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Une récente étude, menée par des chercheurs de l’Université de Melbourne (Australie), a examiné l’efficacité des lunettes anti-lumière bleue pour réduire la fatigue oculaire due à l’utilisation d’un ordinateur et améliorer la qualité du sommeil.
L’étude (lien plus bas) a analysé les données de 17 essais contrôlés randomisés portant sur des verres filtrant la lumière bleue comparés à des verres ne la filtrant pas. Les résultats suggèrent que ces lunettes spécialisées ne semblent pas atténuer la fatigue oculaire ni améliorer la qualité du sommeil. Il n’y a pas non plus suffisamment de preuves pour étayer les affirmations selon lesquelles les verres filtrant la lumière bleue protègent la rétine.
L’étude souligne que malgré la popularité de ces lunettes depuis le début des années 2000, leurs avantages ne sont pas concluants. Les chercheurs soulignent la nécessité de mener des études plus complètes et à plus long terme auprès de diverses populations afin de mieux comprendre les effets potentiels de ces lunettes sur les performances visuelles, le sommeil et la santé oculaire.
Les effets indésirables signalés étaient généralement légers et similaires pour les verres filtrant la lumière bleue et les verres ne la filtrant pas. L’étude conclut que, sur la base des preuves actuelles, la prescription de lunettes filtrant la lumière bleue à la population générale n’est pas justifiée.
L’étude publiée dans Cochrane Database of Systematic Reviews : Blue‐light filtering spectacle lenses for visual performance, sleep, and macular health in adults et présentée sur le site de l’Université de Melbourne : Blue-light blocking lenses: marketing claims unsupported by clinical evidence, review finds.
Certaines personnes naissent sans cristallin. Cette pathologie, appelée aphakie, entraîne divers problèmes de vision (hypermétropie, mauvaise adaptation, etc.) ainsi que la possibilité de voir les rayons ultraviolets, que le cristallin filtre normalement. Cette particularité est parfois exploitée : durant la Seconde Guerre mondiale, des patients souffrant d'aphakie pouvaient repérer les communications ultraviolettes des Allemands.
Il est impossible de faire le son "m" ou "n" plus de 3 ou 4 secondes en se bouchant le nez. Ces sons sont dits "nasaux", car ils nécessitent une circulation de l'air au niveau du nez, on ferme d'ailleurs la bouche pour les prononcer. C'est aussi pourquoi il est difficile de prononcer certaines consonnes quand on est enrhumé.
Un titre putaclic pour une liste évidente, me semble-t-il...
Pour résumer, les 8 règles d’or seraient donc :
- Manger sainement
- Dormir suffisamment (et avec une bonne qualité de sommeil)
- Éviter au maximum le stress
- Pratiquer une activité physique régulière
- Ne pas fumer
- Ne pas boire d’alcool en excès
- Ne pas consommer de drogues
- Entretenir suffisamment de relations sociales
Il faut en finir avec le manque de données sur la fréquence des pathologies et les effets inégaux de traitements et vaccins, en fonction des différences liées au sexe. Il signifie trop souvent pour les femmes des traitements inadaptés et une perte de chances pour des affections diagnostiquées trop tard, comme l’infarctus. Tel est le combat, pour la santé des femmes, que mène la généticienne Claudine Junien, l’une des autrices de ce livre.
L'intérêt des gants de boxe est discutable : s'il protège les doigts et mains des combattants, et minimise les blessures de l'adversaire par coupures, il facilite en revanche les coups portés à la tête. Auparavant, les boxeurs frappaient la tête moins souvent et moins fort, car c'était douloureux et risqué (fracture potentielle). Comme ce sont les fortes accélérations et décélérations de la tête qui provoquent les lésions les plus sérieuses, l'usage des gants pourrait paradoxalement aggraver le risque de blessures.
L’ensemencement vaginal est une pratique de plus en plus courante lors des naissances par césarienne. Il s’agit d’oindre le nouveau-né des sécrétions vaginales de la mère, en particulier ses lèvres, sa peau et ses mains. Une nouvelle étude, publiée dans la revue Cell Host & Microbe, met en évidence la contribution des micro-organismes, que contiennent ces sécrétions, dans le développement neurologique du bébé.
Si le rôle de l’eau dans l’hydratation du corps n’est plus à prouver, une étude menée par l’Université de St. Andrews en Écosse démontre que d’autres boissons pourraient surpasser l’eau en matière d’hydratation. Cette recherche, dirigée par le professeur Ronald Maughan de la faculté de médecine de St. Andrews, a révélé que les boissons contenant une petite quantité de sucre, de gras ou de protéines pourraient maintenir l’hydratation du corps plus longtemps que l’eau, qu’elle soit plate ou gazeuse.
Cette radiographie montre pourquoi le passager ne doit pas poser ses pieds sur le tableau de bord en voiture. En cas d'accident, le gonflement de l'airbag peut provoquer des blessures graves aux jambes et au bassin.
Emporter avec soi une pompe peut causer un faux sentiment de sécurité. D'autres réflexes sont en effet à activer après une piqûre ou une morsure.
Pour aspirer les venins des guêpes, frelons, serpents... la pompe à venin est présentée comme l'alliée des vacanciers et des randonneurs. Mais est-elle utile ? Non, répondent en chœur le Dr Patrick Nisse, responsable du centre antipoison du CHU de Lille et la Dr Magali Oliva-Labadie, responsable du Centre antipoison et toxicologie du CHU de Bordeaux.
