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Arnaque !
Il semblerait que le lecteur YouTube attende 5 secondes avant de lancer une vidéo quand il détecte Firefox. Pour donner l'impression que Firefox est plus lent que Chrome, je suppose.
Notez que ce n'est pas la première fois que Google fait ça : https://www.zdnet.com/article/former-mozilla-exec-google-has-sabotaged-firefox-for-years/Il se pourrait que le code soit mal interprété:
https://news.ycombinator.com/item?id=38346570
https://news.ycombinator.com/item?id=38346602Google confirme le délai de 5 secondes, mais dit que ce n'est pas destiné aux utilisateurs de Firefox, mais aux bloqueurs de publicité : https://www.404media.co/youtube-says-new-5-second-video-load-delay-is-supposed-to-punish-ad-blockers-not-firefox-users/
Oui donc c'est destiné à ceux qui font des efforts pour protéger notre vie privée, ce qui inclue les bloqueurs de pub et Firefox, au final.
via sebsauvage.net
Ce dernier a été rechercher la notice technique du radar utilisé. Cette notice précise que le radar est habilité à constater les vitesses comprises entre 0 et 250 km/h. « Je plaide devant vous la nullité de la procédure. La mesure de 275 km/h ne peut être considérée comme fiable puisqu’elle est supérieure à la limite fixée par la notice »
Tout le monde le sait, les fabricant conçoivent volontairement des pièces fragiles qu'ils vendent très cher pour nous pousser à acheter neuf. Et si le problème était plus complexe que ça ?
Comme Android tue de manière agressive les applications en arrière-plan, le seul moyen pour une application de recevoir un évènement extérieur de manière fiable est de passer par les services de notification de Google (GCM ou FCM)... et donc les serveurs de Google : Les services GooglePlay "réveillent" alors l'application et lui donnent la notification.
C'est donc crucial pour - par exemple - les applications de messagerie qui ne peuvent pas fonctionner de manière fiable sans.
Apple fait à peu près la même chose sur sa plateforme.Et le souci est là : Toutes les notifications de diverses applications passent par les serveurs des GAFAM. C'est donc un cauchemar pour la vie privée : https://blog.davidlibeau.fr/push-notifications-are-a-privacy-nightmare/
Et il se trouve que, visiblement, les gouvernements (surtout américain) sont trop contents de pouvoir aller fourrer leur nez dans les données de notification pour la surveillance : il suffit d'aller toquer chez Google ou Apple pour avoir les données.
(PS: Signal se protège contre cela avec une astuce simple (que toutes les applis devraient mettre en œuvre): Signal est "réveillé" par un message de notification, mais ce message ne contient rien. Signal va alors chercher lui-même les données chiffrées sur ses propres serveurs. Ainsi les serveurs de Google ne transportent rien à part une notification vide à destination d'un appareil (ce qui ne révèle rien d'autre que : l'utilisateur va peut-être réceptionner un message))
Encore une fois, on (les utilisateurs ET développeurs) accordent encore bien trop de pouvoir aux GAFAM sur l'autel de la simplicité.
C'est aussi confirmé par Apple : https://www.macrumors.com/2023/12/06/apple-governments-surveil-push-notifications/
Le problème, c’est que leur fille n’est pas l’auteure des faits de harcèlement commis dans son collège, mais qu’elle en est la victime. Les assistantes sociales précisent aux parents qu’il ne s’agit pas d’une erreur. Elles sont bel et bien chargées de vérifier que les souffrances de leur fille ne sont pas dues à des violences familiales, et que ses parents font le nécessaire pour qu’elle aille mieux.
À gerber ! 🤮🤮🤮🤮🤮
L'espérance de vie aux Etats-Unis est moins bonne qu'en Chine ou au Sri Lanka, et elle continue de baisser. En 2021, le pays se classait au 58e rang mondial, juste en-dessous de l'Algérie. L'espérance de vie a dramatiquement baissé ces dernières années, à cause du COVID et de la crise des opioïdes.
La dérogation permettant d’utiliser les « tickets resto » pour acheter tous les produits alimentaires, même s’ils ne sont pas consommables directement, expire le 31 décembre. Le Sénat doit encore voter cette prolongation.
Dans une décision du 16 novembre, le Conseil estime ainsi « l’activation à distance d’appareils électroniques afin de capter des sons et des images sans même qu’il soit nécessaire pour les enquêteurs d’accéder physiquement à des lieux privés en vue de la mise en place de dispositifs de sonorisation et de captation est de nature à porter une atteinte particulièrement importante au droit au respect de la vie privée ». Pour les juges constitutionnels, cette mesure « permet l’enregistrement, dans tout lieu où l’appareil connecté détenu par une personne privée peut se trouver, y compris des lieux d’habitation, de paroles et d’images concernant aussi bien les personnes visées par les investigations que des tiers ». Conclusion : « Le législateur a permis qu’il soit porté au droit au respect de la vie privée une atteinte qui ne peut être regardée comme proportionnée au but poursuivi. »
En revanche, le Conseil constitutionnel juge que « l’activation à distance d’appareils électroniques à des fins de géolocalisation ne méconnaît pas le droit au respect de la vie privée ».
