France, s’y opposent.
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La directive sur la lutte contre les violences faites aux femmes et la violence domestique, qui veut notamment interdire les mariages forcés, les mutilations génitales féminines, le harcèlement sexuel ou encore la stérilisation forcée. Si ce projet de loi, présenté par la Commission le 8 mars 2022, fait plutôt consensus, un point cristallise les oppositions : celui de savoir si les Vingt-Sept adoptent, ou non, une définition commune du viol, qui entraînerait de fait une convergence des sanctions à l’échelle européenne.Pour le Parlement européen, qui a arrêté sa position en juillet, il est impératif que ce soit le cas et que cette définition communautaire du viol soit assise, comme le propose la Commission, sur la notion de consentement : il suffit que la victime « n’ait pas consenti à l’acte sexuel » pour que le « crime de viol » soit « caractérisé », jugent les deux institutions. « Seule cette dernière approche permet la protection complète de l’intégrité sexuelle des victimes », peut-on lire dans l’article 5 du projet de loi de la Commission relatif au viol, que le Parlement européen a repris dans son intégralité.
Les Etats membres, pour leur part, ont, en juin, décidé d’exclure des négociations l’article 5 du projet de loi de la Commission. Une partie d’entre eux, au premier rang desquels la France mais aussi la Pologne, la Hongrie et la République tchèque, ne veulent pas entendre parler d’une définition européenne du viol. L’Allemagne n’est pas non plus enthousiaste. A l’inverse, la Grèce, l’Italie, la Belgique, le Luxembourg, la Croatie, la Suède, l’Irlande, l’Espagne et le Portugal y sont favorables, mais, à ce stade, cela ne suffit pas.
Au sein de l’UE, chaque pays a sa propre définition de ce crime. En Belgique, la loi introduit la notion de consentement comme l’élément constitutif principal du crime, comme dans quinze autres Etats membres. Ailleurs, la définition du viol est d’abord et avant tout basée sur l’emploi de la force pour le commettre. Ainsi, la France considère qu’il est constitué quand un acte sexuel a été commis sous la menace, la contrainte, la surprise ou la violence.
S'il est une chose utile pour distinguer les insectes, c'est bien leurs organes génitaux. Ces derniers évoluent pour être différents d'une espèce à l'autre, c'est pourquoi c'est l'une des premières choses que les entomologistes recherchent.
Nous sommes dans le deuxième épisode et Enzo Salina passe une soirée au commissariat avec les policiers – des camarades de foot – pour prendre un verre. Le portrait-robot d’un homme ayant agressé une femme est affiché. Il ressemble comme deux gouttes d’eau à celui du personnage [...].
Et pourtant, personne ne fait le rapprochement. Pire, Enzo Salina va jusqu’à poser à côté du dessin, plaisantant sur les ressemblances. « Putain, mais c’est vrai en plus », s’exclame l’un de ses deux copains. « Si tu savais ce qu’il fait ce mec, tu rigolerais moins », ajoute l’autre.
La scène est surréaliste. Et pourtant, elle s’est vraiment passée comme ça dans la vraie vie, comme l’a précisé au cours d’une conférence de presse Alice Géraud, autrice du livre dont s’inspire la série de France 2. Enzo Salina « a d’ailleurs raconté lors de son procès que c’était arrivé à plusieurs reprises, a-t-elle déclaré. Ce portrait-robot, il existait. Et avec le recul, on se rend compte que c’est la photocopie du violeur. C’est édifiant. »