Un extracteur de venin (par exemple Aspivenin, Venimex, Venistop, Ndlr), est à la fois inutile, inefficace et dangereux, juge le Dr Nisse. Il est faussement rassurant pour la personne qui l’utilise, alors qu’il n’extrait rien et que cela ne diminue nullement la quantité de venin injecté. Le liquide qui sort n’est qu’un exsudat, un liquide limpide jaune très pâle qui apparait sur les plaies superficielles. »
Pas d'efficacité démontrée
« Après avoir été piqué par un insecte ou mordu par un serpent, le venin se diffuse très vite dans les tissus, et il n’a jamais été démontré qu’une pompe ou qu'un extracteur permette de l’aspirer et de réduire le risque d’une réaction allergique, renchérit la Dr Oliva-Labadie. D’autant que pour aspirer, il faut plaquer fortement l’outil contre la peau et cela favorise la diffusion des toxines… »
Les bons réflexes en cas de piqûre
Mais alors que faire en cas de piqûre ou de morsure ? Appliquer de la chaleur ? « Certains venins sont en effet sensibles à la température, mais il y a aussi un risque important de brûlure de la peau, mieux vaut donc éviter », juge la Dr Oliva-Labadie.
Le plus utile, c’est d’appliquer du froid. « Un glaçon par exemple, car cela provoque une vasoconstriction (réduction du diamètre des vaisseaux sanguins, Ndlr) qui va limiter la diffusion du venin », explique la spécialiste. Et bien sûr de désinfecter. « Enfin, la personne piquée doit rester calme et ne pas bouger, car si son rythme cardiaque s’accélère, là aussi les toxines se diffusent plus facilement », précise-t-elle.
En cas de morsure de serpent, il faut ensuite appeler les secours qui sauront vous guider. En cas de piqûre d'hyménoptères (abeille, guêpe, frelon...) également, si une réaction rapide survient à distance de l'endroit de la piqûre, car c'est le signe d'une réaction allergique qui débute. Mais, si seuls un gonflement et une rougeur se développent progressivement au niveau de la piqûre, pas d'inquiétude. Le venin d'hyménoptères est toxique, mais la plupart du temps bénin.
Un mec se réveille en enfer et tire légèrement la gueule.
Satan passe par là et l’interpelle :
Satan : Salut toi ! Pourquoi tu fais la gueule ?
Le mec : Eh bien, premièrement je suis MORT et deuxièmement je suis en enfer. Y a pas de quoi se réjouir ?
Satan : Bof, tu sais, c’est pas mal ici-bas… tu fumes ?
Le mec : Quelle question, bien sur !
Satan : Alors tu vas aimer les lundis car pendant toute la journée on fume des cigares, des clopes, sans devoir se soucier de la maladie… on est déjà morts !
Le mec : Ouais, pas mal.
Satan : Tu bois ?
Le mec : Bien sur…
Satan : Alors tu vas aimer les mardis car pendant toute la journée on picole du pinard, de la goutte, de la bière… puis on vomit et on continue à boire sans se soucier de la cirrhose… on est déjà morts !
Le mec : Ah, pas mal le début de la semaine…
Satan : Tu bouffes ?
Le mec : Comme un porc !
Satan : Alors tu vas te régaler les mercredis car pendant toute la journée on s’empiffre de gras, de desserts, de viandes sans se soucier du cholestérol… on est déjà morts !
Le mec : Aaah, de mieux en mieux.
Satan : Tu te drogues ?
Le mec : Régulièrement…
Satan : Alors les jeudis c’est pour toi, on a tout ici herbe, poudre, seringues,… on se pique sans se soucier d’une overdose… on est déjà morts !
Le mec : Ouaiiis, super l’endroit, je ne croyais pas que c’était si cool en enfer…
Satan : T’es pédé ?
Le mec : Non…
Satan : Ouuuuuulaaaaaaaa, tu vas pas aimer les vendredis…. !!!
Au-delà de la sensation de bien-être, la masturbation pourrait également contribuer à protéger contre les infections sexuellement transmissibles en nettoyant les voies génitales, du moins chez les primates mâles, d'après une nouvelle étude.
Alerte ! En décembre 2021, paraissait dans la revue Nature Reviews Endocrinology un article alarmant sur l’usage du paracétamol pendant la grossesse. « Un nombre croissant de données de recherches expérimentales et épidémiologiques suggèrent que l’exposition au paracétamol altérerait le développement du fœtus, ce qui pourrait augmenter le risque de troubles neurodéveloppementaux, reproductifs et urogénitaux », expliquaient des chercheurs internationaux. Sous ces apparences mesurées, cette phrase retentit comme une déflagration. Elle désigne le paracétamol (Doliprane, Efferalgan…), l’antidouleur de référence, massivement consommé et jugé extrêmement sûr pour les femmes enceintes, comme un perturbateur endocrinien.
on estime [...] à 1,7 % la proportion des naissances de personnes intersexes, c’est-à-dire nées avec des caractères sexuels ou reproductifs ne correspondant pas aux définitions sociales et médicales caractéristiques du « féminin » et du « masculin » et avec des variations pouvant être chromosomiques, anatomiques, gonadiques ou hormonales.
la route est tout simplement la première cause de mortalité au travail en France. Et seulement 15 % des dirigeants sont au courant de cette donnée