La Commission européenne s’est prononcée, le 16 novembre, en faveur de la prolongation de l’autorisation du glyphosate pour dix ans. La France ne s’est pas opposée à ce renouvellement malgré la promesse de l’interdire faite par Emmanuel Macron en 2017, observe “Politico”.
Amis de la Nature et de la Santé Publique, bonsoir !
L’assureur militant Maif a été condamné pour l’utilisation d’un logiciel de surveillance interne sur l’une de leurs ex-employées, sans l’en informer. Le conseil des prud’hommes a estimé que c’était contre le code du travail
Une directive en préparation sur les violences faites aux femmes prévoit de caractériser le viol par l’absence de consentement. L’objectif est de faire converger les législations européennes. Plusieurs Etats, dont la France, s’y opposent.
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La directive sur la lutte contre les violences faites aux femmes et la violence domestique, qui veut notamment interdire les mariages forcés, les mutilations génitales féminines, le harcèlement sexuel ou encore la stérilisation forcée. Si ce projet de loi, présenté par la Commission le 8 mars 2022, fait plutôt consensus, un point cristallise les oppositions : celui de savoir si les Vingt-Sept adoptent, ou non, une définition commune du viol, qui entraînerait de fait une convergence des sanctions à l’échelle européenne.Pour le Parlement européen, qui a arrêté sa position en juillet, il est impératif que ce soit le cas et que cette définition communautaire du viol soit assise, comme le propose la Commission, sur la notion de consentement : il suffit que la victime « n’ait pas consenti à l’acte sexuel » pour que le « crime de viol » soit « caractérisé », jugent les deux institutions. « Seule cette dernière approche permet la protection complète de l’intégrité sexuelle des victimes », peut-on lire dans l’article 5 du projet de loi de la Commission relatif au viol, que le Parlement européen a repris dans son intégralité.
Les Etats membres, pour leur part, ont, en juin, décidé d’exclure des négociations l’article 5 du projet de loi de la Commission. Une partie d’entre eux, au premier rang desquels la France mais aussi la Pologne, la Hongrie et la République tchèque, ne veulent pas entendre parler d’une définition européenne du viol. L’Allemagne n’est pas non plus enthousiaste. A l’inverse, la Grèce, l’Italie, la Belgique, le Luxembourg, la Croatie, la Suède, l’Irlande, l’Espagne et le Portugal y sont favorables, mais, à ce stade, cela ne suffit pas.
Au sein de l’UE, chaque pays a sa propre définition de ce crime. En Belgique, la loi introduit la notion de consentement comme l’élément constitutif principal du crime, comme dans quinze autres Etats membres. Ailleurs, la définition du viol est d’abord et avant tout basée sur l’emploi de la force pour le commettre. Ainsi, la France considère qu’il est constitué quand un acte sexuel a été commis sous la menace, la contrainte, la surprise ou la violence.
Si vous avez créé un portefeuille Bitcoin avant 2016, votre argent pourrait être en danger
Le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, s’est dit mardi 14 novembre « favorable » à une prolongation « au-delà du 31 décembre 2023 [de] cette disposition permettant d’utiliser les titres-restaurant pour acheter des produits alimentaires », a-t-il déclaré devant la commission des affaires économiques du Sénat.
« En 2015, les forces de l’ordre ont acquis, en secret, un logiciel d’analyse d’images de vidéosurveillance de la société israélienne Briefcam. Depuis huit ans, le ministère de l’intérieur dissimule le recours à cet outil qui permet l’emploi de la reconnaissance faciale. »
Les tickets-restaurants ne seront plus acceptés pour régler vos courses sur une nouvelle liste de produits en rayon à partir du 1er janvier 2024. La réglementation va changer. L'usage des tickets-restaurant sera plus restrictif.
[...]Les produits interdits
Les tickets-restaurant ne seront plus acceptés pour acheter des pâtes, du riz, la viande, le poisson, des œufs, des conserves et surgelés non-transformés, du lait infantile, des céréales et des boissons instantanées. Une souplesse d'utilisation avait été mise en place à la suite de la pandémie de Covid-19.
Les produits autorisés
L'usage des tickets-restaurants restera possible pour le pain et les viennoiseries, les conserves et surgelés de plats préparés, les plats préparés ou instantanés, les sandwichs et les salades, les bocaux et les fruits et légumes, les soupes instantanées et les desserts (yaourts, fruits...). Bref des produits immédiatement consommables uniquement.